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Mercredi 24 Octobre 2012

Délégation de députés du CDU/CSU au Palais du Luxembourg

image Comme les collègues de l'Assemblée nationale l'avaient fait avant eux, le président Jean-Claude Gaudin, la vice-présidente Catherine Troendlé et d'autres membres du groupe UMP du Sénat ont reçu une délégation de six députés CDU/CSU, membres de la commission des finances du Bundestag.

L'échange de vues, au moment où la représentation nationale s'apprête à ratifier le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG), au sein de l'Union économique et monétaire, a permis également de resserrer les liens avec les parlementaires allemands de la droite chrétienne, sociale et démocrate.



Dimanche 21 Octobre 2012

La semaine parlementaire

FRONTALIERS Catherine Troendlé

La sénatrice (UMP) du Haut-Rhin fustige le « revirement » du gouvernement sur le « droit d'option » des travailleurs frontaliers alsaciens en Suisse.
« Une période de concertation devait s'ouvrir jusqu'en 2014 », rappelle l'élue, « solution acceptable par tout le monde », mais le gouvernement, accuse-t-elle, y a renoncé par « un marchandage indigne et irresponsable ».

Catherine Troendlé, par ailleurs, a adhéré à l'Entente parlementaire sur la famille.
Elle rappelle son opposition au mariage homosexuel et veut, dit-elle, « protéger l'intérêt supérieur de l'enfant et son droit d'être accueilli et de s'épanouir dans une famille composée d'un père et d'une mère ».

(DNA du 21 octobre 2012)


Vendredi 19 Octobre 2012

Le droit d'option des frontaliers

Le dossier sur le droit d’option des travailleurs frontaliers n’en finit plus de rebondir. « Et même si l’amendement n’a pas été déposé en commission, explique Catherine Troendlé, sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, il peut, à tout moment, être présenté par le rapporteur, en séance ».

Catherine Troendlé.« Le revirement, car il s’agit bien d’un revirement, du gouvernement sur le droit d’option dont bénéficient encore les travailleurs frontaliers travaillant en Suisse, est significatif de l’attitude méprisante de l’actuelle majorité, notamment envers l’Alsace », tempête Catherine Troendlé. « Après Fessenheim et l’escadron de Ferrette, c’est à présent au tour des frontaliers. Personne ne nous fera croire que le rapporteur du budget de la Sécurité sociale à l’Assemblée nationale, Gérard Bapt, a pris seul la décision de suppression par amendement : cela, c’est fait avec l’accord du gouvernement ! Ce dernier avait reculé, dans un premier temps, face à la mobilisation massive des parlementaires de toutes les régions concernées, ainsi que face à la mobilisation des travailleurs frontaliers, notamment sous l’égide de CDTF présidé par Jean-Luc Johaneck. Une période de concertation devait s’ouvrir pour trouver, jusqu’en 2014, une solution acceptable par tout le monde. Les frontaliers sont, certes, prêts à contribuer à un effort solidaire. Mais cela ne peut se faire que sur la base d’un dispositif équitable pour tout le monde. Annoncer que la fin du droit d’option va permettre d’amoindrir la taxe sur les revenus des retraités est tout simplement scandaleux. C’est un marchandage indigne et irresponsable : pourquoi l’État ne ferait-il pas davantage d’efforts de réduction de ses propres dépenses ? M. Bapt méconnaît totalement les enjeux en cours, les conséquences néfastes pour les travailleurs frontaliers et l’économie des zones frontalières, en termes d’attractivité, d’emploi et de pouvoir d’achat. Passer en force est un acte déloyal. Les parlementaires se sont immédiatement remobilisés et ils œuvreront loyalement sur la base d’argumentaires déjà bien développés, tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat ».

Pour le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, « le gouvernement doit tenir ses engagements. Une négociation et une concertation doivent avoir lieu avant toute décision. Ce sont les engagements qui avaient été pris. Le plus scandaleux, c’est qu’ils ont laissé porter, au départ, leur message d’apaisement par leurs parlementaires PS, dont Mme Schillinger, qui, en toute bonne foi sans doute, y ont cru. Traiter ainsi sa propre majorité est sans nul doute décevant pour ces parlementaires ».

(L'Alsace du 17 octobre 2012)


Mercredi 17 Octobre 2012

Mariage homosexuel et homoparentalité

Opposée au mariage homosexuel, Catherine Troendlé vient d’adhérer à l’Entente parlementaire sur la famille.

« Depuis 2006, l’Entente parlementaire entend défendre le droit fondamental de l’enfant d’être accueilli et de s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère. À la veille du dépôt, par le gouvernement, d’un projet de loi visant à ouvrir le mariage et l’adoption aux couples de même sexe, ce projet ouvrant le droit au mariage aux personnes de même sexe et, par voie de conséquence, l’accès à la parenté à ces couples, via le mécanisme de l’adoption qui lui est intimement lié ».

Catherine Troendlé est associée à la démarche de collègues parlementaires « visant à protéger l’intérêt supérieur de l’enfant et son droit d’être accueilli et de s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère. Outre le risque de rendre sa généalogie incohérente, existe celui de l’exposer dangereusement à des difficultés d’identification et de structuration de sa personnalité ».

(L'Alsace du 17 octobre 2012)


Lundi 15 Octobre 2012

Mariage gay/Les maires bloquent sur l’adoption

Les maires alsaciens sont partagés face au mariage homosexuel. Mais c’est la question de la filiation qui suscite des réticences.

Face au projet de loi sur le mariage entre « personnes du même genre », le clivage entre la droite et la gauche est évident. Pour la gauche, la proposition de François Hollande – qui figurait au programme du candidat – s’impose naturellement. Certains maires ont d’ailleurs organisé des cérémonies autour des pacs. C’est le cas à Strasbourg et à Schiltig-heim, mais aussi dans des communes plus petites.

Dans le Haut-Rhin, la sénatrice-maire PS de Hégenheim, Patricia Schillinger, n’a célébré qu’un pacs, jusqu’à présent. Elle votera la loi qui sera présentée en conseil des ministres le 31 octobre. « Le mariage homosexuel ne posera pas de problèmes. Il existe déjà dans d’autres pays », affirme-t-elle. Sur la même ligne, le maire écologiste de Kaysersberg, Henri Stoll, considère que « deux personnes qui s’aiment doivent pouvoir se marier ». « Moi, je suis heureux si on peut permettre à des personnes d’être heureux… »

Pourtant, tous les maires ne sont pas de cet avis. René Danési, président de l’Association des maires du Haut-Rhin, premier magistrat de Tagsdorf, réclame « la clause de conscience pour les officiers d’état-civil, car au nom de l’égalité et du droit à l’enfant, on dynamite les cadres de notre société ». Pour lui, « c’est une question d’anthropologie »… Hier matin, lors de la réunion de l’association, aucun maire n’a évoqué cette question.

Pourtant, « ils en parlent entre eux et sont inquiets », assure la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, Catherine Troendlé (UMP). « Il y a des réticences fortes », indique sa collègue de Herbsheim, Esther Sittler. « La loi s’applique à tout le monde. Si moi, je ne peux pas célébrer moralement un mariage, je trouverai quelqu’un pour le faire », indique le maire UMP de Colmar, Gilbert Meyer. « Un maire peut donner délégation à un adjoint ou à un conseiller », complète le député-maire de Houssen, Eric Straumann. Pas question de s’associer aux pétitions…

Les maires qui se déclarent opposés au mariage gay se défendent de toute homophobie. Ils sont prêts, lorsqu’ils sont parlementaires, à revoir les législations fiscales, sociales et le droit à l’héritage. Mais c’est le deuxième volet qui choque de nombreux élus, à savoir le droit à l’adoption. « Le mariage est une institution de deux personnes de sexe opposé pour fonder une famille. Le mariage gay ouvre le droit à l’adoption, ce n’est pas une bonne formule », soutient le député-maire centriste de Pfastatt, Francis Hillmeyer qui pourfend « l’électoralisme de M. Hollande » et demande « un référendum sur cette question qui va bouleverser notre société ».
(...)
« Il faut garder des repères. Une famille, c’est un père, une mère et un enfant. Et pas un parent 1 et un parent 2. On bouleverse la société au nom de l’idéologie », s’insurge le député-maire UMP de Molsheim, Laurent Furst. « Pour qu’un enfant soit conçu, il faut un homme et une femme. Cela devrait être la référence », soutient Catherine Troendlé, en faisant part d’ « une conviction intime, fondée sur des valeurs ». Esther Sittler, qui va participer à un groupe de travail des opposants à la future loi, déposera des amendements contre le droit à l’adoption. « On nous parle d’enfants élevés par des couples homosexuels qui vont bien. Mais on n’a pas assez de recul », craint la sénatrice du Bas-Rhin.
...)

(L'Alsace du 14 octore 2012)




Samedi 13 Octobre 2012

Hagenthal-le-Haut/Retour aux sources

image Basé au coeur même de la ferme « les sources », le quarantième « marché à la ferme » été inauguré hier matin à Hagenthal-le-Haut.

Créer un marché, c'est revenir aux fondamentaux : un lieu avec des choses saines, un lien social avec circuit local, une action éducative et de proximité », s'est réjoui Patricia Schillinger, hier matin à Hagenthal-le-Haut, en présence de Laurent Wendlinger, président de la Chambre d'agriculture du Haut-Rhin. Son homologue, Catherine Troendlé, veut retenir « un temps et un lien forts pour notre territoire, où ont pris place de nombreux et pareils marchés ». Ils accompagnent « un comportement qui a profondément changé, à la recherche d'un produit de qualité, au plus proche de la consommation. Un beau retour aux sources ».

Pour Denis Wiederkehr, président de la communauté de communes de la Porte du Sundgau, « la jeunesse, au travers des écoles, doit être partie prenante de ce monde agricole qui ouvre ses portes, et entend pleinement valoriser une agriculture équilibrée ».

Enfin, Laurent Wendlinger a salué « cette belle initiative qui associe les générations, à l'image de la famille Klein ou de la jeune Émilie Schmitt de Ranspach-le-Haut, et garantie la traçabilité de produits non délocalisables, avec la réussite à la clé ».

(DNA du 13 octobre 2012


Mercredi 10 Octobre 2012

Hegenheim/LEA met « L'Art au coeur »

image Les collégiens du projet Comenius « LEA » ont accroché leurs travaux communs à la Fabrik de Hégenheim. « L'Art au coeur » y battra jusqu'à la fin de cette semaine.

Après une première année riche d'échanges entre les collégiens de six établissements secondaires de six pays différents d'Europe, « LEA », leur projet Comenius, fait une pause à la Fabrik de Hégenheim. Durant une semaine, la grande halle de l'ancien site industriel prête ses espaces aux travaux réalisés en commun par les élèves partenaires.

Apprendre l'Europeà travers l'art

Vendredi dernier, les collégiens concernés du Collège des Trois Pays et leurs correspondants étrangers ont présenté leur exposition baptisée « L'Art au coeur ».

Sur place, l'équipe de professeurs qui a coordonné cette première année d'échanges à la fois artistique et linguistique a été saluée par les élus, sénatrices et différents partenaires financiers de « LEA »., dont le Lions Club de Saint-Louis.

Malgré un emploi du temps bien rempli en cette fin de semaine dernière, les sénatrices Patricia Schillinger, maire de Hégenheim, et Catherine Troendlé, maire de Ranspach-le-Bas ont quand même tenu à saluer les acteurs du projet Comenius.
(...)
Tandis que Catherine Troendlé, également présidente du Sices, syndicat intercommunal regroupant les 17 communes concernées par le Collège, a rendu hommage au travail commun des équipes enseignantes impliquées en souhaitant à tous de devenir « des défenseurs de la citoyenneté européenne ».

Ghislaine Mougel

(DNA du 9 octobre 2012)


Lundi 8 Octobre 2012

Saint-Louis/Rassemblement des travailleurs frontaliers en Suisse

image Après avoir fait revenir le gouvernement au calendrier d'origine sur le dossier du libre choix de l'assurance-maladie, les travailleurs frontaliers en Suisse veulent désormais peser sur le débat public en intégrant les partis politiques.
(...)
Mais le président du CDTF a également invité les personnes présentes à se battre à l'avenir, pour que ce dossier avance, « que les frontaliers ne soient pas pressés et compressés, tout en admettant que nous devons, comme tous les Français, contribuer à l'effort de redressement du pays ». Pour ce faire, il ne s'engagera pas dans des pétitions, mais préférera d'autres moyens d'action : « C'est en voyant de grands rassemblements, des foules de gens prêts à battre le pavé pour défendre leur cause, que les politiques réagissent », avance-t-il tout d'abord. Puis il esquisse d'autres pistes, invitant les travailleurs frontaliers à tourner le dos à la politique de la chaise vide et à s'investir : « Ce sont les partis politiques qui décident qui doit être élu et quelles sont les orientations ! Ne laissons pas d'autres décider pour nous ! Si, dans certaines régions, les sections locales des partis sont majoritairement tenues par des pêcheurs, des agriculteurs ou des ouvriers, ici ce doit être les frontaliers. Le CDTF a plus d'adhérents dans le Haut-Rhin que le PS ou l'UMP dans tout le Nord-Est de la France : soyez prêts à vous investir dans les partis quand nous vous ferons signe et nous déciderons alors, tout à fait légalement, qui doit être candidat et qui doit être élu, au niveau local comme national ».

« Nous ne sommes pas là pour acter la disparition du droit d'option en 2014 en nous félicitant que ce ne soit pas 2013 : nous allons défendre cette cause au niveau régional, avec tous les élus et parlementaires alsaciens. Sur ce dossier, il faut dépasser les clivages partisans et réaliser l'union sacrée », a expliqué pour sa part Catherine Troendlé.

Matthieu Hoffstetter

(DNA 6 Octobre 2012)


Lundi 8 Octobre 2012

Réunion mensuelle des parlementaires à Paris

image Lors de la réunion mensuelle des parlementaires et grands élus de la majorité alsacienne, mardi au Sénat, il a beaucoup été question de l’augmentation brutale des droits d’accise sur la bière.
C’est André Schneider qui sera chargé de porter des amendements et de ferrailler avec la majorité rose et verte à l’Assemblée. Pour défendre les brasseries, les parlementaires alsaciens comptent s’associer à leurs collègues de l’opposition de Lorraine et du Nord.
Lors de la réunion, il a également été question du conseil d’Alsace. L’idée du référendum fait l’unanimité.

(L'Alsace du 7 octobre 2012)


Samedi 6 Octobre 2012

Politique - Frontaliers Assurance-maladie : les parlementaires se mobilisent

Douze parlementaires de l’opposition issus de régions dont les travailleurs frontaliers en Suisse sont concernés par la question du libre choix de l’assurance-maladie, se sont réunis mercredi, à l’Assemblée nationale.

Si le Gouvernement a finalement renoncé à anticiper d’un an la fin du régime dérogatoire accordant aux frontaliers français travaillant en Suisse le droit d’option pour l’assurance-maladie ( L’Alsace du 3 octobre), douze parlementaires, membres de l’opposition, des départements concernés (Haut-Rhin, Jura, Doubs, Haute-Savoie, Ain), parmi lesquels la sénatrice Catherine Troendlé et le député d’Altkirch-Saint-Louis Jean-Luc Reitzer, se sont réunis mercredi à l’Assemblée nationale. Ils ont pris plusieurs dispositions pour donner suite à ce dossier. « Concernant les courriers qui ont été adressés aux Ministres de la Santé et de l’Économie, ils ont été signés par 30 parlementaires. Cette première intervention a pour objectif de sensibiliser le Gouvernement à la nécessité de pérenniser le droit d’option au-delà du 31 mai 2014. Il est laissé le soin aux Ministres sollicités d’y répondre rapidement.
Sans réponse de leur part au bout de quinze jours, des actions fortes sont envisagées dans chaque département. Il appartiendra aux parlementaires et aux associations de défense des travailleurs frontaliers de s’accorder sur les actions à mener. Des rencontres de coordination sont d’ores et déjà prévues », rapporte Jean-Luc Reitzer.

(L'Alsace du 5 octobre 2012)


Samedi 6 Octobre 2012

Porte du Sundgau Le SCOT et ses réserves

image Mécontents de n’avoir pas été assez écoutés, les élus de la ComCom de la Porte du Sundgau ont donné lundi un avis positif sur le SCOT, mais assorti de réserves.

Consultés au niveau des communes comme de l’intercommunalité, les élus du Pays de Saint-Louis et des Trois Frontières doivent donner leur avis avant le 31 décembre sur le schéma de cohérence territoriale (SCOT). Ce document, qui fixe le cadre général de l’urbanisme pour les cantons de Huningue et Sierentz pour les prochaines décennies a provoqué quelques remous lundi soir au sein du conseil communautaire de la Porte du Sundgau.« On nous demande d’approuver toutes les aberrations qu’ils y ont mises : j’ai été consultée, mais pas écoutée, personne n’a tenu compte des remarques que j’ai formulées », a expliqué Catherine Bubendorf, maire de Ranspach-le-Haut, pour expliquer son abstention.
D’autres élus ont alors embrayé, expliquant ne pas savoir que ce document devait faire l’objet d’un vote et pensant qu’il allait encore leur être présenté. D’où une mise au point de Catherine Troendlé, maire de Ranspach-le-Bas : « Chacun a reçu un courriel pour informer que le SCOT est consultable à mon bureau, mais personne n’est venu… De même, il y a eu plusieurs réunions organisées et je n’ai vu que très peu d’élus ».
(...)
Devant le scepticisme de nombreux élus, Catherine Troendlé explique cependant avoir été surprise de trouver, dans une récente version du SCOT, « des trames vertes et corridors pour la faune qui ne nous ont jamais été présentés et proposés : rien dans ce sens n’a jamais fait l’objet d’une concertation ». Et de proposer de donner un avis positif sur le SCOT mais assorti de réserves sur ce point.
Une proposition suivie par une majorité d’élus, quatre d’entre eux choisissant tout de même de s’abstenir, marquant par ce geste leur mécontentement sur le traitement jugé « inéquitable » des communes rurales par rapport aux zones urbaines de la plaine rhénane.

(L'Alsace du 4 octobre 2012)


Samedi 6 Octobre 2012

Eglingen/Un nouveau cœur de village

image La commune d’Eglingen a créé un nouveau centre de vie sous la protection de son église, à deux pas de l’école-mairie et du restaurant « A l’Arbre vert ».
La nouvelle place, à l’écart de la route, devrait encore s’enrichir d’un terrain de pétanque. Un projet pertinent de l’équipe municipale présidée par Pierre Schmitt. L’inauguration du puits et du bâtiment communal a été le prétexte à honorer les forces vives du village.
C’est le sentiment ressenti par les élus invités à cette fête villageoise animée musicalement par la « bande à Ignace » : Jean-Luc Reitzer et Catherine Troendlé, député et sénatrice du Haut-Rhin, Charles Buttner, président du conseil général, René Danési, vice-président du conseil régional et Gérard Landemaine, président de la communauté de communes de la Porte d’Alsace.
(...)

(L'Alsace du 3 octobre 2012)


Samedi 6 Octobre 2012

Collectivités/« Pacifier le débat »

Les états généraux de la démocratie territoriale, qui ont débuté hier au Sénat, et qui se poursuivent aujourd’hui à la Sorbonne, en présence de François Hollande, sont-ils une « mascarade » ? Le terme a été employé par la sénatrice UMP du Haut-Rhin Catherine Troendlé, qui a rappelé, à l’ouverture de l’atelier consacré aux relations entre l’État et les collectivités, que Marylise Lebranchu, ministre de la Fonction publique, a annoncé la semaine dernière que le texte de loi sur la décentralisation était « déjà prêt ».

« C’est un mot malheureux de la ministre, sur laquelle elle est d’ailleurs revenue », rétorque Jean-Pierre Bel, président socialiste du Sénat. « Ces états généraux concrétisent un vrai changement de méthode. Jamais dans ce pays, on n’avait réuni 25 000 élus. »

Le millefeuille administratif, dénoncé à droite et à gauche et qui alourdit le fonctionnement des pouvoirs publics ? « C’est une tarte à la crème », répond Jean-Pierre Bel. « Il faut garder les échelons de proximité que sont les communes et les départements, même s’il convient de mieux préciser qui fait quoi. »

Le cumul des mandats ? « Il faut arrêter d’agiter le chiffon rouge ! Je m’applique à moi-même le mandat unique. Mais on ne pourra pas imposer un texte contre une assemblée ! » La philosophie du président du Sénat ? « Il faut pacifier le débat. » Du Hollande dans le texte.

(L'Alsace du 5 octobre 2012)


Samedi 6 Octobre 2012

Frontaliers/droits d'options / Les élus UMP veulent pérenniser


Dans le dossier du droit d'option pour les travailleurs frontaliers français en Suisse (droit de choisir entre le système d'assurance-maladie français ou suisse), douze parlementaires UMP (sénateurs et députés, parmi lesquels Catherine Troendlé et Jean-Luc Reitzer) se sont réunis mercredi à l'assemblée nationale pour faire le point sur le sujet.

Cette réunion fait suite à l'envoi d'un courrier signé par 30 parlementaires aux ministres de la Santé et de l'Économie et demandant la pérennisation du droit d'option au-delà de la date butoir du 31 mai 2014 [qui avait déjà été fixée par le gouvernement précédent, ndlr].
Dans ces lettres, les élus demandent des réponses rapides, faute de quoi « des actions fortes sont envisagées dans chaque département. Il appartiendra aux parlementaires et aux associations de défense des travailleurs frontaliers de s'accorder sur les actions à mener. »

(DNA du 5 Octobre 2012)


Vendredi 5 Octobre 2012

Frontaliers/droits d'option

Le député Jean-Luc Reitzer et la sénatrice Catherine Troendlé ont pris acte, « avec satisfaction de l’abandon du projet du gouvernement de mettre fin au libre-choix de l’assurance maladie avant le 31 mai 2014. La mobilisation du monde frontalier et des parlementaires des régions concernées, toutes tendances politiques confondues, a contribué à faire reculer le gouvernement. Cette décision brutale, prise sans concertation, était irréfléchie ! Elle ne prenait même pas en compte le retour des 130 000 frontaliers dans le système de protection sociale français, ni les conséquences pour les assurances privées. Surtout, cette décision grotesque, ne prenait pas en compte la contribution économique apportée par les travailleurs frontaliers à nos territoires. Il n’en demeure pas moins qu’il nous appartient de rester vigilants et d’étudier toutes les opportunités permettant de maintenir ce droit d’option ».

Députés et des sénateurs se sont réunis à l’Assemblée Nationale le 3 octobre afin d’aborder la question du libre choix de l’Assurance maladie des travailleurs frontaliers. Douze parlementaires ont assisté à cette réunion, dont les deux Haut-Rhinois, Catherine Troendlé et Jean-Luc Reitzer.

Les courriers, qui ont été adressés aux ministres de la Santé et de l’Économie, ont été signés par 30 parlementaires. « Cette première intervention a pour objectif de sensibiliser le gouvernement sur la nécessité de pérenniser le droit d’option au-delà du 31 mai 2014 », estime Jean-Luc Reitzer.

« Il est laissé le soin aux ministres sollicités d’y répondre rapidement. Sans réponse de leur part au bout de quinze jours, des actions fortes sont envisagées dans chaque département. Il appartiendra aux parlementaires et aux associations de défense des travailleurs frontaliers de s’accorder sur les actions à mener. Des rencontres de coordination sont d’ores et déjà prévues ».

La sénatrice Catherine Troendlé estime, pour sa part, que « le gouvernement a reculé. Mais le problème n’a été que repoussé d’un an.

C’est sans aucun doute également la forte mobilisation des parlementaires UMP du Doubs, de Savoie, de Haute-Savoie et des Alsaciens qui a contribué à faire reculer le gouvernement qui revient à valider l’échéance de 2014. Mais le problème reste entier, c’est reculer pour mieux sauter ! Le dossier sera débattu dans toute sa dimension sur la base des éléments qui nous ont été fournis, notamment par Jean-Luc Johaneck Les parlementaires UMP alsaciens continueront à porter les légitimes revendications des travailleurs frontaliers, moi en tête ! ».

(L'Alsace du 5 octobre 2012)


Lundi 1er Octobre 2012

Blotzheim/L'école maternelle inaugurée

image Vendredi soir, le maire Jean-Paul Meyer accueillait les élus, les enseignants et les forces vives de la commune pour inaugurer l’école Jeanne d’Arc suite à la rénovation et à l’extension.





Depuis l’idée de départ, en 2008, et la finalisation du projet, « que de travail réalisé tant au niveau du comité de pilotage et du conseil municipal pour arriver à un tel résultat » ! Les superlatifs ne manquaient pas lors de la cérémonie pour qualifier cette réalisation dont la maîtrise d’œuvre a été confiée au cabinet d’architecture Daniel Munck de Ferrette.

Comme l’a rappelé le maire, les travaux ont duré 18 mois et le coût global s’est élévé à 1,5 MF dont 546 000 euros de subventions (DETR et Conseil Régional).

Pascale Schmidiger, vice-présidente du Conseil Régional a apprécié « ce grand moment qui nous renvoie à de grandes émotions ». Isabelle Schaeffer, inspectrice, a dit sa satisfaction de voir la « superbe école qui a demandé beaucoup de concertation réalisée grâce à une démarche exemplaire de la commune ». La directrice Hélène Hanu a exprimé sa joie pour « cette école qui est belle et en plus très fonctionnelle ». Charles Buttner, président du Conseil Général a témoigné de sa « réelle amitié pour le territoire dans ce secteur trinational » en rappelant la maxime qui veut qu’un « monde qui ne sert pas l’enfant en premier est un monde sans lendemain ». Et pour finir, le député Jean-Luc Reitzer a loué « le sens de la bonne gestion de la commune » tout en se félicitant des réalisations « qui donnent du travail à nos artisans ».

Satisfaction générale donc pour cette école qui permettra aux petits blotzheimois un début de vie sociale très prometteur

(L'Alsace du 31 septembre 2012)


Lundi 1er Octobre 2012

DNL/Frontaliers

Catherine Troendlé souhaite que les parlementaires alsaciens de l'UMP évoquent demain, lors de leur réunion mensuelle au Sénat, la suppression annoncée du droit d'option dont bénéficient les travailleurs frontaliers en matière d'assurance-maladie.
« Un front alsacien doit se mobiliser sur ces craintes légitimes exprimées par les frontaliers », dit la sénatrice haut-rhinoise.

(DNA du 1er Octobre 2012)


Lundi 1er Octobre 2012

Strasbourg et Mulhouse/A l'initiative des sénateurs

(...)
Pour le reste, les participants (une soixantaine dans le Bas-Rhin, plus de 80 dans le Haut-Rhin) ont planché sur les trois ateliers « standard » comme tous les départements. Ils ont insisté particulièrement sur quelques points.
Plusieurs maires se sont plaints de l'attitude de l'État, plus souvent « gendarme qu'accompagnateur », rapporte la sénatrice (UMP) Catherine Troendlé. Ont été soulignés ainsi « le manque de culture territoriale de certains fonctionnaires d'État » comme la « jungle réglementaire et la boulimie normative de l'administration », a relayé la sénatrice (UMP) Fabienne Keller.
(…)
Quant au cumul, les élus souhaitent conserver un ancrage local aux parlementaires, et laisser libre le nombre de mandats successifs d'un même élu. À Mulhouse comme à Strasbourg, l'idée d'élire au suffrage universel direct le président d'une intercommunalité a été réprouvée. « Il est inconcevable que le président d'une intercommunalité soit élu au suffrage universel ; ce serait incohérent » pour Catherine Troendlé, sénatrice (UMP), maire de Ranspach-le-bas
(…)
Jacques Fortier

(DNA du 30 Septembre 2012)