Lundi 17 Décembre 2012

chuchotemens DNL/Catherine Troendlé La leçon à Lebranchu

Lors des entretiens territoriaux de Strasbourg, le 5 décembre dernier, Marylise Lebranchu a promis que pour une norme nouvelle créée, le gouvernement en supprimerait deux.
« La ministre a pioché tout simplement dans la page 26 du programme électoral de Nicolas Sarkozy qui proposait que "chaque fois qu'un ministre voudra créer une nouvelle norme, il devra m'en proposer deux anciennes à supprimer"», assure, un brin ironique, la sénatrice Catherine Troendlé.
Et la présidente de l'UMP 68 d'inviter « tous les ministres en panne de sujets de réformes efficaces, à reprendre les 30 pages d'idées. »

(DNA du 17 Décembre 2012)


Mercredi 5 Décembre 2012

Escapade parisienne



L’association des anciens soldats du feu de Ranspach-le-Bas a fêté ses 10 années d’existence lors d’un voyage de quatre jours à Paris où les anciens sapeurs-pompiers ont visité, entre autres, le Palais du Luxembourg avec la sénatrice Catherine Troendlé.
Sous la houlette de Paul-Bernard Munch, ils ont découvert le Panthéon, haut lieu des immortels de l’Histoire de France. Le Sacré-Cœur de Montmartre, la Défense et ses tours, le musée Grévin, la rue du Bac et sa chapelle où en 1830 la Vierge serait apparue à Catherine Labouré, la tour Eiffel, le ravivement de la flamme sur la tombe du Soldat Inconnu à l’Arc de Triomphe, et une soirée au Lido ont embelli cette escapade culturelle en prélude des fêtes de Noël.
Pour finir, ils ont prouvé leur courage en réduisant à néant une tentative malveillante de jeunes pickpockets sur le point de détrousser un touriste !

Ce séjour restera gravé dans les mémoires de ces anciens qui font toujours partie des forces vives du corps des sapeurs-pompiers de Ranspach-le-Bas.

(L'Alsace du 5 décembre 2012)


Mardi 4 Décembre 2012

UMP alsacienne/"Prenez exemple sur l'Alsace"

Les tribulations nationales de l'UMP ne réjouissent ni les élus, ni les militants de l'UMP alsacienne. Le bureau politique bas-rhinois a appelé samedi à tout mettre en oeuvre pour sortir de la crise. Le bureau politique haut-rhinois se réunira mercredi.
(...)
Secrétaire de l'UMP du Haut-Rhin, Eric Straumann ne constate « aucune hémorragie dans les rangs » de la fédération. Le député maire de Houssen « n'imagine pas une scission de l'UMP dont l'essentiel des rangs est issu du RPR ». « Je les vois mal se diviser », dit-il en restant toutefois prudent : « Il faut se méfier, on peut se retrouver un jour avec deux candidats de l'UMP et le FN qui passe devant ».

La sénatrice Catherine Troendle inscrit l'UMP alsacienne dans la motion que les sénateurs ont approuvée mercredi ; le texte appelle à l'unité et demande l'organisation d'un référendum. Elle réunira mercredi le bureau du Haut-Rhin qu'elle préside. Seuls trois adhérents haut-rhinois auraient rendu leur carte.

« Les militants sont patients », constate l'élue. Elle note qu'un communiqué commun, signé par les parlementaires copéistes et fillonistes, avait été rédigé après la première promulgation des résultats en faveur de Jean-François Copé. « Aucun fossé ne s'est créé. Aujourd'hui, nous ne sommes plus pour l'un ou pour l'autre. Nous sommes surtout des cadres représentant les militants », dit-elle.
Jacques Fortier et Franck Buchy

(DNA du 2 Décembre 2012)


Dimanche 2 Décembre 2012

Crise de l’UMP : les parlementaires veulent préserver « l’unité alsacienne »

En Alsace, les parlementaires UMP suivent, inquiets, le jeu de massacre entre Fillon et Copé. Tous veulent pour préserver l’unité du mouvement. (...)

Mais les présidents des deux fédérations, André Reichardt (67) comme Catherine Troendlé (68), malgré des choix différents, affichent le même objectif : préserver l’unité de leur mouvement. Éviter de reproduire en Alsace les dissensions nationales. Depuis quelques jours, les militants reçoivent de nombreuses lettres d’explication, de leurs instances comme de certains parlementaires. Car tous ont conscience que les adhérents sont « déboussolés ».
(...)
« Les militants nous envoient des mails ou nous téléphonent pour s’inquiéter de ce qui se passe à Paris. Ils sont déstabilisés par la création d’un second groupe à l’Assemblée, alors que nous leur demandons de rester unis. Au Sénat, nous sommes restés unis, même si cela ne correspond aux attentes ni de Copé, ni de Fillon. Nous sommes lucides, plus dans le travail, moins dans la cohue".

YB
(L'Alsace du 2 décembre 2012)


Samedi 1er Décembre 2012

UMP/Tous contre un mariage pour tous

Le débat sur le « mariage pour tous » proposé lundi soir par les députés UMP Jean-Louis Christ et Eric Straumann et la sénatrice Catherine Troendlé a rassemblé quelque 200 personnes à Houssen.
En fait de débat, il s’agissait d’une réunion de mobilisation contre le projet gouvernemental, comme les parlementaires UMP ont été invités à le faire partout en France.
À la tribune, pas d’experts, ni de représentants des associations gays et lesbiennes, mais seulement les trois parlementaires, qui ont d’abord expliqué pourquoi leur parti s’oppose à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Dans la salle, on a entendu des militants, quelques représentants de diverses confessions religieuses et des anonymes, visiblement tous hostiles au projet, à part quelques voix discordantes.

Du côté des parlementaires, on dénonce, à l’image d’Eric Straumann, un projet « juridiquement superfétatoire », que l’UMP souhaite remplacer par une simple union civile.

On agite aussi comme chiffon rouge « l’effet domino » : après le mariage pour tous, la légalisation de la polygamie ou l’accès des couples homosexuels à la procréation médicalement assistée, voire aux mères porteuses.
« On ouvre la boîte de Pandore », assure Catherine Troendle. Jean-Louis Christ en appelle même au « maintien de la cohésion sociale » : « Ici en Alsace, on a appris un certain nombre de fondamentaux de la morale chrétienne. C’est notre héritage, on doit le défendre ».

Dans la salle, on mélange allègrement les références à la Genèse et le Code civil, à Sodome et à la Constitution. Le maire de Montreux-Vieux prévient qu’il « n’assumera pas ces mariages » et réclame une « liberté de conscience » pour les élus. Un retraité évoque ces « couples hétérosexuels qui attendent des années pour pouvoir adopter » : « De grâce, pensons d’abord à eux ». Et pour cette ancienne puéricultrice, pas de doute, « les enfants ont besoin d’un père et d’une mère, pas d’un parent 1 et d’un parent 2 ». Elle refuse aussi que, pour les couples hétérosexuels déjà mariés, le mariage ne soit « galvaudé ».

On n’échappe pas non plus à quelques poncifs, la palme revenant au maire de Carspach : « Quand les vaches sont en chaleur, elles se montent dessus, mais ça ne fait pas de petits veaux ». Sans oublier cet homme, qui fustige « la dépravation et l’immoralité des gauchistes », et se demande pourquoi, il ne pourrait pas « se marier avec son frère ». On parle aussi d’organiser les déplacements pour la grande manifestation contre le projet, le 13 janvier à Paris. « Sur un sujet de société aussi fondamental, on doit être capable de se mobiliser, de descendre dans la rue », estime le député Christ.

On entendra tout de même deux contradicteurs durant la soirée : « Est-ce que la majorité qui a élu Hollande s’est trompée », interroge cet homme qui oppose la « tolérance » au « bon sens » revendiqué par les opposants au mariage pour tous. Ou encore ce jeune homme qui n’a pas connu son père : « Je pense être normal, ce n’est pas marqué sur mon front. Pourquoi estimer qu’on a forcément besoin d’un père et d’une mère ? ».

(L'Alsace du 28 novembre 2012)


Samedi 1er Décembre 2012

Brinckheim/une belle affluence

Cette onzième édition du salon des artistes et collectionneurs de Brinckheim aura connu une grande affluence.
Parmi la vingtaine d’exposants, Jean-Pierre Collavini présentait pour la première fois des décorations de Noël sur des racines d’arbre qu’il ramasse dans la forêt et même à la déchetterie. Il les nettoie, il les lustre, il les illumine et leur donne une seconde vie.

La société d’histoire de Bartenheim, avec son diaporama de photos des maisons de Brinckheim a attiré plus d’un curieux. Certains visiteurs cherchaient leur maison et d’autres s’émerveillaient alors qu’ils reconnaissaient un habitant du village.

Tous les exposants se sont surpassés et ont fait bien des heureux.

(L'Alsace du 26 novembre 2012)






Samedi 1er Décembre 2012

Gérard Rapp, homme de conviction

C’est une sympathique réception qui s’est tenue lundi soir à l’Agora de Sierentz en présence de nombreux élus, d’une importante délégation de MOF (Meilleurs ouvriers de France).
Cette prestigieuse société est présidée Gérard Rapp depuis 2008. Ce Sundgauvien s’est vu remettre par le général d’armée Jean-Louis Georgelin, ancien chef des Armées et grand chancelier de la Légion d’Honneur, les insignes d’Officier de la Légion d’Honneur. Le maire de Sierentz Jean-Marie Belliard a introduit la cérémonie sur : « Ce moment d’exception qu’est la remise de cette distinction, une reconnaissance de la République pour Gérard Rapp ». Le premier vice-président des MOF, le grand chef Jean-François Girardin a présenté « L’homme d’ouverture et de rapprochement que sont Gérard Rapp et son investissement dans le travail de formation professionnelle d’excellence en France et à l’international. C’est une personnalité hors du commun qui a redonné un blason à notre société ». Le général Jean-Louis Georgelin a insisté sur la transmission par les MOF aux plus jeunes, à travers 200 métiers. « Un héritage de savoirs qui perdurera et dont on peut être fier. Cette distinction met en avant un citoyen fédérateur et acteur essentiel dans notre société. Gérard Rapp est homme de conviction, un patriote et un défendeur des valeurs de notre République. Il est habité par la certitude de l’excellence. »

(...)
Sabine Hartmann

(L'Alsace du 30 novembre 2012)