Archives des publications


Vendredi 27 Février 2015

Frontaliers : Une lettre au secrétaire d’etat au Budget

Les parlementaires alsaciens Jean-Luc Reitzer, Francis Hillmeyer, Arlette Grosskost, Eric Straumann, Michel Sordi, Jean-Marie Bockel et Catherine Troendlé ont adressé hier un courrier à Christian Eckert, secrétaire d’État au Budget, pour « attirer [son] attention » sur la situation des travailleurs frontaliers qui ont exercé une activité professionnelle en Suisse et qui depuis 2014, en tant que retraités, « se voient réclamer le paiement de la CSG/CRDS sur les pensions suisses » perçues en 2012 et 2013.
« À titre d’exemple, un retraité qui a perçu une pension équivalente à 44 340 € en 2012 et 2013 se voit réclamer par les services fiscaux la somme de 3 147 € pour l’année 2012 et 3 148 € pour 2013, soit un total de 6 296 €. Comble de la situation, des héritiers de frontaliers décédés en 2012 ou 2013 se trouvent sommés de verser les sommes dues de façon rétroactive », écrivent-ils.
Un recours a été déposé auprès de la Commission européenne par le Comité de défense des travailleurs frontaliers du Haut-Rhin (CDTF).
Faisant le rapprochement avec le cas de M. de Ruyter, les parlementaires réclament une audience avec les services du Budget pour un règlement à l’amiable de ce litige « dans les meilleurs délais ».

(DNA du 27 février 2015)


Mercredi 25 Février 2015

Dannemarie : le recteur ne tranche pas

Ouvrira, ouvrira pas ? En pleins congés scolaires, la question de la poursuite du cursus bilingue au collège Jean-Monnet reste en suspens… au grand regret des élus, qui espéraient une réponse définitive du rectorat cette semaine.


Rappelons que l’ensemble des élus locaux avaient récemment uni leur voix pour enjoindre l’Éducation nationale à revenir sur son refus d’ouvrir un cursus bilingue au collège Monnet pour la rentrée 2015 ( L’Alsace des 11 et 19 février).
L’administration avait pointé des effectifs insuffisants pour l’ouverture d’une section, avec une dizaine d’élèves issus des classes bilingues de Dannemarie et du RPI de Traubach en âge d’intégrer le secondaire pour l’année scolaire 2015-2016. La solution proposée était simple : envoyer les élèves bilingues à Altkirch et reporter l’ouverture à 2017, date à laquelle 23 élèves pourraient intégrer une 6e bilingue au collège dannemarien.

De la communauté de communes au syndicat mixte (SMS) en passant par le président du Département, Charles Buttner, le conseiller général Rémy With, la sénatrice Catherine Troendlé ou le député Jean-Luc Reitzer, tous les édiles du Sundgau ont plaidé pour une ouverture de section dès la prochaine rentrée. Le maire de Dannemarie, Paul Mumbach, disait attendre une réponse définitive avant les vacances. Mais le courrier du rectorat reçu lundi à la mairie n’a pas vraiment démêlé l’affaire…
(...)

(L'Alsace du 25 février 2015)


Dimanche 22 Février 2015

Nomination : Catherine Troendlé, vice-présidente de la CNSIS

Première femme élue titulaire au sein de la Conférence nationale des services d'incendie et de secours (CNSIS), la sénatrice Catherine Troendlé (UMP Haut-Rhin) vient d'être portée à la vice-présidence de cette instance dont l'objectif est de "mobiliser l'ensemble des compétences impliquées dans la prévention et l'organisation des secours concernant les risques technologiques, naturels ou de nature terroriste".

(DNA du 22 février 2015)


Dimanche 22 Février 2015

France-Allemagne : Catherine Troendlé reconduite.

La sénatrice Catherine Troendlé (UMP), reconduite à la présidence du groupe d’amitié France-Allemagne, a été élue à la vice-présidence des groupes France-Autriche et France-Suisse du Sénat.

(L'Alsace du 22 février 2015)


Vendredi 20 Février 2015

Catherine Troendlé, présidenrte du groupe d'amitié France-Allemagne

A l'approbation unanime de ses membres présents à l'assemblée générale, Catherine Troendlé a été reconduite à la présidence du groupe interparlementaire d'amitié France-Allemagne.

Elue UMP du Haut-Rhin, elle en est présidente depuis 2009.

(Ami Hebdo du 22 janvier 2015)


Mardi 17 Février 2015

Maires du Haut-Rhin / La proximité au quotidien

image Alors que les élus sont la cible des populistes, les maires tentent de tenir la barre de leur commune, avec des finances en berne et un moral pas vraiment au beau fixe. Les sujets de préoccupations ne manquent pas, comme l’ont montré les questions des élus, hier matin, après la partie statutaire de l’assemblée générale des Maires du Haut-Rhin qui s’est tenue à Guebwiller. Élu sénateur en septembre, le président René Danési n’a guère modifié sa manière de présider, soucieux de donner la parole au plus grand nombre. Mais laissant sa vice-présidente, Catherine Troendlé, monter au créneau pour certaines mises au point.
(...)
Autre sujet concernant l’État, l’impossibilité à renouveler une carte d’identité, alors qu’elle n’est pas périmée, mais le sera au moment du départ en vacances. « Vaut-il mieux la déclarer perdue et payer 25 €» , a suggéré un élu. Car certains États, comme la Turquie… et l’Allemagne n’acceptent pas le principe de documents périmés. « La Suisse l’accepte » , a nuancé le préfet, ce que des maires ont contesté. « On sera souple avec intelligence » , a promis le secrétaire général, laissant entrevoir un renouvellement selon les pays de destination. Pour la sénatrice Troendlé, il y va cependant de « la liberté de circulation » pour les citoyens français…

Autre sujet récurrent, l’ouverture de classes bilingues, en l’occurrence au collège. Le maire de Dannemarie, Paul Mumbach – qui a appelé à signer la pétition pour un référendum sur l’avenir de l’Alsace – a demandé au rectorat de revenir sur son refus d‘ouvrir une classe pour moins de 10 élèves. Tout en rappelant la volonté du recteur de promouvoir le bilinguisme, la directrice académique du Haut-Rhin, Maryse Savouret, a estimé impossible de descendre en-dessous de 10 élèves. Ce qui a conduit la sénatrice Troendlé à appeler les maires à « sensibiliser les parents pour qu’ils laissent leurs enfants dans la filière bilingue, jusqu’au bout ».

(L'Alsace du 15 février 2015)



Vendredi 13 Février 2015

Catherine Troendlé : un ancrage européen !

Très impliquée dans les relations européennes, Catherine Troendlé a été élue à la vice-présidence des groupes France-Autriche et France-Suisse du Sénat.

L’assemblée générale du groupe interparlementaire d’amitié France-Allemagne vient aussi de reconduire, à l’approbation unanime des membres présents, la sénatrice Catherine Troendlé à la présidence du groupe, une fonction occupée par la parlementaire UMP du Haut-Rhin depuis 2009.

À ce titre et compte tenu de sa forte implication dans les relations franco-allemandes, Catherine Troendlé a été conviée, avec son collègue Jean Bizet, président de la commission des affaires européennes, à accompagner le président Gérard Larcher, lors de son prochain déplacement officiel à Berlin, le président du Sénat souhaitant multiplier ainsi les marques d’intérêt entre les deux pays.

Par ailleurs, une délégation des homologues du Bundesrat sera reçue par les sénateurs français, lors d’un déplacement cet automne 2015 à Bordeaux, à l’occasion des 17es rencontres annuelles entre les deux groupes d’amitié.

Pour autant Catherine Troendlé déplore le peu d’intérêt manifesté par les élus socialistes : « Ils ne sont que huit membres sur les 46 – soit 17 % – que compte à ce jour le groupe d’amitié France-Allemagne ». Dans une vision plus large, elle entend dénoncer le moteur franco-allemand qui est en panne. « Cette situation ne va pas dans le bon sens d’une Europe forte et reconnue. »

(L'Alsace du 13 février 2015)


Vendredi 13 Février 2015

Condamné pour l’absentéisme de son fils.

Deux ans de prison ferme. C’est la peine dont a écopé un père de famille de la région de Bordeaux qui, pour que son fils ne soit pas placé dans une famille d’accueil, l’avait complètement isolé du monde extérieur depuis 2012.
Une affaire qui fait suite à celle, mardi, d’une mère de famille condamnée, à une peine de prison avec sursis à Lille pour les absences répétées de son fils, élève de 6e.
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Sanction « normale», pour l’UMP

Une réponse de la rue de Grenelle qui manque de poigne, estime-t-on dans les rangs de l’UMP.

Pour Catherine Troendlé, secrétaire nationale à l’Education du parti, il est « normal» qu’une sanction soit prononcée si les parents ne font rien pour empêcher que leur enfant fasse l’école buissonnière.

La sénatrice du Haut-Rhin estime toutefois qu’il est «indispensable» de rétablir la
Suspension des allocations familiales, adoptée en 2011 et abrogée en 2013.
(...)

(Métronews du 13 février 2015)


Mercredi 11 Février 2015

Dannemarie : pas de bilinguisme au collège ?

image Faute d’effectifs suffisants, l’Éducation nationale rechigne à ouvrir un cursus franco-allemand à la rentrée 2015 au collège de Dannemarie. Une décision unanimement contestée par les élus locaux, qui avaient parfois dû batailler pour introduire le bilinguisme en Porte d’Alsace. Maires, président du conseil général et parlementaire invitent l’Éducation nationale à revoir sa copie…La décision avait été prise mi-janvier lors du Comité départemental de programmation, de développement et de suivi des sites bilingues : le collège Jean-Monnet de Dannemarie ne lancera pas de cursus franco-allemand à la rentrée 2015. Une ouverture pourtant très attendue, car censée garantir la continuité de l’enseignement bilingue introduit depuis six ans dans les écoles du secteur. En cause : des effectifs jugés insuffisants. Seuls onze élèves issus des classes bilingues de l’école Albert-Schweitzer et du RPI de Traubach seraient en âge d’intégrer le secondaire pour l’année scolaire 2015-2016. Insuffisant pour les services de l’Éducation nationale. L’ouverture pourrait en revanche être reportée à 2017, date à laquelle 23 élèves seront attendus en 6e. Seule solution proposée pour l’heure : que les germanophones du secteur intègrent le cursus déjà en place au collège Lucien-Herr d’Altkirch. Une option qui pose déjà la question du transport des élèves. Et suscite la colère des élus, à commencer par le maire de Dannemarie, Paul Mumbach.
(...)
Lundi soir, le sujet s’est invité à la table des délibérations du Syndicat mixte du Sundgau (lire en encadré). Avant cela, la décision de l’Éducation nationale avait suscité de nombreuses réactions d’élus sundgauviens, à l’image de la sénatrice Catherine Troendlé, qui est intervenue en personne auprès de l’inspectrice d’académie du Haut-Rhin, Maryse Savouret. Pour le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, « vouloir dès lors imposer à la dizaine d’élèves bilingues du secteur de Dannemarie pareil cursus au collège Herr d’Altkirch touche à la pérennité même des sites bilingues, en impactant un effet bien dissuasif et dévastateur sur les prochaines inscriptions ». Pour Catherine Troendlé, il s’agit d’abord de défendre « un enseignement bilingue le plus large possible et considéré comme une opportunité réelle pour les enfants alsaciens tant sur le plan professionnel que culturel, en raison de la situation géographique de l’Alsace, de sa proximité avec les marchés du travail suisse et allemand et ce dans un contexte économique des plus moroses. »
(...)

(L'Alsace du 11 février 2015)


Dimanche 8 Février 2015

Au Sénat/Collectivités

Collectivités

Le Sénat a définitivement adopté, sur le rapport de Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin), la proposition de loi autorisant l’accord local de représentation des communes membres d’une communauté de communes ou d’agglomération.


(DNA du 8 février 2015)


Dimanche 8 Février 2015

Commission d'enquête sur l'éducation : trois Alsaciens

Trois sénateurs alsaciens font partie de la commission d'enquête sur le fonctionnement du service public de l'éducation et sur la perte de repères républicains créée à la demande de Bruno Retailleau (UMP, Vendée) : Guy-Dominique Kennel (UMP Bas-Rhin), Claude Kern (UDI-UC Bas-Rhin) et Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin)

(L'Ami Hebdo du 8 février 2015)


Samedi 7 Février 2015

Saint-Louis - Circulation: Mettre fin aux engorgements de l'A 35

image Les conditions de circulation sur l’A35 aux abords de la frontière franco-suisse ont été abordées, dernièrement, au secrétariat d’État aux Transports par la sénatrice Catherine Troendlé qui a été reçue à sa demande.

Outre l’inadéquation du gabarit de l’autoroute au droit de la Ville de Saint-Louis – deux fois deux voies – avec une forte intensité du trafic aux heures de pointe, selon la sénatrice Catherine Troendlé, « le dysfonctionnement majeur de deux équipements est à l’origine de l’engorgement de l’A35. À savoir le parking TIR et l’échangeur de Saint-Louis (A 35/RD 105). » Cette dernière met également en avant « la sous-capacité de la plateforme de dédouanement » avec quelque 2700 poids lourds pour une capacité de 400. Des faiblesses auxquelles il faut ajouter un stationnement « inorganisé » des camions sur la voie de droite et/ou sur la bande d’arrêt d’urgence de l’A 35. Ce qui, selon la sénatrice « génère d’importants problèmes de circulation et de sécurité. »

Une gestion dynamique des camions

Catherine Troendlé a indiqué avoir transmis les demandes répétées de la Ville de Saint-Louis au secrétariat d’Etat aux Transports, de manière « à étudier la mise en place d’une gestion dynamique des poids lourds sur l’A35, en amont de la plateforme douanière », dont un réaménagement est annoncé pour 2016. Selon elle, « les conseillers du secrétaire d’État aux Transports (ndlr : Alain Vidalies) ont dit qu’ils allaient prendre en compte cette demande pour ne plus entraver le développement économique de Saint-Louis en raison de ces bouchons à répétition. »


(DNA du 7 février 2015)


Samedi 7 Février 2015

Collège Dannemarie : cursus franco-allemand/les élus font bloc

Nouvelles réactions après l’annonce par l’Éducation nationale de sa volonté de ne pas ouvrir de cursus bilingue au collège de Dannemarie (DNA d’hier et de mardi). Une parlementaire s’en mêle ainsi que les élus de la com-com de la Porte d’Alsace.

Se disant « très investie en faveur du bilinguisme », la sénatrice Catherine Troendlé a exprimé hier « sa grande préoccupation suite à l’annonce du report sine die de l’ouverture du cursus franco-allemand au collège Jean Monnet de Dannemarie, au motif du seuil insuffisant d’inscrits germanophones dans cette filière bilingue ».

Catherine Troendlé, disait aussi « partager pleinement la déception et l’incompréhension des élus locaux ». La parlementaire a fait savoir qu’elle est intervenue auprès de Maryse Savouret, afin que l’Inspectrice d’académie du Haut-Rhin reconsidère sa position.

Pour la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, « vouloir dès lors imposer à la dizaine d’élèves bilingues du secteur de Dannemarie pareil cursus au collège Herr d’Altkirch touche à la pérennité même des sites bilingues». Elle dénonce « un effet bien dissuasif et dévastateur sur les prochaines inscriptions dès les sections maternelles ».

Catherine Troendlé souligne que « les élus du secteur de Dannemarie et de Traubach ont largement engagé, depuis de maintes années, un long travail de promotion de cette filière, qu’ils cherchent à renforcer en développant des collaborations avec les communes voisines ».

Enfin, la parlementaire haut-rhinoise appelle de ses vœux « un enseignement bilingue le plus large possible et considéré comme une opportunité réelle pour les enfants alsaciens tant sur le plan professionnel que culturel, en raison de la situation géographique de l’Alsace, de sa proximité avec les marchés du travail suisse et allemand et ce dans un contexte économique des plus moroses ».
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(DNA du 7 février 2015)


Samedi 7 Février 2015

Saint-Louis/bretelle autoroutière/véritable point noir

image À sa demande, la sénatrice Catherine Troendlé a été reçue récemment au secrétariat d’État aux Transports. À l’ordre du jour de cette rencontre, la bretelle autoroutière de Saint-Louis-centre, notamment.

Les conditions de circulation et de sécurité sur l’autoroute A35 aux abords de la frontière franco-suisse constituent un véritable point noir depuis de nombreuses années.

Outre l’inadéquation du gabarit de l’autoroute au droit de la Ville de Saint-Louis (deux fois deux voies) avec intensité du trafic aux heures de pointe, le dysfonctionnement majeur de deux équipements est à l’origine de l’engorgement de l’A 35, à savoir le parking TIR et l’échangeur de Saint-Louis (A35/RD 105).
TIR : 2700 poids lourds par jour
La sous-capacité de la plateforme de dédouanement est reconnue : conçue pour une capacité de 400 poids lourds par jour, elle connaît un flux actuel de 2700 camions par jour. Le stationnement inorganisé des poids lourds sur la voie de droite et/ou sur la bande d’arrêt d’urgence de l’A35, parfois au-delà de l’échangeur de l’EuroAirport, génère d’importants problèmes de circulation et de sécurité.

Catherine Troendlé a relayé les demandes répétées de la Ville de Saint-Louis, proposant d’étudier la mise en place d’une gestion dynamique des poids lourds sur l’A35 en amont de la plateforme douanière, dont un réaménagement est annoncé pour 2016. Les conseillers du ministre ont dit qu’ils allaient prendre en compte cette demande pour ne plus entraver le développement économique de Saint-Louis en raison de ces bouchons à répétition.

EuroAirport

Enfin, Catherine Troendlé a « souhaité inviter personnellement Alain Vidalies », secrétaire d’État aux Transports, sur le site même de l’EuroAirport. Le ministère a pris acte de cette invitation, informant la sénatrice Troendlé qu’un échange entre le ministre et son homologue suisse de l’Environnement, de l’énergie et des transports, Doris Leuthard, devrait bientôt avoir lieu. Une éventuelle participation de la sénatrice à cet échange serait envisagée.

(L'Alsace du 7 février 2015)


Vendredi 6 Février 2015

Élections régionales / Philippe Richert conduira la liste UMP

Le président du conseil régional d’Alsace, Philippe Richert, a été investi par l’UMP, hier à Paris, pour conduire la liste de la nouvelle Région, en décembre prochain. En liaison avec les Lorrains et les Champenois.

Le seul président de Région UMP sortant en France métropolitaine, Philippe Richert a été investi à l’unanimité, hier, par la commission nationale d’investiture (CNI) de l’UMP qui s’est réunie pendant trois heures.
Lors de sa réunion de mardi, le bureau politique avait souhaité que la CNI propose les noms des chefs de file qui seront validés, samedi, par le conseil national. La réunion a été convoquée d’urgence, pour permettre aux intéressés de démarrer la campagne. Car chef de file signifie bien future tête de liste, et futur président pour les plus optimistes…

Tenir la balance égale

Philippe Richert n’a pas eu de concurrent contre lui. « Il a toute légitimité à conduire la future liste régionale » , affirme la sénatrice du Haut-Rhin, Catherine Troendlé, membre de la commission d’investiture.
À ce titre, elle a présenté la situation qui découle de la création de la grande Région Alca, issue de la fusion entre l’Alsace, la Lorraine et Champagne-Ardennes.

(L'Alsace du 6 février 2015)


Jeudi 5 Février 2015

Vingt-deux parlementaires et grands élus soutiennent Philippe Richert

L’appel est bref, mais sans ambiguïté : vingt-deux parlementaires et grands élus alsaciens UMP, UDI et apparenté apportent leur « soutien indéfectible » à Philippe Richert pour être tête de liste aux régionales de décembre.

L’appel énumère les atouts de Philippe Richert pour être tête de liste aux prochaines régionales : « Président sortant de la seule région de droite de France métropolitaine », il a acquis « compétences et expérience » en étant successivement « élu local, président de conseil général et de conseil régional, mais aussi parlementaire puis ministre chargé des Collectivités territoriales ».

Il est donc « candidat naturel et légitime pour diriger la nouvelle région », écrivent les vingt-deux élus qui l’assurent de leur « soutien indéfectible » dans cette démarche.

Le prochain scrutin régional est, en principe, prévu en décembre de cette année. Il se fera à l’échelle de la future région Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine, soit sur les dix départements qu’elle recouvrira au 1er janvier 2016. Le futur conseil régional aura 169 élus. Chaque parti ou alliance de parti doit donc présenter une liste régionale de 189 candidats (dont 20 éventuels remplaçants), répartie en sections départementales.
(...)

Ont signé l’appel les sénateurs Jean-Marie Bockel, René Danesi, Fabienne Keller, Guy-Dominique Kennel, Claude Kern, André Reichardt et Catherine Troendlé, ainsi que les députés Jean-Louis Christ, Laurent Furst, Arlette Grosskost, Antoine Herth, Patrick Hetzel, Francis Hillmeyer, Frédéric Reiss, Jean-Luc Reitzer, Sophie Rohfritsch, André Schneider, Michel Sordi, Eric Straumann et Claude Sturni, la députée européenne Anne Sander et le maire de Mulhouse Jean Rottner.

(DNA du 6 février 2015)


Lundi 2 Février 2015

Élysée : L'UMP dit non au septennat

Le Sénat a rejeté la proposition de loi du radical de gauche Jacques Mézard visant à rétablir à sept ans la durée du mandat du président de la République et à le rendre non renouvelable.

Au nom du groupe UMP, Catherine Troendlé a critiqué un texte qui aurait « affaibli la fonction présidentielle en la déconnectant du rythme désormais accéléré du temps politique ».
« Ne cédons pas aux sirènes d’une nostalgie tant illusoire qu’anachronique, qui ne peut, dans la société française actuelle, tenir ses promesses », estime la sénatrice haut-rhinoise.

(DNA du 2 février 2015)


Dimanche 1er Février 2015

Com-Com 3 F : Un poids lourd sur l’échiquier politique

image Alain Girny, président de la toute nouvelle communauté d’agglomération des Trois Frontières, a présenté ses vœux pour cette nouvelle année. En démontrant toute l’utilité de ce regroupement.En préambule des vœux communautaires, le président de la communauté de communes des Trois Frontières, Alain Girny, est revenu sur les attentats à Paris, les qualifiant « d’événements graves qui ont secoué notre pays. Nous sommes tous, encore aujourd’hui, sous le choc et je souhaite m’associer à ce mouvement général de colère et de consternation. Dans un pays où la liberté est élevée au rang de devise nationale, ces actes ne sont pas acceptables et chacun d’entre nous va devoir lutter, avec ses moyens, pour maintenir haut et fort notre devise : liberté, égalité, fraternité ! »

Un préambule vivement applaudi par l’assistance composée d’élus et de diverses personnalités.

Un acteur institutionnel

Puis Alain Girny a annoncé que cette cérémonie des vœux « est la première de la communauté de communes non liée à une commune ». Une communauté de communes devenue « un acteur institutionnel de notre territoire ». Propos illustrés à travers un film démontrant l’implication des dix communes membres et les réalisations qui ont ainsi pu être mises en œuvre, pour le bien-être des citoyens.
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(L'Alsace du 1er février 2015)


Dimanche 1er Février 2015

Loi « Notre » : le vote des Alsaciens


La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) a été votée mardi en scrutin public à l’issue de sa première lecture par le Sénat. Elle avait été profondément remodelée par l’institution.

Ont voté pour, dans cette version remaniée, les sénateurs Fabienne Keller (UMP), Claude Kern (UDI), Guy-Dominique Kennel (UMP), Jean-Marie Bockel (UDI), René Danesi (UMP), André Reichardt (UMP) et Catherine Troendlé (UMP).

Se sont abstenus les sénateurs Jacques Bigot (PS) et Patricia Schillinger (PS).

Le texte doit arriver devant l’Assemblée nationale le 17 février en séance publique et sera étudié dans plusieurs de ses commissions dès ce lundi 3 février.

(DNA du 1er février 2015)