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Dimanche 21 Décembre 2014

Drame de la RD 419/ Lettre au Conseil général

« Le caractère particulièrement accidentogène de la RD 419 entre la sortie de Tagsdorf et Jettingen n’est plus à démontrer ! En moins de six semaines, deux nouvelles victimes sont à déplorer sur cet important axe routier sundgauvien » , rappelle Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin, qui s’est adressée à l’ensemble des conseillers généraux du groupe de la majorité « Haute Alsace », aux vice-présidents et président du conseil général du Haut-Rhin.

Elle souhaite « trouver sans tarder des solutions afin d’éviter un nouveau drame sur cette route particulièrement fréquentée » et ne plus se voir répondre « que la seule alternative est l’intervention des forces de l’ordre avec la multiplication des contrôles de vitesse » , car de facto « ça ne fait que détourner la circulation automobile vers la vallée du Hundsbach ».

Le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas reste dans l’attente d’une réponse du président du conseil général. Pour l’heure, Rémy With, premier vice-président, en charge des actions et des territoires, lui a indiqué « qu’il ne voit aucun inconvénient à ce qu’un diagnostic soit diligenté par la Direction des routes et des transports (DRT) pour inventorier les points accidentogènes de la Hochistross et évaluer les mesures à prendre pour améliorer la sécurité des usagers. »

(L'Alsace du 21 décembre 2014)


Vendredi 19 Décembre 2014

Sénat : l'ultime baroud

"Et si parlions à nouveau des ambitions de l’Alsace ?
En octobre dernier, une manifestation en faveur de la création du Conseil unique d’Alsace a mobilisé 12 000 à 15 000 personnes. Les Haut-Rhinois étaient massivement présents. Une pétition a recueilli 60 000 signatures. Les élus locaux se sont fortement mobilisés, en adoptant des centaines de motions prises en conseil municipal.
Les trois assemblées – le conseil régional et les deux conseils généraux – se sont exprimées à plus de 96 % pour l’engagement de la fusion des trois collectivités.
Les arguments défendus depuis plusieurs années par les Alsaciens en faveur de ce projet ambitieux ont recueilli une large adhésion au Sénat ; le vote massif exprimé en commission spéciale a été confirmé en séance publique.
Monsieur le secrétaire d'État, là où vous avez brandi le danger du repli sur soi, nous avons convaincu nos collègues que notre région était résolument tournée vers les autres, avec une coopération transfrontalière extrêmement dynamique, à force de moult exemples institutionnels et des nombreuses actions mises en œuvre.
(…)
Les manifestations se durcissent, se multiplient, et le Gouvernement reste sourd ! Pourtant, ce que demandent l’Alsace et les Alsaciens, c’est tout simplement un droit à l’expérimentation, le droit de vous prouver que le projet alsacien s’inscrit parfaitement dans les objectifs qui sont les vôtres avec ce projet de loi, puisqu’il améliorera la gouvernance territoriale et contribuera à l’efficience des politiques. (…)
Rendre l’Alsace encore plus compétitive signifie également de nouvelles richesses, et l’Alsace partage déjà largement les siennes, en contribuant aux différents fonds de péréquation dont bénéficient de nombreux départements et de nombreuses communes de France !
Pourquoi le Président de la République, qui, lui aussi, s’est engagé à nous recevoir officiellement dès le mois de juillet dernier, ne répond-il pas à nos appels maintes fois réitérés ? Même pas un accusé de réception, monsieur le secrétaire d’État !
Un Président de la République qui ne tient pas ses promesses. Un Premier ministre qui ne tient pas ses engagements. Oui, nous avons le sentiment d’un véritable mépris, le sentiment que notre région doit être sacrifiée, tout simplement !
La voix des Alsaciens n’est pas entendue. Le peuple n’a rien à dire ! Circulez, il n’y a rien à voir ! C’est le sentiment dominant dans une région qui n’a pourtant jamais déçu la France ! "
Extrait du discours de Catherine Troenlé au Sénat, le 15 décembre 2014

(Ami Hebdo du 21 décembre 2014)



Jeudi 18 Décembre 2014

Val d’Argent - Réseau d’éducation prioritaire : l'espoir d'un repêchage

image Une trentaine de personnes venues du Val d’Argent ont manifesté leur mécontentement hier après-midi devant le rectorat de l’académie de Strasbourg, rue de la Toussaint : sur la nouvelle carte des réseaux d’éducation prioritaire (REP), officiellement présentée au niveau national, ne figurent effectivement pas les établissements de la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines.

Pour la première fois, le recteur a reçu une délégation de trois syndicats (SGEN, FSU et UNSA) et deux représentants de collèges concernés, l’un de Sainte-Marie-aux-Mines et l’autre de Wittelsheim (qui sort également du dispositif).
(...)
Le soutien de la sénatrice et du député

Tout comme le maire Claude Abel, la sénatrice UMP Catherine Troendlé et le député UMP Jean-Louis Christ viennent de s’adresser au ministre de l’Éducation nationale afin que Najat Vallaud-Belkacem reconsidère sa position.

« Cet établissement situé dans un pôle urbain isolé fait de lui le seul établissement de l’Académie, localisé en dehors des grands pôles urbains, qui bénéficie du classement Réseaux de réussite scolaire (RRS). Cette particularité ne devrait pas constituer un motif de sortie du collège Reber du dispositif. Bien au contraire ! En effet, la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines a connu, ces dernières décennies, d’importantes mutations économiques, en perdant une partie de son tissu industriel, avec pour corollaire, une baisse de la démographie et une augmentation de la précarité et du nombre des demandeurs d’emplois à des niveaux supérieurs à la moyenne départementale ».

La sénatrice et le député soulignent que ce contexte défavorable n’altère en rien la volonté de l’ensemble des acteurs politiques, économiques, sociaux, administratifs et éducatifs de dynamiser ce territoire, et rappellent qu’en 2012, un contrat local de santé a ainsi été mis en place afin de favoriser la réduction des inégalités d’accès à la prévention et aux soins dans la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines. « Il a été complété par la mise en place d’un accueil d’urgence, la préparation d’un Contrat de Ville et l’installation d’une antenne de la maison des adolescents.

Dans ce contexte, il demeure vital que la cité scolaire, qui participe pleinement à l’attractivité de cette vallée, en demeurant un élément moteur et régulateur important du territoire, conserve les moyens qui lui sont alloués par son classement en zone d’éducation prioritaire ».

(DNA du 18 décembre 2014)


Mercredi 17 Décembre 2014

Réforme territoriale/Le Sénat rétablit l'Alsace

image Et le Sénat a rétabli la carte des 15 Régions, avec l’Alsace seule, à côté de la Lorraine et de Champagne-Ardenne fusionnées. Or, d’après la Constitution, l’Assemblée nationale – qui votera en ultime lecture demain après-midi – aura le dernier mot. Même lorsqu’il s’agit d’une réforme territoriale, le Sénat, représentant pourtant des territoires, doit s’incliner en cas de divergence. La fusion de l’Alsace avec la Lorraine et Champagne-Ardenne sera donc avalisée.

« Le débat a eu lieu »

Les sénateurs alsaciens UMP et UDI sont remontés au créneau, développant des arguments déjà entendus au Palais du Luxembourg comme au Palais Bourbon, mais d’autres aussi, plus politiques. Une nouvelle fois aussi, André Vallini, secrétaire d’État en charge de la Réforme territoriale, a reconnu que « la carte idéale n’existe pas ». Essayant de calmer le jeu, il a voulu rassurer « les Alsaciens et les Bretons ». « Les identités régionales ne sont pas menacées par la réforme administrative. Elles survivront à notre réforme » , a-t-il soutenu, faisant allusion à ceux qui ont encore manifesté samedi à Strasbourg ( L’Alsace de dimanche). « Est-ce que six mois de débat aurait changé quelque chose ? Le débat a eu lieu, tout a été dit » , estime le représentant du gouvernement.
(...)
« Le gouvernement avec sa majorité à l’Assemblée nationale veut passer en force. L’Alsace doit plier ! À genoux l’Alsace ! » , a enchaîné la sénatrice UMP du Haut-Rhin, Catherine Troendlé, en citant également « la fermeture de Fessen-heim, la fin du droit d’option des frontaliers, le report à 2030 de la liaison ferroviaire Rhin-Rhône ». « Les manifestations se durcissent, se multiplient et le gouvernement reste sourd » , a-t-elle dénoncé. Avant de s’indigner : « Nous avons le sentiment d’un véritable mépris, le sentiment que notre région doit être sacrifiée. La voix des Alsaciens n’est pas entendue… »

(L'Alsace du 16 décembre 2014)


Mercredi 17 Décembre 2014

Sans illusion, le Sénat repropose l’Alsace seule

image Par 173 voix pour, malgré 40 voix contre, le Sénat a revoté le projet de loi sur les régions dans une rédaction très proche de celle de son vote de fin octobre : il dresse une liste de 15 régions, gardant à l’Alsace son statut de région à part entière.

Le Sénat demande l’Alsace seule, séparée de la région Champagne-Ardenne – Lorraine, et veut disjoindre Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon. Il l’a redit en troisième lecture hier après-midi.

Les sénateurs ont répété les arguments déjà avancés lors de leur débat fin octobre. Sans convaincre ni le groupe socialiste, ni le secrétaire d’État à la réforme territoriale, André Vallini, présents dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg.

« Tripatouillage cartographique »
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Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) a rappelé la « mobilisation massive » en Alsace contre sa fusion dans une grande région ; elle a rejeté « le danger du repli sur soi », rappelant combien la région « était résolument tournée vers les autres avec une coopération transfrontalière extrêmement dynamique ».
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(DNA du 16 décembre 2014)


Mardi 16 Décembre 2014

Kirchberg/Portes ouvertes chez les pompiers

image le 60e anniversaire de sa création, le corps des sapeurs-pompiers de Kirchberg a organisé récemment une opération portes ouvertes à la caserne. Le public a pu assister à des démonstrations d’utilisation d’un défibrillateur, mais aussi comment éteindre un feu de friteuse ou de bouteille de gaz. En début de soirée s’en est suivie une cérémonie de remise de médailles et de nominations. Le sergent-chef Michel Behra, chef de corps, a eu le plaisir de saluer Laurent Lerch, maire de Masevaux, conseiller général et président de la communauté de communes, Catherine Troendlé, sénatrice, François Papirer, président de l’union des sapeurs pompiers Thur-Doller, Fabienne Orlandi maire de Kirchberg ainsi que Serge Durieux et Michel Boutant, adjoints au maire.

(L'Alsace du 16 décembre 2014)



Dimanche 14 Décembre 2014

Richert : « L’État a cédé sur tout aux Départements »

À deux reprises hier, devant les maires du Bas-Rhin, puis devant les socio-économiques du Céser Alsace, le président du conseil régional, Philippe Richert, s’est prononcé contre la réforme territoriale en cours. « Je suis totalement contre cette réforme qui a été adoptée malgré notre opposition. Mais comme républicain, j’appliquerai ce qu’a décidé l’Assemblée nationale. Il faudra voir comment l’Alsace pourra rester ce qu’elle est » , a affirmé l’ancien ministre, en dénonçant « un débat purement politique ». À preuve, selon lui, « la nouvelle carte a été votée par les seuls élus de gauche. Aucun député UMP ou UDI ne l’a votée ».(...)

« Le Premier ministre n’a rien cédé aux Régions, les obligeant à fusionner. Mais il a cédé sur tout aux Départements. Pour lui, le tourisme ne fait pas partie de l’économie » , s’est encore indigné Philippe Richert qui a participé à une réunion, à Paris, avec le ministre Bernard Cazeneuve. Pas de quoi le rassurer: « L’État va déconcentrer ses services, mais dans les départements, au détriment des régions. Comme il y a de très grandes Régions, on multipliera les schémas. Nous allons perdre deux ou trois ans ! »

Pour autant, pas question de cautionner la manifestation organisée cet après-midi à Strasbourg, ni de défiler derrière la bannière d’Unser Land. « Je vais continuer de peser en faveur du conseil d’Alsace » , a encore soutenu Philippe Richert, en faisant allusion au débat parlementaire qui se poursuit lundi au Sénat.
Les sénateurs UMP Catherine Troendlé, René Danési, Fabienne Keller, Guy-Dominique Kennel et André Reichardt ont déposé un amendement, adopté en commission spéciale, prévoyant que « l’Alsace reste une région indépendante ». Après, il ne restera plus que le recours au Conseil constitutionnel.

(L'Alsace du 14 décembre 2014)


Jeudi 11 Décembre 2014

UMP/Trois Alsaciens au bureau exécutif de l’UMP

Trois élus alsaciens ont fait leur entrée au bureau exécutif de l’UMP que vient de constituer Nicolas Sarkozy, le président du parti.
Jean Rottner, le maire de Mulhouse, a été nommé secrétaire national fonctionnel aux élus locaux. Fabienne Keller, sénatrice du Bas-Rhin, est secrétaire nationale à l’environnement et aux transports et Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, à l’éducation.

Nicolas Sarkozy a aussi annoncé la création d’un comité des maires, qui sera présidé par Hubert Falco et dont Jean Rottner a été partie prenante. Ce comité réunira l’ensemble des maires du parti pour « fixer des orientations et ancrer le projet dans les réalités territoriales ».

(DNA du 11 décembre 2014)


Mercredi 10 Décembre 2014

UMP/trois Alsaciens au bureau exécutif

Parmi les 18 secrétaires nationaux nommés hier par le président de l’UMP, Nicolas Sarkozy, trois sont alsaciens.

Il s’agit de Jean Rottner, maire de Mulhouse, secrétaire national fonctionnel aux élus locaux, des sénatrices Fabienne Keller, secrétaire nationale à l’environnement et aux transports, et Catherine Troendlé, secrétaire nationale à l’éducation.

(L(Alsace du 10 décembre 2014)


Mercredi 10 Décembre 2014

Fellering/Hommage aux Libérateurs

image Dimanche matin 7 décembre, lors de deux cérémonies, la commune de Fellering a rendu hommage aux victimes des combats d’Afrique du Nord, puis à celles du Corps franc Pommiès, libérateur de Fellering. Jean-André Pommiès, fils du général Pommiès, était l’invité d’honneur.

Un beau parterre a pris part aux deux cérémonies du souvenir organisées dimanche à Fellering. On remarquait notamment Annick Lutenbacher, maire, Catherine Troendlé, sénatrice du Haut-Rhin, Jean-Jacques Weber, conseiller général, des maires honoraires, des sapeurs-pompiers et nombre de personnalités représentant les associations patriotiques, dont Robert Koehl, président de l’UNC locale, et Roger Bringard, président du Souvenir français. Les harmonies Orphéenne et Alsatia ont accompagné les deux cérémonies avec une marche finale vers la salle très alsacienne, D’r Hans im Schnokaloch.
(...)

(L'Alsace du 9 décembre 2014)


Dimanche 7 Décembre 2014

Sainte-Marie-aux-Mines : les parents mobilisés

image Mobilisés pour le maintien du réseau d’éducation prioritaire (REP) dans la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines (notre édition de mardi), les parents d’élèves ont initié diverses actions.
Hier midi, à l’école maternelle De Lattre, chacun a pu ajouter sa touche de craie colorée au message collectif : « Touche pas à mon REP ».
De son côté, la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, Catherine Troendlé s’est adressée au recteur d’académie pour dénoncer, si ces établissements scolaires venaient à sortir de l’éducation prioritaire, « de lourdes conséquences sur le fonctionnement et la qualité de l’enseignement prodigué jusqu’à ce jour ». Elle a rappelé que le collège Reber est le seul, actuellement, situé en dehors des grands pôles urbains à bénéficier du classement Réseaux de réussite scolaire (RRS) et qu’en 2012, la mise en place d’un contrat local de santé sur le secteur a notamment révélé une forte proportion de personnes en situation de précarité supérieure à la moyenne régionale. Aussi, selon elle, une sortie du REP « stigmatiserait encore davantage la vallée » : « Les moyens actuels permettent d’atteindre une certaine réussite, mais sans eux, il y a fort à craindre une rapide dégradation et l’instauration d’une politique d’évitement. »

(L'Alsace du 7 décembre 2014)


Dimanche 7 Décembre 2014

La sénatrice Troendlé défend le REP du Val d’Argent

Sollicitée par plusieurs élus, Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin, s’est adressée à Jacques-Pierre Gougeon, Recteur de l’Académie de Strasbourg, afin d’attirer son attention sur le probable non classement en REP (réseau d’éducation prioritaire) du collège Reber à Sainte-Marie-Aux-Mines : « Si cet établissement scolaire devait ne pas être classé en REP, cela entraînera de lourdes conséquences sur son fonctionnement et la qualité de l’enseignement prodigué jusqu’à ce jour. »

Le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas n’a pas manqué de lui rappeler que « Sainte-Marie-aux-Mines est un pôle urbain isolé et le collège Reber est le seul collège actuellement situé en dehors des grands pôles urbains qui bénéficie du classement « réseaux de réussite scolaire » (R.R.S.). » Par ailleurs, la vallée a connu, ces dernières décennies, de fortes modifications économiques en voyant progressivement disparaître son tissu industriel, avec pour conséquence une baisse sensible de la population. « En 2012, un contrat local de santé a été mis en place sur le secteur de Sainte-Marie-aux-Mines, une partie du diagnostic a révélé une forte proportion de personnes en situation de précarité supérieure à la moyenne régionale, des difficultés d’accès aux soins pour des questions financières, une augmentation de nombre de bénéficiaires RSA, un environnement socio-économique défavorable (chômage, pauvreté). »

(DNA du 6 décembre 2014)


Dimanche 7 Décembre 2014

Hégenheim - Inaugurations officielles

image Trois mois après la rentrée des classes, l’ensemble de la communauté scolaire, acteurs et utilisateurs, s’est retrouvé hier après-midi lors des inaugurations officielles du nouveau site de l’école maternelle et élémentaire et de la rue du Ruisseau.

La commune de Hégenheim a vibré hier après-midi autour de son nouveau site scolaire. Entamé en juillet 2012, le chantier a duré deux bonnes années durant lesquelles deux équipes municipales distinctes se sont investies.

L’implication des parents et leur soutien pratique

(...)Devant un public de parents très fourni, Thomas Zeller a largement remercié l’investissement des services techniques et de l’urbanisme de la commune. Il a tenu à souligner la mise à disposition, durant toute la durée du chantier, du terrain de Paul Frisch pour permettre de faire fonctionner les classes dans des bâtiments modulaires. Il est revenu sur le « stress palpable à quelques mois de la rentrée », sur l’implication des parents et leur soutien pratique afin que l’école ouvre en temps et en heure.

(...)Catherine Troendlé, sénateur et maire de Ranspach-le-Bas, et Jean-Luc Reitzer, député du Haut-Rhin, se sont associés aux discours. La première saluant « l’équipe enthousiaste réunie autour de Thomas Zeller ». Le second attaché en particulier à «une fondation solide appuyée sur l’école et la famille ». Quant au conseiller général et maire de Folgensbourg, Max Delmond, c’est en matière d’initiative des territoires qu’il est intervenu : « Les locaux ont investi pour le chemin qui mène à l’école, preuve qu’ils savent le faire sans le diktat de Paris ». Pour un coût final de 601 722 €, la rue du Ruisseau est aujourd’hui sécurisée et dotée de places de stationnement.

(DNA du 7 décembre 2014)