Archives des publications


Vendredi 28 Avril 2017

inquiétudes de la filière bois concernant le projet éventuel d’interdiction des produits à base de créosote dans le traitement du bois

Catherine Troendlé avait appelé l’attention de Ségolène Royal, Ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer sur les inquiétudes de la filière bois concernant le projet éventuel d’interdiction des produits à base de créosote dans le traitement du bois, une substance présentant une forte toxicité pour l’homme et pour l’environnement.

« Au vu des enjeux tant pour la filière bois que pour les utilisateurs en aval », la Ministre a sollicité un avis du Conseil général de l’environnement et du développement durable « CGEDD) pour une évaluation des impacts d’une interdiction d’utilisation de la créosote en France pour le traitement du bois dans des secteurs pour lesquels un substitut ne serait pas disponible. Les conclusions de cette mission, attendues pour mai 2017, permettront aux autorités publiques de se prononcer sur la pertinence d’une interdiction de la production de traverses en bois créosoté.

« L’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), qui est en charge de la délivrance des autorisations de mise sur le marché des produits biocides depuis le 1er juillet 2016, considèrera l’avis du CGEDD dans sa décision finale relative à l’autorisation des produits à base de créosote » conclut Ségolène Royal.



Vendredi 21 Avril 2017

Vos parlementaires voteront François Fillon

Les 23 avril et 7 mai prochains, les électeurs choisiront notre prochain Président de la République. Sur les 11 candidats, 9 seront éliminés dès le 23 avril et il ne restera que les deux finalistes. En conséquence, aucune voix de la droite et du centre ne doit manquer à François Fillon au premier tour, pour que la France puisse connaître une véritable alternance à partir du 7 mai.

Nous, Jean-Luc REITZER, député-maire, Catherine TROENDLE et René DANESI, sénateurs-maires voterons François FILLON. Notre vote sera utile et sans états d’âme.
Car il est clairement le plus en phase avec les préoccupations des Alsaciens. Notre candidat s’est engagé à laisser aux alsaciens le libre choix de l’avenir institutionnel de l’Alsace. Il s’est engagé à ne pas fermer la centrale nucléaire de Fessenheim, c’est à dire à sauver ses emplois directs et indirects. Il créera un poste de Secrétaire d’Etat chargé des territoires transfrontaliers, qui traitera des problèmes plus ou moins suivis actuellement par quatre ministères différents. Dont celui de la Santé, avec plus de ratés que de réussite !

Car il ramènera enfin la France au plein emploi, comme nos voisins allemands et suisses ont su le faire, en libérant les énergies individuelles, en diminuant les prélèvements obligatoires et les contraintes réglementaires, en réformant la sphère publique, en réduisant les déficits de l’Etat.
Car il soutiendra et protègera la famille, si malmenée par le président sortant et sa majorité. Pilier de notre société, elle est la grande oubliée des programmes des autres candidats à la présidentielle.
Car il alliera fermeté et justice, avec le retour de l’autorité dans l’école, le respect des forces de sécurité, la maîtrise de l’immigration par le vote annuel de quotas.

Car nous avons besoin d’un homme d’État, solide et expérimenté, intransigeant face au totalitarisme islamique et capable de s’imposer dans un monde particulièrement menaçant pour notre sécurité. Cet homme, c’est François Fillon. Et c’est bien le seul !
Nous voterons François Fillon, car il a l’expérience, la détermination et la force nécessaires pour redonner un cap à la France et une espérance à chaque français.


Vendredi 7 Avril 2017

Pénalisation des clients : Un bilan bien peu convaincant !

L’heure est au bilan ce 6 avril 2016. Il y a un an, le long parcours législatif de la proposition de loi «renforçant la lutte contre le système prostitutionnel» est arrivé à son terme. Déposée en octobre 2013, elle aura connu trois débats et trois votes dans chacune des deux assemblées parlementaires, mobilisant, sans succès, une commission mixte paritaire. L'opposition entre les deux chambres s'était cristallisée autour de la disposition centrale de la loi, soit la pénalisation des clients des prostituées.

Douze mois plus tard, le texte législatif soulève bon nombre de jugements négatifs voire néfastes, à en croire les travailleuses et les travailleurs du sexe !

Lors de la discussion générale le 10 mars 2016, le sénateur Catherine Troendlé, orateur au nom du groupe LR, avait pourtant mis en mis en avant « l’incohérence fondamentale en prohibant l’achat de services sexuels tandis que la vente de ces mêmes services serait parfaitement légale. L’échange de services de cette nature deviendrait un acte pénalement ambigu, autorisé dans l’un de ses aspects et interdit dans un autre, pourtant indissociable du premier ». La copie est indéniablement à revoir !



Jeudi 6 Avril 2017

REPORT DE LA FERMETURE DE LA CENTRALE DE FESSENHEIM « LA RAISON L’EMPORTE SUR LES PASSIONS ! »

C’était l’une des promesses phares de la campagne de François Hollande. C’est un désaveu cinglant en cette fin de mandat qui vient d’être infligé au Président de la République !

Suite à l’annonce du report de la fermeture de la Centrale de Fessenheim ce jeudi 6 avril, les sénateurs haut-rhinois Catherine TROENDLE, Jean-Marie BOCKEL et René DANESI se félicitent que la raison l’ait emporté sur les passions !

"C’était une promesse démagogique d’un candidat alors en mal de majorité, désireux de rallier à lui les écologistes, au mépris des intérêts fondamentaux de notre pays et de la politique énergétique héritée du Général de Gaulle."

Force est de constater une nouvelle fois que démanteler Fessenheim serait pour le moins inutile et ruineux ! Inutile, car l’Autorité de sûreté nucléaire a considéré que la Centrale pouvait fonctionner au moins jusqu’au 31 décembre 2022, et ruineux car le coût du démantèlement aurait été de 5 milliards d’euros, sans compter les emplois qui auraient été supprimés (quelques 650 agents EDF, 250 personnes travaillant sur le site, etc…) et les effets inéluctables et néfastes sur l’économie de l’Alsace, voire de celle de la région Grand Est.

"Ce n’est certes qu’un report. Aussi, plus que jamais, nous appelons de nos vœux la victoire de François Fillon, lequel s’est prononcé sans détour pour son maintien !"



Jeudi 6 Avril 2017

REPORT DE LA FERMETURE DE LA CENTRALE DE FESSENHEIM « LA RAISON L’EMPORTE SUR LES PASSIONS ! »

C’était l’une des promesses phares de la campagne de François Hollande. C’est un désaveu cinglant en cette fin de mandat qui vient d’être infligé au Président de la République !

Suite à l’annonce du report de la fermeture de la Centrale de Fessenheim ce jeudi 6 avril, les sénateurs haut-rhinois Catherine TROENDLE, Jean-Marie BOCKEL et René DANESI se félicitent que la raison l’ait emporté sur les passions !

"C’était une promesse démagogique d’un candidat alors en mal de majorité, désireux de rallier à lui les écologistes, au mépris des intérêts fondamentaux de notre pays et de la politique énergétique héritée du Général de Gaulle."

Force est de constater une nouvelle fois que démanteler Fessenheim serait pour le moins inutile et ruineux ! Inutile, car l’Autorité de sûreté nucléaire a considéré que la Centrale pouvait fonctionner au moins jusqu’au 31 décembre 2022, et ruineux car le coût du démantèlement aurait été de 5 milliards d’euros, sans compter les emplois qui auraient été supprimés (quelques 650 agents EDF, 250 personnes travaillant sur le site, etc…) et les effets inéluctables et néfastes sur l’économie de l’Alsace, voire de celle de la région Grand Est.

"Ce n’est certes qu’un report. Aussi, plus que jamais, nous appelons de nos vœux la victoire de François Fillon, lequel s’est prononcé sans détour pour son maintien !"

Catherine Troendlé, Jean-Marie Bockel et René Danési,
sénateurs du Haut-Rhin



Samedi 1er Avril 2017

ALLEMAGNE : LE RACKET DES FRONTALIERS SE POURSUIT !

Catherine TROENDLE, Sénateur du Haut-Rhin et Présidente du Groupe d’Amitié France-Allemagne du Sénat, déplore l’instauration définitive de la taxe sur les infrastructures routières en Allemagne.

Adoptée ce vendredi par le Bundesrat, l'application de cette vignette sur l'ensemble des réseaux autoroutiers allemands sera « un sujet préoccupant dans les régions françaises frontalières de l'Allemagne » pour Catherine TROENDLE.

En effet, plus de 30 000 travailleurs frontaliers français seront désormais concernés par cette « mesure hautement discriminatoire ».

Catherine TROENDLE veut y voir « une mise à mal des politiques actuelles d'amélioration de la mobilité du travail ». Et le Sénateur Maire de Ranspach le Bas de poursuivre : « l'offre relativement faible en matière de transport collectif transfrontalier, notamment en milieu rural, ne permettra pas à ces salariés de renoncer à l'utilisation de leur véhicule personnel. Ainsi, les travailleurs frontaliers expriment, dans la perspective de ce dispositif, des inquiétudes fortes et légitimes. Les liens unissant les deux pays partenaires et moteurs de l'Union européenne sont de facto bien mis à mal tout comme le maintien des relations privilégiées nouées jusque-là en faveur d'un rapprochement entre citoyens français et allemands ».

Dès le 19 janvier dernier, elle avait interpellé le Ministre des Affaires Etrangères sur ce même sujet. Aucun élément de réponse ne lui est parvenue à ce jour !