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Samedi 31 Mai 2014

Santé/Catherine Troendlé dénonce la pénurie de gynécologues en Alsace

Catherine Troendlé, sénateur UMP du Haut-Rhin, a interpellé le directeur de l’Agence régionale de santé au sujet du manque de gynécologues en Alsace et de la fermeture de la polyclinique de Saint-Louis. « Un nombre croissant de femmes, jeunes en particulier, se retrouve dans l’impossibilité de consulter un gynécologue, du fait du vieillissement et donc du départ à la retraite – sans remplacement – de ces derniers.
L’Alsace est particulièrement touchée par cette diminution des effectifs de l’ordre de 39,7 % entre 2008 et 2013 et une prévision de -34,1 % pour la période allant de 2013 à 2018, écrit-elle. Il en va pour preuve le cas de la polyclinique de Saint-Louis, qui s’est vu suspendre, le 17 février dernier, pour trois mois, l’activité de son service de gynécologie obstétrique, en raison d’une équipe médicale insuffisante. » La suspension a été prolongée jusqu’au 1er septembre. L’élue a insisté auprès du directeur de l’ARS « sur la nécessité du maintien de ce service dans la région des Trois Frontières » et « d’augmenter le nombre de postes d’internes de médecine, spécialité gynécologie médicale, pour l’année universitaire 2014-2015. »

(L'Alsace du 31 mai 2014)


Mardi 27 Mai 2014

Européennes/les réactions

Dans une bonne partie des communes des cantons de Huningue et de Sierentz, le FN est arrivé, parfois très largement, en tête lors de ces élections européennes. Ici comme ailleurs, le grand vainqueur de ce scrutin aura été l’abstentionnisme, qui a obtenu un score record. Réactions d’après scrutin.
(...)
Catherine Troendlé, sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, et présidente départementale de l’UMP, se dit « particulièrement attristée par le score du FN. Cela me rappelle la sombre période de notre histoire qui a débuté par la mise en place, de manière démocratique, des extrêmes. »

Mais Catherine Troendlé se dit heureuse d’avoir pu contribuer de façon active sur le positionnement d’Anne Sander sur la liste Morano. « J’ai voté pour elle au CNI (Comité national d’investiture). Avec Anne Sander, on aura une députée européenne immédiatement opérationnelle, puisqu’elle connaît le parlement européen de l’intérieur. Ce qui lui permettra de s’emparer immédiatement des dossiers et d’être une députée européenne qui va valoir au parlement européen ».

La sénatrice UMP se dit tout de même un peu rassurée à la lecture des résultats du canton de Huningue, où l’UMP devance le FN dans pas mal de communes. Chez elle, à Ranspach-le-Bas. Mais aussi à Attenschwiller, de deux voix. À Folgensbourg, d’une seule voix. À Hagenthal-le-Bas et Hagenthal-le-Haut. À Hégenheim bien sûr (lire ci-dessus), à Hésingue, à Leymen, à Liebenswiller, à Neuwiller et Ranspach-le-Haut. À Village-Neuf et à Wentzwiller. Là où la plupart des maires sont encartés UMP ?
(...)

N.G.

(L'Alsace du 27 mai 2014)


Dimanche 25 Mai 2014

Rythmes scolairs / Les maires veulent des réponses

image Lors de leur assemblée générale, hier à Vieux-Thann, les maires du Haut-Rhin ont décidé de rencontrer « en urgence » le recteur.

La réforme des rythmes scolaires passe mal chez les élus locaux. Reconduit, hier, à la présidence de l’Association des maires du Haut-Rhin, un fauteuil qu’il occupe depuis 1995, René Danési, maire de Tagsdorf et vice-président du conseil régional, a décidé d’interpeller l’État.

Positions plus radicales

Au nom de son bureau, il va « demander une rencontre en urgence au recteur d’académie, afin de discuter des différents aspects, notamment financiers, de cette réforme » , a-t-il expliqué, en prévenant : « Sans réponse claire, nous convoquerons une nouvelle assemblée générale ». Auparavant, une vingtaine de maires étaient intervenus sur le sujet. À l’exception notable d’Antoine Homé, conseiller régional et maire PS de Wittenheim, qui applique déjà la réforme, une majorité d’élus ont fait part de leurs inquiétudes. Une petite minorité a même annoncé vouloir rester à la semaine de quatre jours. Si les autres maires se disent prêts à appliquer la réforme, ils se sont interrogés sur l’intérêt de regrouper les activités périscolaires le vendredi après-midi…

« Entre février et maintenant, la position des maires s’est radicalisée. Les nouveaux élus, qui représentent un tiers des maires, ont découvert la complexité du problème. Et le délai leur paraît très court, avant la rentrée. Souvent, ils n’ont ni les moyens, ni les structures, ni le personnel » , explique René Danési, qui plaide pour « la prise en compte des situations locales ».

Mise à jour

Le bureau de l’association haut-rhinoise a été élu à l’applaudimètre. Trois vice-présidents sortants ont été réélus : Jean-Marie Belliard, Catherine Troendlé et Martine Laemlin. Les nouveaux sont Yves Hemedinger (premier adjoint de Colmar), Jean Rottner (maire de Mulhouse), Antoine Homé (Wittenheim) et Jacques Cattin (Vœgtlinshoffen). Bernard Sacqueree (Wickerschwihr) a été reconduit au poste de trésorier et Jean-Marie Freudenberger (Wittersdorf) à celui de secrétaire.

Par ailleurs, une mise à jour des statuts a été adoptée, pour prendre en compte la montée en puissance des communautés de communes. Elles désigneront la soixantaine de délégués au comité directeur de l’association.

(L'Alsace du 25 mai 2014)


Samedi 24 Mai 2014

Rythmes scolaires/Le vendredi qui fâche

« Benoît Hamon va finir par se mettre tout le monde à dos et se retrouver tout seul, à force de faire des cadeaux à l’opposition, et aux syndicats d’enseignants ». Paul Raoult, le président de la FCPE, défenseur acharné des rythmes version Peillon, ne décolère pas.

Valéry Marty, la présidente de la Peep, elle, a voté en faveur du décret Peillon, car « il présente des avancées après six mois d’autisme, mais tout n’est pas réglé, comme la difficulté à recruter des encadrants pour les activités ».

C’est surtout le vendredi qui fâche et qui mobilise une coalition de mécontents, qui va du président de la FCPE à la sénatrice UMP Catherine Troendlé. Car instituer une demi-journée d’activités le vendredi après-midi revient à faire terminer l’école le vendredi midi, donc à allonger le week-end, contrairement aux préconisations des chronobiologistes.

La parlementaire haut-rhinoise milite carrément en faveur de cours le samedi matin. Qui était prévu dans le décret Peillon, mais à titre dérogatoire.
« On veut tous des enfants performants, j’ai la faiblesse de croire que tout le monde pense d’abord à l’intérêt de l’enfant » , avance Catherine Troendlé. Qui ajoute : « Je me démarque de Jean-François Copé, on n’a pas le droit de dire, il ne faut pas faire ».

Ph Rivet

(L'Alsace du 24 mai 2014)


Samedi 24 Mai 2014

Rythmes scolaires/Le bras de fer continue

Benoît Hamon maintient la généralisation de la réforme à la rentrée 2014. L’UMP demande un moratoire. Un collectif de maires appelle à manifester ce samedi.

Le décret Hamon du 8 mai dernier sur les rythmes scolaires, pris en « complément » du décret fondateur signé par Peillon en janvier 2013, était destiné à calmer les esprits. C’est plutôt raté.
Mardi matin, le groupe UMP du Sénat a décidé de déposer une proposition de loi portée par son président, Jean-Claude Gaudin, pour exiger un moratoire et un financement pérenne spécifique pour les activités périscolaires. « Le moratoire serait une marque d’intelligence et d’apaisement » , plaide Catherine Troendlé, qui fut la présidente UMP de la mission d’information sénatoriale.

Et ce samedi, le collectif de maires, qui revendique 700 élus, présidé par Jean-Michel Fourgous, maire UMP d’Élancourt (Yvelines) – battu aux dernières législatives par… Benoît Hamon – organise une manifestation à Paris, de « la statue de Jules Ferry située aux Tuileries jusqu’au ministère de l’Éducation nationale ».

« Vaine obstruction politique » , balaie l’entourage de Benoît Hamon, qui repousse toute idée de moratoire. Le ministre « se situe dans le temps de l’usinage. Après avoir arrondi les angles, il est maintenant dans la mise en œuvre concrète. Le principe des neuf demi-journées est maintenu. La réforme sera généralisée à la rentrée 2014. Les communes récalcitrantes seront obligées de se plier aux horaires du temps scolaire qui relèvent de la compétence de l’État ».

Cadeau ?

Les assouplissements destinés prioritairement aux 6 % de communes qui n’avaient pas déposé de projet, autorisent le retour aux 6 heures de cours par jour et surtout, ouvrent la possibilité de concentrer les activités périscolaires sur un après-midi. Une mesure dont le bénéfice irait aux enseignants si le vendredi était retenu.

Cadeau déguisé ? « Nous n’étions pas demandeurs » , se défend Sébastien Sihr, pour le Snuipp-Fsu, principal syndicat du primaire. « La concentration sur une demi-journée était surtout destinée aux communes rurales pour leur faciliter le recrutement d’animateurs et instituer des après-midi tournants sur un secteur » , réagit-on au cabinet de Benoît Hamon. Comprendre : pas à des grandes villes comme Lyon qui ont fait pourtant ce choix et celui du vendredi…

Quant à la pérennisation du financement, prière d’attendre. « Il est assuré pour les deux ans à venir. On a seize mois pour caler une aide aux communes les plus en difficulté » , explique-t-on chez Benoît Hamon, où l’on ne confirme pas le montant de l’enveloppe pour 2015-2016, annoncé par Les Échos à 200 millions d’euros.

Le bras de fer continue. Jusqu’au détricotage complet de la réforme ? Ou comment transformer de l’or en plomb.

PH R.

(DNA DU 24 mai 2014)


Mardi 20 Mai 2014

Osenbach/visite parlementaire



Catherine Troendle, sénatrice du Haut-Rhin, s’est rendue vendredi après-midi à Osenbach. Une visite officielle pour la nouvelle municipalité, Christian Michaud le maire et ses adjoints.

Tout d’abord dans les locaux de la mairie, puis lors de la découverte d’une partie du village, notamment des travaux du futur ALSH, du parking et des panneaux photovoltaïques posés sur les locaux des services techniques, les élus locaux ont pu converser avec la parlementaire

(L'Alsace du 20 mai 2014)


Dimanche 18 Mai 2014

Propos des sénateurs UMP alsaciens Esther Sittler, Françoise Boog, Francis Grignon, Fabienne Keller, André Reichardt et Catherine Troendlé

Évoquée depuis plusieurs mois, imposée par décret, sans discussion préalable à l’Assemblée et au Sénat, la réforme des rythmes scolaires désorganise la totalité de la chaîne éducative. […] Nous demandons un moratoire pour la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires, tant que l’État n’assumera pas clairement la compensation intégrale et pérenne des coûts réels de cette réforme. Ce que le Parlement n’aurait pas manqué de demander et d’obtenir, s’il avait été saisi. »
Dans un appel de l’ensemble des sénateurs UMP Esther Sittler, Françoise Boog, Francis Grignon, Fabienne Keller, André Reichardt et Catherine Troendlé.

(DNA du 18 mai 2014)


Dimanche 18 Mai 2014

Elus/semaine parlementaire/Rythmes scolaires

À l’issue de l’audition du ministre de l’Éducation nationale, la sénatrice Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) a estimé que ce dernier n’avait « malheureusement pas pu répondre de façon tranchée à la question relative au financement des charges induites pour les communes liées à la mise en œuvre des rythmes scolaires ».

« Face à une baisse sans précédent des dotations de l’État, les communes n’auront d’autre choix que d’augmenter la pression fiscale locale », attaque la présidente de la Mission commune d’information sur la réforme des rythmes scolaires.

(DNA du 18 mai 2014)


Dimanche 18 Mai 2014

Saint-Louis/jean Ueberschlag distingué

image Le parlementaire honoraire Jean Ueberschlag s’est vu épingler la médaille d’honneur régionale, départemental et communale en or par le préfet Vincent Bouvier hier vendredi dans les salons de l’hôtel de Ville de Saint-Louis, dont il a été le maire de 1989 à 2011.

Au titre « d’un engagement exemplaire en faveur de Saint-Louis, notre ville, sa ville pour la durée et la qualité de son investissement qui rendent pleinement justifiées cette reconnaissance » dixit son successeur Jean-Marie Zoellé.
(...)
Le mot de la fin est revenu au récipiendaire, lequel a confessé « n’avoir eu de cesse de travailler avec fidélité et sincérité pour Saint-Louis depuis l’installation du cabinet dentaire en 1964, au contact d’une population extraordinaire et chaleureuse ».

(DNA du 17 mai 2014)


Dimanche 18 Mai 2014

Rythmes scolaires/Moratoire demandé par l'UMP

La sénatrice UMP du Haut-Rhin Catherine Troendlé a répété à Benoît Hamon, ministre de l’Éducation, la volonté du groupe UMP au Sénat de suspendre la réforme sur les rythmes scolaires. « Un moratoire s’impose jusqu’à la rentrée 2015. Il faut une loi préalable garantissant l’intérêt de l’enfant et répondant aux besoins des communes », a-t-elle affirmé, lors des questions d’actualité.
« Vous nous jugerez d’ici deux ou trois ans au niveau atteint par les élèves de CM2 », a répondu Benoît Hamon.

Les sénateurs alsaciens UMP Françoise Boog, Francis Grignon, Fabienne Keller, André Reichardt, Esther Sittler et Catherine Troendlé ont cosigné un appel pour ce moratoire, « tant que l’État n’assumera pas clairement la compensation intégrale et pérenne des coûts réels de cette réforme ».

(L'Alsace du 18 mai 2014)


Samedi 17 Mai 2014

Philippe Richert plaide pour le dialogue

Le président UMP du conseil régional, Philippe Richert, a expliqué sa démarche par rapport à la réforme institutionnelle annoncée par Manuel Valls, hier, devant quelque 450 élus, dont une large majorité de maires.

Relancer le projet de conseil d’Alsace ? Philippe Richert n’y croit pas. Pourtant sa « passion pour l’Alsace » demeure intacte. « Ce projet était une occasion unique » , a répété, hier, le président du conseil régional, en taclant « tous ceux qui, dans les conseils généraux, ont voulu sauver leurs postes » et ont fait échouer le référendum. Ce qui lui valut des applaudissements des maires alsaciens réunis à la Maison de la Région…
(...)

Belfort et Montbéliard ?

Philippe Richert est parti du principe que le gouvernement socialiste ira au bout de sa réforme, même s’il « ne croit pas dans la diminution de moitié des Régions ». Écartant tout rapprochement avec Champagne-Ardenne ( L’Alsace d’hier), il s’est dit ouvert à une discussion avec la Lorraine, mais aussi avec le Territoire de Belfort – dont les élus penchent vers un rapprochement avec l’Alsace – « et éventuellement Montbéliard pour la continuité urbaine avec Mulhouse et Belfort ». Même si cela semble « plus compliqué » , a-t-il reconnu, en prenant les sénateurs du Haut-Rhin, Jean-Marie Bockel et Catherine Troendlé, à témoin…
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(L'Alsace du 18 mai 2014)


Jeudi 15 Mai 2014

ÉDUCATION-RYTHMES-SÉNAT-PARTIS-UMP-PS-PARLEMENT

PARIS, 14 mai 2014 (AFP) - Le rapport de la mission d'information du Sénat sur les rythmes scolaires a été rejeté mercredi, au grand dam de sa rapporteure Françoise Cartron (PS) qui y a vu "un coup politique" de l'UMP.

Créée il y a six mois à la demande de l'UMP, cette mission de 33 sénateurs était présidée par l'UMP Catherine Troendle.
Son rapport a été rejeté par 16 voix, UMP et UDI-UC, 15 sénateurs, PS, RDSE (à majorité PRG) et écologistes votant pour, et deux Communistes, républicain et citoyen (CRC) s'abstenant.

"C'est une opération politique menée par l'UMP sur le dos des enfants", a accusé Mme Cartron devant la presse. "On a franchi une étape", a-t-elle ajouté.

"C'est l'UMP qui a demandé la formation de la mission afin d'évaluer l'application de la réforme des rythmes scolaires, établir des constats et émettre des préconisations", a poursuivi la sénatrice de la Gironde. "Mais même la présidente UMP s'est déjugée en votant contre le rapport", a-t-elle poursuivie en se déclarant "trahie".

"Ces sénateurs se tirent une balle dans le pied en faisant en sorte que leur travail parte à la poubelle", a renchéri Françoise Laborde (RDSE).

"Ils avaient une feuille de route dès le premier jour de travail de la mission, et ils n'en ont pas varié d'un iota", a-t-elle poursuivi.

Pour sa part, Jean-Claude Carle (UMP) a affirmé que les propositions qu'avaient formulées les sénateurs de son groupe avaient été rejetées par la majorité des membres de la mission.

Parmi celles-ci figuraient un moratoire pour la mise en oeuvre de la réforme à la rentrée 2015. Ils ont aussi demandé le vote préalable d'une loi créant une dotation de compensation "ayant un caractère pérenne". Ils ont souhaité que les maires puissent avoir le libre choix de l'organisation du temps scolaire des écoles maternelles et élémentaires.

"Les 18 propositions du rapport n'offrent aucune garantie quant à l'application sereine de la réforme sur l'ensemble du territoire", a jugé Mme Troendle.

Catherine Morin-Desailly (UDI-UC) a critiqué pour sa part la méthode du gouvernement. "Une succession de décrets ne donne pas l'occasion d'une vraie réflexion mais conduit à l'échec", a-t-elle dit.

DEPECHE AGENCE FRANCE PRESSE
14/05/2014


Jeudi 15 Mai 2014

MEGEVE – La commission sénatoriale observe la spécificité montagnarde dans la réforme des rythmes scolaires.


Hier dans la salle du conseil municipal de Megève, la commission sénatoriale terminait son tour de France des enseignants, des élus et partenaires concernés par la réforme des rythmes scolaires. (…) A Megève, comme à Araches les Carroz le matin, il était toujours encore et toujours question des projets de mise en place des rythmes en fonctions des projets locaux tenant compte de la spécificité « ski » chère aux stations du département.
« Nous avons mis en place cette commission pour évaluer les décisions du gouvernement, explique la sénatrice UMP du Haut-Rhin, Catherine Troendlé. Il y avait un problème de méthodologie avec la réforme des rythmes scolaires proposée par Vincent peillon. On ne pouvait pas appliquer la même chose à toute la France sans tenir compte des spécificités locales. Nous avons relevé dix questions qui, sans réponses de sa part, risquaient de rendre impossible la réforme. Il ne nous a jamais répondu. Quand Benoit Hamon a pris sa place, il nous a répondu en huit jours. Et depuis avec « ces tours de table » organisées partout en France, nous avons bien avancé pour une réforme plus en adéquation ». (…)

(Le Dauphine libéré du 13 mai 2014)


Dimanche 11 Mai 2014

Huningue/Aux 50 millions de morts

image La ville de Huningue a commémoré, mercredi soir, devant le monument aux Morts, le 68e anniversaire de la victoire du 8 mai 1945.


La cérémonie a été placée sous le signe d’un « hommage aux cinquante millions de victimes de la Seconde Guerre mondiale ». L’hommage a d’emblée trouvé un sens solennel et profond, par la magnifique Marche des soldats de Robert Bruce, interprétée sous la direction de Sandrine Bitonti par l’harmonie municipale.

« Se souvenir est un devoir et une nécessité pour fonder l’Europe », a ensuite souligné le message de Kader Arif, secrétaire d’État aux anciens combattants. Et, après le dépôt des gerbes par le maire Jean-Marc Deichtmann, la sénatrice Catherine Troendlé et le président de la FNACA, suivi par la sonnerie aux morts et La Marseillaise , la cérémonie a été close par la marche des enfants de troupe.

(DNA du 9 mai 2014)


Dimanche 11 Mai 2014

Saint-Louis/Commémoration du 8 mai

image La ville de Saint-Louis a fêté avec faste et ferveur, jeudi en soirée, le 69e anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945. La présence d'une adorable fillette a donné un sens fort à la cérémonie.


Le monument aux morts est magnifiquement drapé de bleu, de blanc et de rouge. Les sociétés patriotiques, le corps des sapeurs-pompiers, l'orchestre Harmonie, la batterie Fanfare, la chorale des enfants du conservatoire de musique, de nombreux invités, sont tous rassemblés.
(...)

«Sa jeunesse, sa force et son espoir»

Alors, la flamme est ravivée, une gerbe déposée, des décorations remises. Le message du secrétaire d'Etat aux anciens combattants et l'ordre du jour n°9 de la Première armée française sont lus. Et, tandis que Chant du Départ, Marseillaise et Sonnerie aux morts vibrent dans l'air, les drapeaux se balancent dans le bleu du ciel comme des oriflammes.
(...)

(DNA du 10 mai 2014)


Samedi 10 Mai 2014

Saint-Louis/Foire du livre/L'amour des mots

image Grande fête de la lecture, la foire du livre de Saint-Louis a été inaugurée, hier soir, en présence du maire Jean-Marie Zoellé et du journaliste et écrivain Olivier Barrot, président de cette 31e édition. Jusqu’à demain soir, auteurs, artistes, conférenciers, éditeurs vont échanger avec le grand public.

Du simple rendez-vous autour du livre il y a encore trois décennies, la foire du livre de Saint-Louis est devenue, au fil du temps, l’événement culturel incontournable du Pays des Trois frontières. Ici, éditeurs, auteurs, artistes, journalistes et écrivains, bibliothécaires, aventuriers de l’autoédition numérique ne boudent pas leur plaisir de partager leur amour des lettres et des mots avec les lecteurs.

Un amour encore clamé, hier soir, lors de l’inauguration de cet événement qui a eu lieu en présence de personnalités et placé, cette année, sous le signe des connexions.
(...)

(DNA du 10 mai 2014)


Vendredi 9 Mai 2014

Heidwiller/Au chevet des écoliers

La commune de Heidwiller a célébré hier le 69e anniversaire du 8 mai 1945, en présence des écoliers du village qui, comme chaque année, ont participé à la commémoration en interprétant le « Chant des partisans ».

Devant le monument aux morts de Heidwiller, les écoliers avaient pris place, hier, au premier rang pour participer, comme chaque année, à la célébration du 69e anniversaire du 8 mai 1945, commémorant la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie.

Après avoir lu le message du secrétaire d’État délégué aux Anciens combattants, Kader Arif, le maire, Gilles Fremiot, a déposé, en compagnie d’un représentant des anciens combattants, une gerbe devant le monument aux morts.

« Pour que vive le devoir de mémoire »

Les écoliers du village ont ensuite entonné le Chant des partisans , encadrés par l’enseignante Claudine Etschmann.

« Il est important d’associer la jeunesse à ces cérémonies pour que vive le devoir de mémoire », a déclaré le maire. Des écoliers qui sont, cette année encore, l’objet de toutes les attentions dans la commune après l’annonce de la fermeture d’une des deux classes élémentaires de Heidwiller. L’inspection a, semble-t-il, fait marche arrière, mais les élus et les parents d’élèves attendent toujours une confirmation écrite (lire encadré).

Parmi les fermetures de classes annoncées par la directrice académique des services de l’Éducation nationale, en avril dernier, figurait l’une des deux classes élémentaires de Heidwiller. « Lundi, l’adjoint en charge des affaires scolaires, Marc Steiner, a été reçu en compagnie d’une délégation de parents d’élèves par l’inspectrice de circonscription, M. Gasser , explique le maire, Gilles Fremiot. Elle leur a annoncé que la fermeture n’était plus à l’ordre du jour. Mais nous restons vigilants, en attendant une confirmation par écrit. »

Le maire de Heidwiller comme les enseignantes et les parents d’élèves n’ont pas compris cette annonce, dont ils ont pris connaissance par la presse, sachant que l’école est au-dessus des seuils de fermeture, avec quatre élèves supplémentaires annoncés pour la rentrée prochaine.

Des trois classes de Heidwiller – une maternelle et deux élémentaires – c’est l’une des deux élémentaires qui est ou était menacée. Les élus restent mobilisés. Ils rencontrent aujourd’hui, à sa demande, la sénatrice Catherine Troendlé. « On est toujours dans l’expectative , estime Marc Steiner. Ce n’est pas sain que l’on ne parle que de chiffres et de calculs quand il s’agit de l’éducation de nos enfants. »

(L'Alsace du 9 mai 2014)


Mardi 6 Mai 2014

Bartenheim/n nouveau label pour Le Gaulois

image Un restaurant vient d’accrocher la plaque « Qualité tourisme » délivrée par le ministère du Tourisme : il s’agit du Gaulois, à Bartenheim.

En se lançant en 2007 dans l’aventure du Gaulois, Lucienne et Pascal Paquin ont permis à leur fils Jérôme de découvrir ses talents de cuisinier et de développer ainsi une nouvelle passion aux fourneaux de l’entreprise familiale.
(...)
Lundi 28 avril, un représentant de Service en tête, délégataire pour le ministère du Tourisme de la marque Qualité tourisme, a remis la précieuse plaque à la famille Paquin et ses collaborateurs, en présence de Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin, et de Jacques Ginther, maire de Bartenheim, qui a exprimé son souhait qu’avec « l’obtention de ce label, les prix n’augmentent pas ».

(L'Alsace du 6 mai 2014)


Dimanche 4 Mai 2014

Rythmes scolaires : Catherine Troendlé remet une pétition.

Au Sénat, la sénatrice UMP Catherine Troendlé a remis au ministre de l'Education nationale les signatures recueillies par la pétition lancée sur les rythmes scolaires dans le Haut-Rhin.

« À ce jour, 153 maires exigent une juste et pérenne compensation par l’État » , écrit-elle dans un communiqué.

(L'Alsace du 4 Mai 2014)


Dimanche 4 Mai 2014

Semaine parlementaire/Premiers secours

Le Sénat a adopté à l’unanimité la proposition de loi visant à introduire une formation pratique aux gestes de premiers secours dans la préparation du permis de conduire, sur le rapport de Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin).
Il s’agit de développer des notions élémentaires de premiers secours : alerter les secours, baliser les lieux, ventiler, comprimer et sauvegarder la vie des blessés.

Les initiateurs du texte estiment qu’« entre 250 et 350 vies pourraient être sauvées chaque année si, sur les lieux d’un accident, les témoins possédaient la connaissance des gestes de premiers secours ».

(DNA du 4 mai 2014)


Vendredi 2 Mai 2014

Permis de conduire: le Sénat unanime pour adopter un texte ajoutant une formation aux premiers secours

Le Sénat a été unanime mercredi pour adopter une proposition de loi UMP ajoutant une formation aux premiers secours dans le cadre de la préparation du permis de conduire.

Le texte doit encore recevoir l'aval de l'Assemblée nationale mais le gouvernement a pris l'engagement, par la voix du secrétaire d'Etat aux Collectivités André Vallini, de prendre le décret d'application d'ici l'été.
(...)
Esther Bassens (Ecologiste) a salué le travail de la rapporteure de la commission des Lois Catherine Troendle (UMP) qui a prévu qu'au lieu d'une épreuve spécifique, l'examinateur devra s'assurer que le candidat maîtrise les notions élémentaires des premiers secours. "Encore faut-il que cette formation soit effectivement dispensée à tous, dès l'école, au travail et tout au long de la vie", a-t-elle conclu.

(Le Point 30 avril 2014)


Jeudi 1er Mai 2014

Le Sénat ajoute une formation aux premiers secours pour le permis de conduire

Le Sénat ajoute une formation aux premiers secours pour le permis de conduire

Le texte doit encore recevoir l'aval de l'Assemblée nationale, mais le gouvernement a pris l'engagement, par la voix du secrétaire d'Etat aux collectivités, André Vallini, de prendre le décret d'application d'ici à l'été. La proposition de loi de Jean-Pierre Leleux ne contient qu'un article : « Les candidats à l'examen du permis de conduire sont formés aux notions élémentaires de premiers secours en cas d'accident de la circulation. Cette formation est sanctionnée dans le cadre de l'examen du permis de conduire. »
(...) Esther Bassens (écologiste) a salué « le travail de la rapporteure de la commission des lois Catherine Troendle (UMP), qui a prévu qu'au lieu d'une épreuve spécifique l'examinateur devra s'assurer que le candidat maîtrise les notions élémentaires des premiers secours ».

(Le Monde 30 avril 2014)


Jeudi 1er Mai 2014

Sécurité routière/Du nouveau pour les apprentis conducteurs

Le Sénat a été unanime mercredi pour adopter une proposition de loi UMP ajoutant une formation aux premiers secours dans le cadre de la préparation du permis de conduire.


Pour décrocher le permis, il faudra désormais maîtriser quelques notions de premiers secours. Le Sénat a adopté à l’unanimité mercredi une loi ajoutant une formation « aux notions élémentaires de premiers secours en cas d’accident de la circulation » dans le cadre de l’examen du permis de conduire.

« Dans la préparation à l’épreuve théorique, des diapositives seront consacrées aux réflexes à avoir en cas d’accident », explique Catherine Troendlé , sénatrice UMP du Haut-Rhin, rapporteur du texte. Objectif : permettre à chacun de savoir qui appeler, quoi dire aux services de secours, quelle chronolgie des faits donner mais aussi savoir se protéger pour éviter un suraccident.

Une nouvelle épreuve du code

Cette connaissance sera sanctionnée lors de l’examen du permis de conduire. Le contenu de la formation et la vérification de son assimilation par les candidats seront fixés par voie réglementaire. « Il y aura obligatoirement des questions sur cette thématique lors du passage du code. Par ailleurs, au moment de l’examen pratique, l’examinateur pourra poser des questions sur les premiers secours », explique Catherine Troendlé.

Le texte doit encore recevoir l’aval de l’Assemblée nationale mais le gouvernement s’est engagé à prendre le décret d’application d’ici l’été. La nouvelle formation pourrait ainsi être mise en place « dès 2015 », selon Catherine Troendlé.

Pour Jean-Pierre Leleux, sénateur UMP des Alpes-Maritimes, auteur de la proposition de loi, « chaque année, entre 250 et 350 vies pourraient être sauvées si ces témoins connaissaient les gestes de premiers secours ».

Le sénateur préconisait une initiation aux « cinq gestes qui sauvent », intégrant de ventiler, comprimer et sauvegarder la vie des blessés.

« Aujourd’hui pratiquer la respiration artificielle sur les blessés, est un geste plus contesté en cas d’accident de la circulation », explique Catherine Troendlé qui a préféré consacrer la formation aux fondamentaux, à savoir alerter les secours, réservant les gestes techniques aux spécialistes.

Élodie Bécu

(DNA du 2 Mai 2014)