Jeudi 30 Avril 2015
Alerte sur les languesDans le sillage de Catherine Troendlé, 48 sénateurs (dont Jean-Marie Bockel, René Danési, Fabienne Keller, Guy-Dominique Kennel, Claude Kern et André Reichardt) ont interpellé la ministre de l'Education nationale sur la suppression des classes bi-langues et européennes telles que prévue dans la réforme des collèges, pour la rentrée 2016.
Cette mesure inquiète vivement les professionnels de l'Education, les familles franco-allemandes et nos partenaires allemands. L'ambassadrice d'Allemagne, Susanne Wasum-Rainer a déclaré qu'"à nos yeux, ce projet de réforme menace nos accords bilatéraux", écrivent-ils.
(L'Ami Hebdo, 3 mai 2015)
Mercredi 29 Avril 2015
Claude Kern signe l’appel pour les classes bi-langues Le sénateur (UDI) Claude Kern indique qu’il donne aussi sa signature à l’appel des 47 (maintenant 48) sénateurs qui ont demandé à la ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, le maintien des classes bi-langues et européennes en collège.
Ce texte comporte donc les signatures des sept sénateurs alsaciens UMP et UDI.
(DNA du 29 avril 2015)
Mardi 28 Avril 2015
Education/47 sénateurs au secours des classes bi-languesQuarante-sept sénateurs UMP et UDI, dont six Alsaciens (*), cosignent une tribune à la ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, au sujet des classes bi-langues et européennes.
Ils y dénoncent « la volonté de la ministre de supprimer ces classes dans le cadre de la réforme des collèges ». Ils s’indignent de ce que la ministre a notamment indiqué à Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) que « les sections européennes ont vocation à disparaître ».
Si les élus se félicitent que le recteur de Strasbourg ait assuré que l’Alsace conserverait ses classes bi-langues, ils craignent que la suppression de ce dispositif au plan national « ne nuise à l’apprentissage de l’allemand dans notre pays et du français en Allemagne ».
(*) Mmes Troendlé et Keller, MM. Bockel, Danesi, Kennel et Reichardt
(DNA du 28 avril 2015)
Mardi 28 Avril 2015
Hegenheim/Elsasser Oba
Pour cette huitième édition « A friehjohr fur unseri Sproch », un printemps pour notre langue, « l’Elsasser Obe » a séduit par son ton nouveau. Cette année, la manifestation a tourné le dos aux grands bardes alsaciens pour se recentrer sur les petits talents locaux.
Les enfants de l’accueil périscolaire se sont produits sur scène en interprétant Uss em Schuelhof. Puis Alain Bohrer, cheville ouvrière de la manifestation et membre de la troupe théâtrale de Hésingue, ne distille à dessein bonnes blagues et petites scénettes. Les acteurs de la commune voisine, encore tout auréolés par leur prestation parisienne, étaient également été partie prenante, en jouant notamment Cholesterol.
Au final, petits danseurs et grands acteurs se sont retrouvés ans un même élan vocal en chantant l’incontournable D’r Hans em Schnockeloch : L’hymne d’une Alsace partagée entre vouloir et pouvoir
Il n’est pas interdit de penser que l’édition 2016 soit encore plus étoffée, certains grands noms de la chanson sundgauvienne ayant déjà fait acte de candidature auprès du maire, Thomas Zeller. Ce dernier (avec une chaussette rouge et l’autre blanche…) a lu deux poèmes en alsacien écris par Paul-André Weber. Un de ses administrés, Christian Keck, lui a donné la réplique sur a betzle Müsik.
Dans la salle, d’autres élus ont été sensibilisés à la cause dialectale : le sénateur Catherine Troendlé, Pascale Schmidiger, encore pour quelques jours vice-présidente du conseil régional en charge du bilinguisme, Christèle Willer, maire de Buschwiller et vice-présidente de la communauté de communes des Trois Frontières et déléguée au bilinguisme ou Anne-Catherine Goetz, adjoint au maire de Mulhouse au bilinguisme. Tous fervents défenseurs du dialecte, ils ont eu à cœur de s’associer à cette soirée.
(DNA du 28 avril 2015)
Dimanche 26 Avril 2015
Conférence haut-rhinoise de l’UNI
L’UNI, organisation étudiante de droite, organisait jeudi 16 avril une conférence sur le thème de « L’École, instrument du pouvoir ». L’occasion pour le conférencier, Olivier Vial, d’aborder les futurs programmes scolaires en présence de la sénatrice-maire, Catherine Troendle, secrétaire nationale de l'UM à l'Education.
Pierre Schaegis, responsable départemental de l’UNI, ne cache pas sa satisfaction : « Nous avons beaucoup travaillé sur l’organisation de cet événement et le travail paye : plus de 120 personnes étaient présentes ». Ouvrant la conférence en remerciant les élus et ses militants, le responsable précise : « Cette conférence est aussi une revanche, celle de Nancy avait été annulée sur instruction du préfet ».
Olivier Vial, président de l’UNI, affirme que « cet événement était une réussite, il a permis une prise de conscience. De plus en plus de personnes rejoignent notre combat pour l’Éducation. » La prochaine conférence est d’ores et déjà programmée le 6 mai, à Boulogne-Billancourt.
Un temps de questions-réponses était prévu à la fin. L’intervention d’une sociologue, opposante aux arguments de l’UNI, a été remarquée. Pour Philippe Thomazo, délégué national de l’UNI, « nos adversaires sont agacés par nos conférences, cela montre que nos arguments sont pertinents ».
Prochainement, l’UNI lancera une pétition sur les réseaux sociaux, ainsi que sur les campus, pour s’opposer à la politique de Najat Vallaud-Belkacem.
(DNA du 25 avril 2015)
Dimanche 26 Avril 2015
Saint-Louis/Le bonheur de lire....
Cette année, c’est un Ludovisien, (NDLR : un habitant né et résidant sur l’Île Saint-Louis à Paris), qui a ouvert la 32e édition de la Foire du livre. « Je veux croire en une complicité rieuse entre la ville de Saint-Louis et l’Île », a précisé l’académicien Frédéric Vitoux.
« Côtoyer des héros bien vivants »
Depuis la salle des Portes du Théâtre La Coupole, l’essayiste et romancier s’est dit, à la fois, « très intimidé et honoré » d’avoir été choisi comme président de cette 32e édition.
Sur le thème des « Héros de notre vie », le maire de Saint-Louis, Jean-Marie Zoellé, y a vu des occasions de se rapprocher « de nombreux auteurs, mais aussi explorateurs, de côtoyer des héros bien vivants ».
(...)
Au rang des politiques, le président du conseil départemental, Eric Straumann, a remis le prix du Printemps du roman à Mercedes Deambrosis pour L’étrange apparition de Tecla Osorio aux Busclats. Le prix des romancières a été décerné à Marie-Laure de Cazotte, auteur d’ A l’ombre des vainqueurs paru chez Albin Michel. Ce prix a été remis par Pascale Schmidiger, encore pour quelques jours à la vice-présidence du conseil régional. « Vous avez fait un réel cadeau à l’Alsace », a remercié l’élue. L’auteur en a profité pour expliquer : « Mon ouvrage n’existerait pas sans la confiance et les témoignages qui m’ont aidée à faire passer la mémoire ».
(DNA du 26 avril 2015)
Dimanche 19 Avril 2015
Droit d'asile À l’unanimité, la commission des lois du Sénat a demandé le report de l’examen du texte en séance pour pouvoir auditionner la Cour des comptes sur ce dossier « très politique ».
« Force est de constater que la procédure d’asile, aujourd’hui à bout de souffle, ne répond plus aux véritables enjeux de l’asile », estime la sénatrice Catherine Troendlé (UMP, 68).
« Sa vocation a été dévoyée et elle a été transformée en véritable machine à légaliser des clandestins », poursuit-elle en rappelant que « la Cour des comptes s’est positionnée sur le coût exorbitant de l’asile ».
(DNA du 19 avril 2015)
Lundi 13 Avril 2015
Saint-Louis/Les institutions expliquées aux élèves
Vendredi, le sénateur Catherine Troendlé est venue à la rencontre d’une soixantaine de lycéens avec au cœur des échanges, les institutions de la Ve République, le bicaméralisme et la parité.
Catherine Troendlé est première vice-présidente de la commission des lois et présidente du groupe d’amitié France-Allemagne du Sénat.
Après une présentation du Palais du Luxembourg par son assistant parlementaire Paul-Bernard Munch, Catherine Troendlé, élue sénatrice du Haut-Rhin en 2004, a évoqué, par l’image et par le verbe, les composantes du pouvoir législatif.
Les élèves de premières S et STI n’ont pas manqué de poser des questions sur son emploi du temps, ses indemnités, ses prises de position et son parcours personnel. Les réponses ont été données sans détour. Catherine Troendlé leur a aussi indiqué que les clefs de la réussite étaient dans l’engagement. Y compris dans le monde associatif local...
(L'Alsace du 12 avril 2015)
Lundi 13 Avril 2015
EuroAirport/ Catherine Troendlé confiante
Vice-présidente du groupe d’amitié franco-suisse au Sénat, la sénatrice Catherine Troendlé (UMP) a reçu, avec d’autres élus, le nouvel ambassadeur de la Suisse en France, Bernardino Regazzoni.
Se basant sur les propos de l’ambassadeur sur l’accord de Davos 2015, elle rapporte qu’ « un passage harmonieux au régime fiscal français pour les entreprises travaillant sur la plate-forme aéro portuaire » est à « rechercher ». François Hollande se rendra à Berne cette semaine.
(L'Alsace du 13 avril 2015)
Lundi 13 Avril 2015
Travaux parlementaires/EuroAirportLe député Eric Straumann (UMP, Haut-Rhin), président du département du Haut-Rhin, a écrit à François Hollande qui doit effectuer une visite d’État à Berne à la mi-avril. « Il est urgent et indispensable de proposer rapidement une solution qui puisse satisfaire nos partenaires helvétiques », dit-il au chef de l’État. « Il est essentiel que le régime fiscal auquel seraient assujetties les entreprises concernées soit similaire au régime suisse actuellement pratiqué ».
La sénatrice Catherine Troendlé (UMP, Haut-Rhin) a rencontré pour sa part le nouvel ambassadeur de la Confédération helvétique en France, Bernardino Regazzoni, à l’occasion de sa venue au Palais du Luxembourg.
Lors des échanges, l’ambassadeur a confirmé le caractère définitif de l’accord de Davos, tel que défini en janvier 2015, relatif à l’EuroAirport.
Il reste « à rechercher un passage harmonieux au régime fiscal français pour les entreprises travaillant sur la plate-forme aéroportuaire ». Ce dont s’est félicitée Catherine Troendlé.
(DNA du 12 avril 2015)
Dimanche 5 Avril 2015
Saint-Louis/les aviateurs célèbres se pont à Jean-Mermoz
Exit les appellations administratives au lycée Jean-Mermoz. Les salles de réunion sont désormais baptisées du nom d’un des grands noms de l’aviation française, à l’image de l’établissement qui porte celui du plus célèbre aviateur de l’Entre-Deux-Guerres.
Dès son arrivée à la rentrée 2012 à la direction du plus grand établissement secondaire de l’académie, le proviseur Jean-Luc Schildknecht confessait « qu’il manquait à certains endroits du lycée un peu d’humanité et un peu de chaleur ».
Plus que des noms, l’histoire de l’aviation
Les propositions issues des membres du Conseil de vie lycéenne (CVL) ont été validées par un dernier conseil d’administration. La belle salle C117 se nomme à présent « salle Suzy Oberlin », les deux petites situées non loin de l’administration s’appellent désormais « salle André-Malraux » et « salle Pierre-Latécoère ». Quant à la grande salle polyvalente F5 devient la « salle Antoine-de-Saint-Exupéry ». L’accès au lycée prend le nom d’« allée Roland-Garros ».
L’inauguration des cinq plaques s’est déroulée, dernièrement, en présence Suzy Oberlin et de Catherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin.
(DNA du 5 avril 2015)
Vendredi 3 Avril 2015
Catherine Troendlé, sénatrice, a été nommée vice-présidente du groupe français de l’Union Interparlementaire Catherine Troendlé, sénatrice, a été nommée vice-présidente du groupe français de l’Union Interparlementaire (UIP), lors de l’assemblée générale qui s’est tenue le 11 mars. L’UIP est l’organisation internationale des parlements qui regroupe les délégués des parlements de 144 pays et de cinq membres associés (représentants de grands ensembles géographiques).
Catherine Troendlé s’est dit très honorée d’avoir été nommée membre du bureau français de l’UIP, qui se compose de 50 députés et de 50 sénateurs répartis proportionnellement aux effectifs des groupes politiques de chaque assemblée. Foyer de la concertation interparlementaire à l’échelle mondiale, l’UIP œuvre pour la paix et la coopération entre les peuples et l’affermissement de la démocratie représentative, en étroite collaboration avec l’Organisation des Nations Unies.
(L'Alsace du 2 avril 2015)
Jeudi 2 Avril 2015
Enseignement/ les aviateurs célèbres s'invitent au lycée Mermoz
Dans certains bâtiments publics et notamment dans les établissements scolaires, l’identification des salles est pour le moins « administrative ». Au lycée Jean-Mermoz de Saint-Louis, on a convié pendant des années à des réunions en C117, en F5, dans la salle à côté de l’administration…
Participation des élèves
Jean-Luc Schildknecht, dès son arrivée à la tête du Mermoz, a trouvé qu’il manquait parfois au lycée « un peu d’humanité et un peu de chaleur ». Et après quelques transformations, le temps était venu pour le conseil d’administration de se pencher sur la question des salles de réunion. On a jugé plus pédagogique de donner aux élèves la possibilité de faire des propositions de noms pour les salles en question.
Les élus du Conseil de la vie lycéenne (CVL) ont donc cogité et après avoir écarté l’idée de retenir le nom d’hommes politiques, le choix s’est porté sur les aviateurs célèbres. Des propositions ont été soumises au conseil d’administration et le choix final est le suivant : la salle C117 devient salle Suzy-Oberlin, les deux petites salles de réunion situées à côté de l’administration s’intitulent désormais salle André-Malraux et salle Pierre-Latécoère ; la grande salle polyvalente F5 devient la salle Antoine-de-Saint-Exupéry et pour donner l’ambiance dès l’arrivée au lycée, le passage central d’accès, prend le nom d’allée Roland-Garros.
Suzy Oberlin : une femme de luttes
Vendredi dernier, pour l’inauguration de cette nouvelle signalétique, Susy Oberlin était présente et a dévoilé la plaque à son nom installée devant la salle du conseil d’administration. Le proviseur a rappelé le parcours exemplaire de l’aviatrice, Alsacienne originaire de la vallée de Thann, renommée pour son combat en faveur de l’égalité hommes-femmes dans tous les secteurs et notamment dans l’aviation.
Issue d’une famille d’enseignants, Suzy Oberlin a été la première Française à avoir été à la fois pilote de ligne, mère de famille nombreuse et grand-mère. En 1982, elle a obtenu l’accès des femmes à l’École interarmées des sports et quinze années plus tard, son combat a débouché sur l’ouverture aux femmes de la section Pilotes de l’armée de l’air et elle a fait encore sauter d’autres verrous qui bloquaient l’égalité professionnelle hommes-femmes.
L’invitée d’honneur de l’inauguration a déclaré : « J’aime le ciel et depuis l’âge de 13 ans, je voulais devenir aviatrice. J’avais déjà très tôt une passion pour l’aviateur Jean Mermoz ».
Tous les acteurs et visiteurs du lycée pourront désormais découvrir les cinq photos et les plaques de noms comportant quelques lignes qui expliquent le parcours de chacun des aviateurs cités. Une belle initiative pour le plus grand lycée d’Alsace
(L'Alsace du 2 avril 2015)
Mercredi 1er Avril 2015
Canton de Saint-Louis/Départementales/Les réactionsCatherine Troendlé, sénateur du Haut-Rhin : « Je suis très satisfaite pour nos conseillers départementaux locaux. Pascale Schmidiger et Max Delmond contribuent, par leurs bons résultats, à s’inscrire dans une véritable dynamique de territoire, dynamique qui sera portée par une assemblée diverse mais unie à Colmar. Le territoire de Saint-Louis porte des enjeux économiques majeurs pour tout le Haut-Rhin.
Pascale forte de son expérience de vice-présidente à la Région Alsace, saura faire entendre avec conviction la voix du sud du département, avec Max Delmond, conseiller général sortant. Pour autant, il nous faut être particulièrement à l’écoute de ceux qui ont manifesté leur mécontentement, leur ras-le-bol, leur désespoir aussi, en créditant le FN (candidats inconnus) de 31,39 %. C’est un appel que nous devons entendre, que nous avons entendu.
Et pour ces électeurs, nous devons nous battre pour leur apporter des réponses à leurs justes attentes. Avec les socialistes au pouvoir, nous n’avons pas le droit de baisser les bras. Nous devons porter des propositions et devons continuer à dénoncer cette politique du pire pour notre pays. »
(L'Alsace du 31 mars 2015)
Mercredi 1er Avril 2015
Roschwihr/Un tracteur pour la commune
L’ancien ouvrier municipal, Clément Rolli utilisait son propre tracteur pour les travaux municipaux. Lorsqu’il a quitté ses fonctions, la commune de Rorschwihr s’est retrouvée sans cet outil indispensable dans une commune rurale pour assurer l’entretien des chemins ruraux, les transports de matériels divers, l’enlèvement de déchets verts…
La municipalité a donc procédé à l’achat d’un tracteur, sa lame de déneigement, une saleuse, une remorque et un chargeur frontal. Les élus ont opté pour un modèle "Kubota" fourni par BMA (Berger Machines Agricoles) une entreprise de la zone artisanale voisine. Le tout nouvel outillage a nécessité l’investissement de 45 000 €. La commune a bénéficié d’une aide parlementaire de la sénatrice Catherine Troendlé de 10 000 €.
Notons que le nouvel ouvrier communal n’est employé qu’à mi-temps, 20 heures par semaine. Ce sont le maire Dominique Schaeffer, et son adjoint, Jean Marie Eichholzer, qui épaulent l’ouvrier pour tous les travaux dans la commune.
(DNA du 31 mars 2015)