Vendredi 20 Février 2015
Catherine Troendlé à la vice-présidence de la CNSIS
Sur proposition du président du Sénat et par arrêté ministériel du 18 novembre 2011, Catherine Troendlé a été nommée membre titulaire de la Conférence nationale des services d’incendie et de secours (CNSIS), présidée par son collègue Yves Rome, sénateur de l’Oise.
De par sa forte implication dans le domaine de la sécurité civile, Catherine Troendlé, déjà première femme élue titulaire au sein de la CNSIS, vient d’être portée à la vice-présidence ce 17 février dernier.
Mise en place en 2004 et composée de 35 membres, parlementaires, élus locaux, représentants de l’État et des sapeurs-pompiers, la CNSIS s’est fixée pour objectif premier de mobiliser l’ensemble des compétences impliquées dans la prévention et l’organisation des secours concernant les risques technologiques, naturels ou de nature terroriste.
Se réunissant plusieurs fois par an, elle est depuis lors consultée sur les projets de loi ou d’acte réglementaire relatifs aux missions, à l’organisation, au fonctionnement ou au financement des services d’incendie et de secours.
Vendredi 13 Février 2015
Catherine Troendlé, un ancrage européen !
Très impliquée dans les relations européennes, Catherine Troendlé, qui vient d’être reconduite à la présidence du groupe d’amitié France-Allemagne, a été élue à la vice-présidence des groupes France-Autriche et France-Suisse du Sénat.
L’Assemblée générale du Groupe interparlementaire d’amitié France-Allemagne vient de reconduire, à l’approbation unanime des membres présents, le sénateur Catherine Troendlé à la présidence du groupe, une fonction occupée par la parlementaire UMP du Haut-Rhin depuis 2009.
A ce titre et compte tenu de sa forte implication dans les relations franco-allemandes, Catherine Troendlé a été conviée, avec son collègue Jean Bizet, président de la Commission des Affaires Européennes, à accompagner le président Gérard Larcher, lors de son prochain déplacement officiel à Berlin, le président du Sénat souhaitant multiplier ainsi les marques d’intérêt entre les deux pays.
Le groupe d’amitié France-Allemagne
Les membres du Groupe interparlementaire d’amitié France–Allemagne seront conviés mensuellement à participer à une réunion d’échanges thématiques, le plus souvent en présence d'invités extérieurs, hauts fonctionnaires, femmes et hommes politiques. Très investie sur le sujet, le sénateur Troendlé est également à initiative, au groupe UMP, de réunions thématiques autour de personnalités allemandes, afin de permettre un échange constructif entre élus des deux pays.
Par ailleurs, une délégation des homologues du Bundesrat sera reçue par les sénateurs français, lors d'un déplacement cet automne 2015 à Bordeaux, à l’occasion des 17e rencontres annuelles entre les deux groupes d’amitié.
Pour autant Catherine Troendlé déplore le peu d’intérêt manifesté par les élus socialistes : ils ne sont que huit membres sur les 46 – soit 17 % - que compte à ce jour le groupe d’amitié France-Allemagne. Dans une vision plus large, elle entend dénoncer le moteur franco-allemand est en panne. Cette situation ne va pas dans le bon sens d’une Europe forte et reconnue.
Mercredi 11 Février 2015
Absentéisme : Réaction aux prises de position relatives à la sanction prononcée à l’égard d’une mère de famille.
Catherine Troendlé, secrétaire nationale en charge de l’Education nationale à l’UMP, souhaite exprimer son positionnement au sujet de l’absentéisme des élèves.
« L’absentéisme est un véritable problème sociétal qui produit des effets néfastes sur le parcours d’insertion professionnelle des jeunes, voire leur insertion dans la société.
L’ordonnance portant La réforme de l’obligation scolaire jusqu’à seize ans, a été signée par le président de Gaulle en 1959. Le texte prévoyait déjà une sanction en cas de non-respect sous forme de retrait des allocations familiales.
Il y a une règle et toute transgression d’une règle appelle une sanction. Si l’Education nationale se doit de répondre à sa mission première qui est l’enseignement et l’accompagnement des jeunes vers la citoyenneté, il relève de la responsabilité des parents de s’assurer de l’assiduité de leurs enfants dans les établissements scolaires. En cas d’alerte par la communauté éducative, enseignants et personnels de direction, il appartient aux parents de réagir : je répète que cela relève de leur responsabilité de parents. Parfois débordés par des situations particulières, les parents peuvent recourir à un ensemble de professionnels ou d’instances susceptibles de les conseiller et de les accompagner.
En l’absence de démarche et de réactivité des parents, il me semble normal qu’une sanction soit prononcée pour « défaut d’éducation » en vertu de l’article 227-17 du Code Pénal. Néanmoins, il me semble indispensable de rétablir la suspension des allocations familiales, supprimée à tort par le Gouvernement actuel en 2013, qui serait la sanction contre les parents en cas d’absence totale de collaboration avec l’établissement scolaire, qui signalerait l’absentéisme de leur enfant.
Toute sanction devra obligatoirement être couplée d’un accompagnement des parents concernés vers une appropriation de la notion de parentalité et la responsabilité qui s’y rattache.
Il devra également être proposé au jeune, en rupture, d’intégrer un internat d’excellence, qui pourra constituer une véritable chance de réussite mais le jeune devra être volontaire bien évidemment.
Arrêtons de considérer qu’il y a des situations qui n’appellent pas de sanctions lorsque des signalements et des propositions d’accompagnement ne sont suivis d’aucun effet. Chacun doit assumer ses responsabilités. »
Vendredi 6 Février 2015
Accord local de représentation des communes membres d’une communauté de communes ou d’agglomération
Le Sénat a définitivement adopté, sur le rapport de Catherine Troendlé (UMP), la proposition de loi autorisant l’accord local de représentation des communes membres d’une communauté de communes ou d’agglomération.
L’objet de ce texte est de définir les conditions dans lesquelles les communes pourraient déroger au principe de « proportionnalité démographique » pour fixer le nombre de sièges de délégués communautaires et leur répartition. En effet, dans sa décision du 20 juin 2014, le Conseil constitutionnel a supprimé la possibilité pour les communes de recourir à cette dérogation prévue par le code général des collectivités territoriales. Cette décision s‘applique à toutes les opérations de détermination du nombre et de la répartition des sièges de conseillers communautaires réalisées après le 20 juin 2014.
Ce texte propose donc un nouveau dispositif dérogatoire qui définit des limites chiffrées aux écarts de représentation entre ce que prévoit l’accord local entre les communes et l’application de la proportionnalité démographique. En outre, il renforce la condition de majorité qualifiée exigée pour l'adoption de l'accord local.
Vendredi 6 Février 2015
Dannemarie/cursus bilingue franco-allemand
Très investie en faveur du bilinguisme, le sénateur Catherine Troendlé exprime sa grande préoccupation suite à l’annonce du report sine die de l’ouverture du cursus franco-allemand au collège Jean Monnet de Dannemarie, au motif du seuil insuffisant d’inscrits germanophones dans cette filière bilingue.
Catherine Troendlé, qui partage pleinement la déception et l’incompréhension des élus locaux, vient d’intervenir auprès de Maryse Savouret, afin que l’Inspectrice d’académie du Haut-Rhin reconsidère sa position.
Pour le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, vouloir dès lors imposer à la dizaine d’élèves bilingues du secteur de Dannemarie pareil cursus au collège Herr d’Altkirch touche à la pérennité même des sites bilingues, en impactant un effet bien dissuasif et dévastateur sur les prochaines inscriptions dès les sections maternelles.
Catherine Troendlé souligne que les élus du secteur de Dannemarie ont largement engagé, depuis de maintes années, un long travail de promotion de cette filière, qu’ils cherchent à renforcer en développant des collaborations avec les communes voisines.
Enfin, la parlementaire haut-rhinoise appelle de ses vœux un enseignement bilingue le plus large possible et considéré comme une opportunité réelle pour les enfants alsaciens tant sur le plan professionnel que culturel, en raison de la situation géographique de l’Alsace, de sa proximité avec les marchés du travail suisse et allemand et ce dans un contexte économique des plus moroses.