Archives des publications


Dimanche 30 Novembre 2014

Parlement - Aux côtés des CCI

Catherine Troendlé s’est félicitée cette semaine d’avoir, avec ses collègues UMP, fait amender le projet de loi de finances 2015 pour permettre aux chambres de commerce et d’industrie (CCI) et aux chambres d’agriculture de « conserver un niveau de fonctionnement raisonnable ».

Par exemple, cite la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, ils ont réussi à faire limiter à 69 millions d’euros la baisse du plafond de la taxe affectée aux CCI contre 213 millions, comme le prévoyait initialement le texte soumis par le gouvernement.

(L'Alsace du 30 novembre 2014)


Dimanche 30 Novembre 2014

Soirée des Maires à Paris

image René Danési et Catherine Troendlé ont fait visiter le Sénat, mercredi soir, aux maires et adjoints haut-rhinois. Avant le diner offert par les quatre sénateurs du département.

(L'Alsace du 30 novembre 2014)








Lundi 24 Novembre 2014

Au Sénat/Quid des ressources communales ? –

Catherine Troendle appelle les maires haut-rhinois à faire pression pour que les députés pérennisent la diminution du fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales adoptée cette semaine par les sénateurs.
En bref, ces derniers ont voté une baisse de moitié du prélèvement des ressources de certaines collectivités, destiné à leurs homologues moins favorisées.
Cette réduction, estime la sénatrice-maire UMP de Ranspach-le-Bas, leur permettra « de bénéficier d’un second souffle dans un contexte financier difficile », marqué par « une réduction sans précédent des aides de l’État ».

(L'Alsace du 23 novembre 2014)


Lundi 24 Novembre 2014

Saint-louis/Nouveau journal, nouveau site

« L’Alsace » a organisé, jeudi soir, une réception à la Fondation Fernet-Branca, afin de présenter sa nouvelle formule.
L’occasion aussi de marquer le 70e anniversaire du quotidien, en même temps que la Ville de Saint-Louis commémorait sa libération.
De nombreux invités ont répondu présent, jeudi soir, à l’espace Fernet-Branca où L’Alsace avait convié élus, clients, annonceurs et correspondants à découvrir son nouveau site, tout comme la nouvelle formule de l’édition papier. Les invités, et parmi eux les conseillers généraux Max Delmond et Daniel Adrian, Catherine Troendlé, sénateur-maire de Ranspach-le-Bas et Jean Ueberschlag, président de la Fondation Fernet-Branca et député-maire honoraire de Saint-Louis, ont été reçus par Jacques Romann, directeur général de L’Alsace et Christian Battesti, rédacteur en chef.
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(L'Alsace du 23 novembre 2014)


Lundi 24 Novembre 2014

Les coiffes alsaciennes font le buzz

image Christelle Baldeck, la fondatrice du collectif « Les Alsaciennes unies » ne sait plus où donner de la coiffe…

Depuis la parution dans L’Alsace de l’article « Des coiffes qui décoiffent » (le 30 octobre), l’histoire des Alsaciennes qui s’affichent dans la rue avec un grand nœud noir pour protester contre la fusion avec La Lorraine et la Champagne Ardenne est montée… en épingle par les médias nationaux.

Après France 3, TF1, i-Télé, RTL et Radio Judaica, France 2 a présenté le combat du collectif des Alsaciennes, dimanche soir, au journal de 20 h, dans un sujet consacré aux régions qui, comme l’Alsace, la Bretagne, la Corse ou le Pays Basque, souhaitent « cultiver leur identité ».

Pour mettre les Alsaciennes coiffées en boîte, une équipe de France 2 s’est déplacée dimanche après-midi au salon du tourisme à Colmar, où une douzaine de militantes de ce collectif féminin, qui se veut apolitique, s’était donné rendez-vous pour manifester devant les nombreux visiteurs leur attachement à l’Alsace.

Un signe de ralliement

« Dans une grande région, les décisions seraient prises près de Paris. Je crains alors qu’on ne fasse plus grand cas de la défense des particularités de l’Alsace », s’inquiète Christelle Baldeck.

Le costume traditionnel en général, et la coiffe en particulier, sont la deuxième expression d’une identité régionale, après la langue. Et aussi un signe de ralliement en Alsace.

« Nous sommes aujourd’hui une trentaine de filles à porter la coiffe dans la vie quotidienne », signale Christelle Baldeck. La fondatrice du mouvement porte désormais sa coiffe également au sein de l’étude de notaire où elle travaille comme secrétaire. « Mon employeur trouve ça bien, et les clients aussi…

(L'Alsace du 11 novembre 2014)


Samedi 22 Novembre 2014

Saint-Louis/70e anniversaire de la Libération

image Le poids des ans et la distance n’ont pas eu raison des liens privilégiés qui unissent Saint-Louis à ses libérateurs. Jeudi, la première ville d’Alsace libérée en 1944 a rendu un hommage vibrant aux derniers compagnons d’armes de la Brigade légère du Languedoc.

C’est sur fond de stèle des Libérateurs, avenue du Général-de-Gaulle, que Saint-Louis a commémoré jeudi, par le verbe, la musique et la reconnaissance, le 70e anniversaire du retour du drapeau français à Saint-Louis, le 20 novembre 1944. Si cérémonie était souhaitée « simple, digne et chaleureuse » (dixit le maire Jean-Marie Zoellé), elle n’en a pas moins revêtu un caractère de grande solennité.
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(L'Alsace du 22 novembre 2014)



Samedi 22 Novembre 2014

Sarkozy candidat… même à la tête de l’UMP

image Quelque 3 000 personnes ont assisté au meeting de Nicolas Sarkozy, organisé mercredi soir à Mulhouse, dans le cadre de la campagne interne pour la présidence de l’UMP. Mais le discours de l’ancien président de la République dépasse de très loin cette simple échéance.

Mercredi soir, 19 h 10 très précises : le Palais des sports de Mulhouse se lève comme un seul homme sous les vivats. Nicolas Sarkozy, l’homme que les quelque 3 000 personnes présentes attendent toutes, fait enfin son apparition sur scène, serré de près par un aréopage de figures de l’UMP, venues de tout le Grand Est. Maire de la ville, Jean Rottner a l’honneur des premiers mots.

Passées les salutations d’usage, il va droit au but : « Rejoindre Nicolas Sarkozy, pour moi, c’est une évidence, à partir du moment où l’on réfléchit à la situation de notre pays. Il faut une ligne, il faut un leader, capable d’incarner une opposition forte face à un gouvernement de gauche qui nous conduit à la catastrophe. Et ce leader, c’est toi, Nicolas ! »
« Sortir d’une période de division »
Nouveaux vivats. L’ancien président de la République rejoint à son tour le pupitre. À ce moment précis, on peut encore croire qu’il s’agit d’un meeting organisé dans le cadre de l’élection du nouveau président de l’UMP, élection où Nicolas Sarkozy doit affronter deux candidats concurrents : Hervé Mariton et Bruno Le Maire. Trêve de suspense et de naïveté : leurs noms ne seront pas prononcés une seule fois de la soirée. Le scrutin du 29 novembre prochain ? Enjambé. Dépassé.

Dans ses paroles, Nicolas Sarkozy se veut déjà dans l’après, loin, bien loin de cette compétition interne. Comme au-dessus de la mêlée : « Il ne s’agit pas seulement d’élire un nouveau président de l’UMP, de définir un nouvel organigramme, de dire qui fera quoi dans le mouvement. Il s’agit de sortir notre famille politique d’une période de division qui nous a humiliés , insiste d’emblée l’ex-président. Il s’agit, pour moi, de mettre un terme aux querelles d’ego, qui ont été dévastatrices pour l’image de notre famille politique. »
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(L'Alsace du 20 novembre 2014)


Jeudi 20 Novembre 2014

Nicolas Sarkozy en défenseur de la cause alsacienne à Mulhouse

image Candidat à la présidence de l’UMP le 29 novembre prochain, Nicolas Sarkozy était de passage à Mulhouse ce mercredi soir. Dans un Palais des sports tout acquis à sa cause, l’ex-président de la République a décliné les grandes lignes de son nouveau programme politique. Et il n'a pas manqué de se faire l’avocat de la cause alsacienne, estimant que la fermeture de la centrale de Fessenheim était « un non-sens » et contestant la carte des régions dessinées par le gouvernement. Seule la question des frontaliers n’a pas été abordée, et ce malgré la présence de bonnets rouges dans la salle. Pour le plus grand bonheur des 2500 militants et sympathisants.

(L'Alsace du 20 novembre 2014)



Jeudi 20 Novembre 2014

Une autre fusion dans le collimateur

Elle a été occultée par celle qui concerne les régions, mais une autre fusion a fait l’objet de montées au créneau ces derniers mois, dont une prise de position de la com.com du secteur d’Illfurth qui en a rejeté l’idée au début de l’été. En l’occurrence, il s’agit de rapprocher les gardes-champêtres et les policiers municipaux pour les fondre en une entité unique de « police territoriale », cette proposition de loi des sénateurs François Pillet et René Vandierendonck ayant été adoptée au Sénat en première lecture le 16 juin dernier. De facto , la Brigade verte haut-rhinoise n’y échapperait pas.

Alors ? «Pour l’heure, nous avons obtenu un amendement pour un maintien en l’état de la Brigade verte jusqu’en 2019 », explique-t-on au secrétariat parlementaire de Catherine Troendlé, sénatrice haut-rhinoise opposée à cette fusion.

Reste qu’une solution devra être trouvée, soit un statu quo , soit effectivement cette fusion, soit une autre piste qui n’a pas encore émergé

Une chose est sûre, la perspective d’une fusion n’enchante pas du tout les gardes de la Brigade verte. Pas plus du reste que les policiers municipaux interrogés à ce sujet...

DNA du 20 novembre 2014)


Mardi 18 Novembre 2014

La commission des Lois à Chartes

image La commission des lois, présidée par Philippe Bas (UMP - Manche), s'est déplacée à Chartres, le lundi 17 novembre 2014, afin de préparer l’examen du projet de loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) qui débutera au Sénat en décembre prochain.

Cette journée de travail, première réunion délocalisée du "Sénat hors les murs", à laquelle a participé le président du Sénat, Gérard Larcher, s’est organisée autour de trois tables rondes respectivement consacrées à la place de la commune et à ses relations avec l’intercommunalité, à l’attractivité économique des territoires et aux politiques d’aménagement et de développement durable des territoires.

L’objectif de cette journée a été de rencontrer les acteurs de terrain - élus, acteurs économiques, représentants de l’État - afin d’enrichir le débat parlementaire.

Public Sénat du 18 novembre 2014


Vendredi 14 Novembre 2014

Les jeunes élus à Paris

image Le mandat du conseil municipal des jeunes vient de s’achever par un voyage à Paris. Du mardi 28 au jeudi 30 octobre, les jeunes élus kembsois ont eu l’occasion de découvrir les monuments incontournables de la capitale et d’approfondir leurs connaissances dans le vaste domaine des institutions françaises. Guidés par le premier adjoint, Jean-Paul Bandinelli, 17 jeunes du CMJ ont effectué le voyage. Ils étaient encadrés par Philippe Basler, adjoint au maire et responsable du CMJ, Francis Schacher, adjoint au maire, Thierry Hartmann, conseiller, et Rachel Lang, conseillère. D’entrée, le groupe a pu découvrir le Sénat, grâce à la visite organisée par la sénatrice Catherine Troendlé.
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(L'Alsace du 12 novembre 2014)


Vendredi 14 Novembre 2014

Armistice 1918 : Commémoration à Hegenheim

image Dimanche, la commune de Hégenheim a commémoré, avec ferveur et solennité, la signature de l’Armistice de 1918 mettant fin aux longs combats meurtriers de la Grande Guerre. Sur fond de monument aux morts, la commune a sacrifié au devoir de mémoire par le dépôt de trois gerbes, notamment par le maire, Thomas Zeller, les parlementaires Catherine Troendlé et Jean-Luc Reitzer, Pascale Schmidiger, vice-présidente du conseil régional, et Alain Girny, président de la communauté de communes des Trois Frontières.

Les cuivres de la fanfare de Bourgfelden, les musiciens de l’Union de Hégenheim, les chorales des jeunes et de 1864 se sont associés à cette cérémonie, orchestrée par le lieutenant-colonel Jean-Paul Ketterlin, président de la section UNC-AFN de Sierentz. Pour sa première venue à Hégenheim, le député Jean-Luc Reitzer en a appelé au devoir de mémoire de ceux, trop nombreux, tombés au champ d’honneur.

L’heure était également à l’avancement au sein du corps local des sapeurs-pompiers. La cérémonie a prêté son cadre à la remise par Thomas Zeller des galons de sergent au caporal-chef Christophe Klein.

(L'Alsace du 12 novembre 2014)


Jeudi 13 Novembre 2014

Saint-Louis a commémoré l'Armistice de 1918

image Mardi sur fond de flamme de la mémoire ravivée par le maire Jean-Marie Zoellé et le sénateur Catherine Troendlé, la traditionnelle commémoration de l’Armistice du 11 Novembre 1918 a prêté son cadre officiel à la remise de décorations, agrafées par le Lieutenant Colonel Albert Elser, président de l’Office Municipal des Sociétés Patriotiques (OMSP).

Les Récipiendaires ont pour noms : croix de la valeur militaire avec étoile de bronze au titre de la guerre d’Algérie à Marcel Kairys et celle de porte-drapeau avec étoile « argent » pour les plus de dix années de porte –drapeau de l’amicale des cadre de réserve de Saint-Louis au lieureant de réserve Eric Zink.

La lecture du message de Kader Arif, secrétaire d’Etat à la Défense, chargé des Anciens combattants a précédé le dépôt de la gerbe par Catherine troendlé, Jean-Marie Zoellé, Pascale Schmidiger, vice-présidente du Conseil régional, et Max Demond, conseiller général du canton de Huningue.

(DNA du 13 novembre 2014)



Mardi 11 Novembre 2014

Haut-Rhin : Rencontre 2014 des femmes maires

image Après le Sundgau et Leymen en 2013, ce sont le Piémont vosgien et Katzenthal qui ont prêté leur cadre à la rencontre des femmes maires du Haut-Rhin et à ce temps d’échange.

De cinq élues en 1989, le nombre des femmes maires est passé à huit aux élections municipales de 1995, à 21 en 2001, à 29 en 2008 (32 en fin de mandat). Depuis le renouvellement municipal du printemps dernier, elles sont au nombre de 27 premières magistrates communales. Plus de la moitié (soit 58 %) ont été reconduites dans leurs fonctions au printemps dernier. Douze ont été nouvellement élues.

Sur les 27 femmes maires que compte à présent la Haute Alsace, 17 ont fait le déplacement à Katzenthal. Sous la conduite du maire Nicole Tisserand, la belle cité viticole, village martyr lors de la libération de la poche de Colmar en 1944-1945, a livré ses richesses patrimoniales : « Katzenthal a su renaître de ses cendres, plus pimpant et plus attrayant que jamais ! »

Dominant le village blotti au fond d’un vallon couvert de vignes au bord de la Route des vins, le château du Wineck, qui vient de faire l’objet d’importantes rénovations, a ouvert ses lourdes portes, sous la conduite du président Pierre Laengy, aux femmes maires de Haute-Alsace.

(L'Alsace du 11 novembre 2014)


Dimanche 9 Novembre 2014

La vie des entreprises, simplifiée ou non

Le Sénat a adopté, cette semaine, un projet de loi relatif à la simplification de la vie des entreprises. S’il est « nécessaire » , celui-ci « n’est pas abouti pour réellement et concrètement soutenir l’activité des entreprises dans tous les domaines » , dénonce le sénateur UMP du Bas-Rhin, Guy-Dominique Kennel. Il déplore notamment que les « principales mesures de choc pour la simplification, comme la réduction des délais de permis de construire, concernent essentiellement les missions des administrations ».

Petite satisfaction, néanmoins, pour ses collègues alsaciens (UMP) Catherine Troendlé et André Reichardt : le compte personnel de prévention de la pénibilité, « mesure phare de la réforme des retraites » , a été supprimé, ce qui doit « libérer les chefs d’entreprises d’obligations administratives tout aussi pointilleuses qu’inefficaces ».

(L'Alsace du 9 novembre 2014)


Dimanche 9 Novembre 2014

REFORME TERRITORIALE/24 élus signent une tribune

Vingt-quatre élus alsaciens signent ensemble une tribune pour remobiliser les opposants à une fusion de l'Alsace. L'examen définitif du texte par l'Assemblée nationale est prévu le 18 novembre. Voici le texte de leur tribune :

Députés socialistes alsaciens : prenez vos responsabilités !

"Le Sénat vient d’adopter par 220 voix contre 118, un nouveau découpage territorial qui tient compte des réalités économiques et sociales des territoires et redonne à l’Alsace son statut actuel, celui d’une région à part entière. Ce texte a été approuvé très nettement par des élus de tous bords, qu’ils soient écologistes, communistes, socialistes, radicaux, centristes ou UMP.

A présent, il appartient à l’Assemblée nationale de se prononcer sur cette réforme. Trois hypothèses de redécoupage des régions sont en débat.

L’union de l’Alsace et de la Lorraine est proposée par certains élus socialistes. Mais en réalité cette hypothèse est désormais caduque. Elle a été rejetée au Sénat par le Gouvernement qui proposera, à l’Assemblée nationale, de revenir à la méga-région. Soutenir que l’Alsace-Lorraine est encore une option est illusoire.

La seconde hypothèse est celle qui a été adoptée en 1ère lecture à l’Assemblée nationale et qui regroupe l’Alsace à la Lorraine et à la Champagne-Ardenne. Notre région, l’Alsace, ferait alors partie d’un territoire vaste comme deux fois la Belgique. Cette méga-région comporterait ainsi plus de 500 lycées. Un tel territoire éloignerait immanquablement les élus des réalités du terrain et fragiliserait le service public de proximité. Un territoire où Strasbourg serait particulièrement excentrée et se verrait sans doute fragilisée dans son statut de capitale régionale.

Enfin, la troisième hypothèse, c’est celle que nous défendons avec le Sénat et qui maintient l’Alsace comme région à part entière. Une région qui ne manque pas d’atouts : sa métropole, ses infrastructures, ses relations économiques fortes entre le Bas-Rhin, le Haut-Rhin mais aussi avec les autres régions voisines, françaises, suisses et allemandes. Une région qui est forte de son identité, de sa culture et de son droit local. Une région qui veut avancer sur la voie d’un nouveau projet de fusion des collectivités locales et servir d’exemple à d’autres territoires.

Ce débat débutera le 18 novembre prochain à l’Assemblée nationale et, comme depuis de longs mois, nous ne nous déroberons pas. Nous continuerons à porter inlassablement la voix des Alsaciennes et des Alsaciens avec toutes celles et ceux qui souhaitent défendre l’Alsace, quelle que soit leur couleur politique. Avec le Maire de Strasbourg, qui a rappelé qu’il ferait le choix de l’Alsace plutôt que la très grande Région Est, mais aussi avec les députés socialistes alsaciens.

Oui, unis, nous serons plus forts et nous appelons les députés socialistes alsaciens à se prononcer clairement en faveur de ce projet adopté par 101 conseillers régionaux et généraux de tous bords. Nous les appelons à relayer cette volonté auprès de leurs collègues du groupe socialiste et les convaincre du bienfondé de ce projet. Nous les appelons à prendre leurs responsabilités dans ce débat si important pour l’avenir des Alsaciens.

L’ambition que nous portons pour notre région et pour notre pays doit nous réunir, doit nous renforcer, doit nous fédérer. Nous proposons aux élus alsaciens de toutes sensibilités politiques de se mobiliser afin qu’au terme du débat au Parlement, la région Alsace ne disparaisse pas."

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Les signataires, par ordre alphabétique :
(...) Catherine TROENDLÉ – Sénatrice du Bas-Rhin


Dimanche 9 Novembre 2014

Catherine Troendlé rappelle au président ses engagements

Sénateur UMP du Haut-Rhin, Catherine Troendlé a écrit au Président de la République pour lui rappeler ses engagements, peu après le vote du Sénat la semaine dernière.

«Le 3 août dernier, vous nous avez fait l'honneur de co-présider une cérémonie commémorant le centenaire du déclenchement de la Première Guerre Mondiale, au Hartmannswillerkopf. A cette occasion, sur le temps de déjeuner, vous êtes venus à la rencontre des Parlementaires alsaciens, toutes sensibilités confondues et en présence du Président du Conseil Régional, Monsieur Richert. Nous vous avons alors exposé notre projet alsacien, d'un Conseil Unique d'Alsace, dans le périmètre actuel de notre région. Vous nous avez écouté et avez pu constater notre détermination et notre sincérité dans la démarche qui était la nôtre. Vous aviez alors accepté de recevoir quelques parlementaires à l'Elysée, à ce jour vous n'avez pas encore honoré cet engagement », écrit notamment Catherine Troendlé.

JH

(Ami Hebdo du 9 novembre 2014)


Dimanche 2 Novembre 2014

Catherine Troendlé reste à la Cour.

Les sénateurs ont choisi, mercredi, six juges titulaires et autant de suppléants à la Cour de justice de la République, dont la tâche est de juger les ministres pour des crimes et délits commis dans l’exercice de leurs fonctions.

L’UMP Catherine Troendlé, 1re vice-présidente de la Commission des lois du Sénat, a été désignée juge suppléante, comme depuis 2011.

(L'Alsace du 2 novembre 2014)


Dimanche 2 Novembre 2014

Apprentissage

« Alarmée par la baisse importante » du nombre d’entrées en apprentissage en 2013, Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin), a interpellé le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle.

Dans sa réponse, Michel Sapin explique qu’il reste de nombreux chantiers à mettre en place.
« L’objectif de 500 000 apprentis en 2017 ne semble pas près d’être atteint, dans ces conditions, alors que l’on sait que l’apprentissage est une formation qui favorise l’insertion professionnelle des plus jeunes », regrette la sénatrice.

(DNA du 2 novembre 2014)


Samedi 1er Novembre 2014

Réforme territoriale/Après le débat au Sénat, L'Alsace se démarque

Les sénateurs René Danesi (à gauche) et Guy-Dominique Kennel ont exprimé leur franc-parler. PHOTOs DNA – F. BUCHY
Les sénateurs René Danesi (à gauche) et Guy-Dominique Kennel ont exprimé leur franc-parler. PHOTOs DNA – F. BUCHY

Le Sénat a approuvé hier sa propre carte de 15 régions où l’Alsace reste seule. Après un débat nourri, les sénateurs ont rejeté la mégarégion Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne et la région Alsace-Lorraine initialement prévue par le gouvernement.
(...)
Immédiatement après le vote du Sénat, Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) a envoyé un courrier à François Hollande pour lui demander d’honorer son « engagement » du Molkenrain, le 3 août dernier, de recevoir « quelques parlementaires alsaciens ».

(DNA du 31 octobre 2014)


Samedi 1er Novembre 2014

Le débat se déplace à l’Assemblée nationale

Le projet de loi sur la réforme territoriale amendé par le Sénat devrait être examiné en deuxième lecture par l’Assemblée nationale, à partir du 18 novembre. La carte redessinée par les sénateurs, avec une Alsace seule, résistera-t-elle aux coups de ciseau des députés ou à son passage en commission mixte paritaire ?
(...)
Le gouvernement « doit respecter le travail et le positionnement du Sénat », demande Catherine Troendlé. « Fort de ce vote, nous devons à présent réaffirmer l’adhésion des Alsaciens au projet du Conseil unique pour sensibiliser les députés mais aussi et surtout le président de la République », avance la sénatrice UMP du Haut-Rhin, qui, elle aussi, sait que la partie n’est pas finie.
(...)

(DNA du 31 octobre 2014)