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Dimanche 28 Février 2016

EXPO HABITAT WALDIGHOFFEN : « Consommer local sans modération »

image Rendez-vous des entreprises et de l’artisanat de tout le sud du département, l’Expo Habitat de Waldighoffen a été inaugurée vendredi soir. Fernand Heinis n’a pas mâché ses mots et livré un plaidoyer sans concession sur les politiques publiques menées en faveur de l’artisanat et des entreprises.

« Vitrine des artisans », « une source inépuisable d’idées pour la construction, l’ameublement et la décoration » , « une exposition importante pour les entreprises du bâtiment ». Tels sont les fondements de l’Expo Habitat de Waldighoffen rappelés, vendredi soir, par son organisateur charismatique Fernand Heinis, à l’occasion de l’inauguration de la 33e édition.

Le président du GBS (Groupement des Bâtisseurs du Sundgau) est rapidement passé à un registre plus politique salué un peu plus tard par Catherine Troendlé, ravie de ces tacles à l’encontre de la politique du gouvernement socialiste : « C’est un discours décomplexé et sans langue de bois, le temps de l’eau tiède est passé » , a martelé la sénatrice (LR) qui a apprécié « ce plaidoyer à charge contre toutes ces politiques qui n’ont pas d’effet sur l’artisanat et le monde économique ».
(...)

(L'Alsace du 28 février 2016)


Jeudi 25 Février 2016

Sécurité routière : des gestes de premiers secours intégrés à l'épreuve

Des questions sur les gestes d’urgence avaient déjà été intégrées à l’épreuve théorique. Désormais, les candidats devront répondre à des questions sur les réflexes à avoir en cas d’accident, pendant l’épreuve pratique du permis.

La semaine dernière, déjà, 1 000 questions ont été renouvelées pour l’examen théorique sur le code de la route, dont une partie sur la conduite à tenir en cas d’accident.

Chaque année, 250 à 350 vies pourraient être épargnées si les témoins connaissaient les gestes d’urgence. « L’objectif premier reste de permettre à chacun de savoir qui appeler, quoi dire aux services de secours, établir une chronologie des faits, mais aussi savoir se protéger pour éviter un suraccident », précise la sénatrice du Haut-Rhin Catherine Troendlé, rapporteur du texte de loi auprès du Sénat.

Concrètement, les candidats (1,4 million par an en France) seront formés aux gestes de premiers secours et devront répondre, lors de l’épreuve de conduite, à des questions sur le comportement à adopter en cas d’accident.

Protéger la zone en utilisant le triangle lumineux et le gilet fluo, ne pas déplacer la victime sauf en cas de danger majeur, utiliser un défibrillateur, rassurer le blessé… La législation sur la non-assistance à personne en danger et le délit de fuite seront également au programme.
Prévenir les secours plutôt qu’intervenir
Cependant, pas question de se ruer sur les blessés pour les manipuler. « Aujourd’hui, pratiquer la respiration artificielle sur les blessés est un geste contesté en cas d’accident de la circulation », souligne Catherine Troendlé.

La formation sera davantage tournée vers les fondamentaux, à savoir alerter les secours, et réserver au maximum les gestes techniques aux spécialistes.

Aujourd’hui, après l’épreuve pratique, l’examinateur posait une ou deux questions subsidiaires, en général sur la vérification technique du véhicule. C’est à ce moment de l’examen que s’ajoutera au moins une question de sécurité.

Le groupe de travail chargé de définir les nouvelles questions de l’examen pratique se réunira une dernière fois en mars. Elles seront ensuite communiquées aux formateurs. Et les examinateurs pourront les poser aux candidats dès le 1er juillet prochain.

Cette réforme est partie d’un constat : les conducteurs novices sont impliqués dans un quart des accidents corporels. Leur formation pour éviter ces accidents doit donc, logiquement, être complétée par ces réflexes d’urgence à connaître. Au cas...

(L'Alsace du 25 février 2016)


Jeudi 25 Février 2016

Permis de conduire/ des questions sur les gestes d'urgence

Des questions sur les gestes d’urgence avaient déjà été intégrées à l’épreuve théorique. Désormais, les candidats devront répondre à des questions sur les réflexes à avoir en
cas d’accident, pendant l’épreuve pratique du permis de conduire.

L’examen du permis de conduire comportera des questions sur les gestes de premiers secours. La semaine dernière, déjà, 1 000 questions ont été renouvelées pour l’examen théorique sur le code de la route, dont une partie sur la conduite
à tenir en cas d’accident.
Chaque année, 250 à 350 vies pourraient être épargnées si les témoins connaissaient les gestes d’urgence. «  L’objectif premier reste de permettre à chacun de
savoir qui appeler, quoi dire aux services de secours, établir une chronologie des faits, mais aussi
savoir se protéger pour éviter un suraccident  »,précise la sénatrice du Haut-Rhin Catherine Troendlé, rapporteur du texte de loi auprès du Sénat.
(...)

(Le Dauphiné Libéré du 25 février 2016)


Mardi 23 Février 2016

Blotzheim/ La retraite à bon compte de Serge Scholler

« Il n’y a pas d’avenir pour moi aux ACM », s’était dit Serge Scholler, en 1982, après un entretien d’embauche suite à une annonce dans le journal. 34 ans plus tard, il fêtait sa retraite de directeur de la caisse du Crédit mutuel de Blotzheim !

" C’est le président du conseil d’administration du Crédit mutuel de Blotzheim de l’époque, Claude Klein, qui m’a convaincu », se souvient Serge Scholler. Et il lui en fallut du charisme pour le persuader de quitter le cabinet d’assurance ludovicien dans lequel il travaillait depuis neuf ans pour rejoindre, en 1982, la caisse de Michelbach-le-Haut, commune de 400 âmes.

C’est le début d’une longue carrière à pente ascendante, au cours de laquelle Serge Scholler sera initié aux arcanes de la banque dans une convivialité très festive à l’époque. Après un passage par Ranspach-le-Bas, il devient responsable commercial de la nouvelle unité qui regroupe les caisses de Michelbach-le-Haut, Ranspach-le-Bas et Blotzheim en 1993. Avant d’en devenir le directeur en 2001.
Le nouveau challenge : sa famille
Pour fêter son départ à la retraite, vendredi soir au foyer Saint-Léger de Blotzheim, Serge Scholler avait invité tous ses collègues, ses amis, sa famille et certains inspecteurs. La sénatrice Catherine Troendlé, avec qui il a longuement collaboré, était également présente. Il a brièvement relaté le déroulement de sa carrière, avec beaucoup d’humour et en distillant quelques croustillantes anecdotes du passé. Avec un hommage au passage au regretté François Grienenberger. Avant de recevoir lui-même un hommage appuyé de son équipe et de son président du conseil d’administration, Gilbert Brom. « La caisse de Blotzheim fait partie des 50 plus performantes de l’Hexagone qui en compte 14 000. »
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(L'Alsace du 23 février 2016)


Lundi 22 Février 2016

Protection de l’enfant

Le Sénat a adopté la proposition de loi relative à la protection de l’enfant, dont l’amendement cosigné par Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin).
Il vise à tenir compte de la capacité réelle d’accueil en établissements de l’aide sociale à l’enfance.

(DNA du 21 février 2016)


Lundi 15 Février 2016

Les gens du voyage : Catherine Troendlé cosigne une proposition de loi. –

La sénatrice LR Catherine Troendlé a cosigné une proposition de loi visant à donner « des moyens supplémentaires et adaptés aux représentants de l’État dans les départements afin de mettre fin aux occupations illégales de terrains privés et publics », tout en renforçant l’obligation de scolarité ou d’instruction concernant les enfants des gens du voyage.

(L'Alsace du 14 février 2016)


Dimanche 14 Février 2016

Chez les Républicains, le tempo s'accélère !

image Alors que le Conseil national du parti se tient ce week-end à Paris, Nicolas Sarkozy fixera ce matin les grandes orientations pour le mouvement. Mais pour les candidats aux primaires, le projet du parti sera déterminé par celui qui les gagnera.

Le Conseil national réuni à Paris depuis hier jusqu’à aujourd’hui doit définir une ligne politique. Le but est de débattre, de libérer toutes les expressions et de trancher. Nicolas Sarkozy présentera un texte ce matin, en clôture des débats. Ce dernier sera amendé par les fédérations et voté par l’ensemble des adhérents en avril. « C’est de la vieille politique. Ça n’intéresse plus personne », raille un quadra du parti, ancien ministre. « Les primaires ont changé la donne : ce n’est plus au parti que ça se passe. Ce sont les primaires qui désigneront la ligne du parti », assure Benoist Apparu, pro-Juppé. D’ailleurs, Le Maire et Juppé ont carrément choisi de ne pas parler.
Un rassemblement de façade
« Il a fallu apaiser, reconstruire, rassembler. Cela n’a pas été facile. Il a fallu une patience dont je m’ignorais la capacité » , a dit hier matin Nicolas Sarkozy, très attaché à l’image d’un parti uni. En apparence, cela a été le cas car personne n’a été sifflé. Mais dans la réalité, chaque candidat à la primaire, déclaré ou pas, est déjà en campagne.
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(L'Alsace du 14 février 2016)


Dimanche 7 Février 2016

Gens du voyage

image La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a cosigné la proposition de loi visant à renforcer les sanctions relatives à l’accueil des gens du voyage.

Le texte entend donner des moyens supplémentaires et adaptés aux représentants de l’État et renforcer l’obligation de scolarité ou d’instruction concernant les enfants des nomades.

(DNA du 7 février 2016)


Dimanche 7 Février 2016

Alstom : une motion unanime

Sur proposition du vice-président Rémi Bertrand (LR, Reichshoffen), le conseil a adopté à l’unanimité une motion de « soutien à Alstom et à l’emploi dans le Bas-Rhin ». Il demande « que le président de la République et le gouvernement interviennent auprès de la SNCF afin que la procédure de contrat-cadre soit respectée » – en clair que les commandes de trains intercités soient confirmées pour l’entreprise largement implantée en Alsace ( DNA du 5 février). Le président Bierry sollicite une audience auprès du Premier ministre et du président de la SNCF.

Avant-hier, ce sont onze parlementaires, dont sept Alsaciens (Mmes Keller, Troendlé, MM. Reichardt, Kennel, Bockel, Danesi, Kern) qui ont écrit au secrétaire d’État aux Transports, Alain Vidalies, dans le même sens.

(DNA du 6 février 2016)


Vendredi 5 Février 2016

Chez les Républicains, Laurent Furst dans le Bas-Rhin, Catherine Troendlé dans le Haut-Rhin

Samedi dernier, les adhérents des deux fédérations alsaciennes des Républicains (Bas-Rhin et Haut-Rhin) ont été appelés à élire leur représentants au sein des instances départementales et nationales et à élire directement leur président départemental.

Pour la première fois dans l’histoire du mouvement, les adhérents des Républicains pouvaient élire directement leur président.
(…)Dans le Haut-Rhin, Catherine Troendlé était la seule en lice pour sa succession. Le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas a été élu avec 462 voix.
( ...)

(L'Ami hebdo du 7 février 2016)


Vendredi 5 Février 2016

Reichshoffen - Social/ Les élus réagissent

Jeudi 18 février, l’État pourrait annoncer le lancement d’un appel d’offres pour remplacer les vieux trains Corail. Un coup dur pour Alstom Transport à Reichshoffen qui espérait obtenir le marché directement et risque de se retrouver sans travail (lire en page 18 – cahier Région).

Le député nord alsacien Frédéric Reiss (Les Républicains) a interpellé à ce sujet le Premier ministre Manuel Valls lors de la séance des questions au Gouvernement mercredi 20 janvier :

« À l’heure où le Président de la République essaie par tous les moyens de faire baisser le chômage, je voudrais vous alerter sur un dossier, dont les conséquences pour l’emploi sont évidentes."

(...)

Dix sénateurs et sénatrices et un député (Les Républicains ou UDI) des territoires où sont implantées des usines Alstom Transport (*) ont écrit au secrétaire d’État chargé des Transports Alain Vidalies mercredi 3 février :

« Le 17 juin 2015, nous vous avions interpellé par courrier pour vous exprimer notre inquiétude concernant les sites Alstom Transport de nos territoires. Ceux-ci pourraient connaître des destructions d’emplois si le renouvellement des trains Intercités devait être réalisé dans le cadre des appels d’offres et non par l’application des contrats-cadres.

Or d’après des échos parus dans la presse, c’est bien le recours aux appels d’offres qui pourrait être retenu. Ce choix retarderait considérablement les procédures et les sites de production accuseraient alors un « creux » d’activités de près de dix-huit mois ce qui aura une incidence très importante pour l’emploi.

Ce choix serait un véritable coup dur pour les sites Alstom Transport d’Ornans dans le Doubs, du Creusot en Saône-et-Loire, de Tarbes dans les Hautes-Pyrénées, de Villeurbanne dans le Rhône, dans le Territoire de Belfort et enfin de Reichshoffen dans le Bas-Rhin.

Ce serait également une mauvaise nouvelle pour les voyageurs pour qui le recours à un appel d’offres va retarder la mise en service de ces nouveaux TET [trains d’équilibre du territoire] alors même que les trains Intercités en circulation sont d’ores et déjà vétustes et peu confortables. […] Nous réitérerons avec insistance notre souhait de voir la procédure des contrats-cadres entérinée par la SNCF. […] Vous êtes désormais confronté à un cas concret où votre décision peut soit assurer la pérennité de nos outils industriels et nos emplois ou, au contraire, plonger de nombreux territoires dans une situation difficile économiquement et socialement. […] »

(*) Les sénateurs et sénatrices Fabienne Keller (Bas-Rhin), Cédric Perrin (Territoire de Belfort), Catherine Troendlé (Haut-Rhin), André Reichardt (Bas-Rhin), Guy-Dominique Kennel (Bas-Rhin), Jean-Marie Bockel (Haut-Rhin), René Danesi (Haut-Rhin), Claude Kern (Bas-Rhin), Michel Raison (Haute-Saône) et Jean-François Longeot (Doubs) ainsi que le député Jacques Grosperrin (Doubs).

(DNA du 5 février 2016)


Jeudi 4 Février 2016

A Reichshoffen et sur cinq autres sites français : des risques pour l'emploi ?

Dans un courrier adressé au secrétaire d'Etat aux transports, Alain Vidalies, dix sénateurs disent leur inquiétude pour l'emploi sur les sites Alstom-Transport, dont celui de Reichshoffen dans le Bas-Rhin.
En cause, le lancement d’un appel d’offres pour le renouvellement des trains Corail Intercités alors que l’industriel français espérait obtenir le marché directement. Il risque de connaître un creux d’activité : 4000 emplois sont en jeu en France dont plus de 1000 à Reichshoffen.

La lettre adressée au secrétaire d'Etat aux transports est signée par dix sénateurs et sénatrices UDI et LR du grand Est de la France et du sud-ouest, où se trouvent six sites d'Alstom-Transport : Fabienne Keller (Bas-Rhin), Cédric Perrin (Territoire de Belfort), Catherine Troendlé (Haut-Rhin), André Reichardt (Bas-Rhin), Guy-Dominique Kennel (Bas-Rhin), Jean-Marie Bockel (Haut-Rhin), René Danesi (Haut-Rhin), Claude Kern (Bas-Rhin), Michel Raison (Haute-Saône),Jean-François Longeot (Doubs). Sept des dix sénateurs sont alsaciens.

Six sites Alstom-Transport, dont celui de Reichshoffen dans le Bas-Rhin "pourraient connaitre des destructions d’emplois si le renouvellement des trains intercités devait être réalisé dans le cadre des appels d’offres et non par l’application des contrats-cadres", avertissent les parlementaires. S'appuyant sur une information parue dans le Figaro et reprise par les salariés du groupe, ces parlementaires UDI et LR notent que "le recours aux appels d’offres" pourrait être la procédure retenue. "Ce choix retarderait considérablement les procédures et les sites de production accuseraient alors un « creux » d’activités de près de 18 mois ce qui aura une incidence très importante pour l’emploi", écrivent-ils.

Les sénateurs parlent du risque d'un "véritable coup dur" pour les sites Alstom-Transport d'Ornans dans le Doubs, du Creusot en Saône-et-Loire, de Tarbes dans les Hautes-Pyrénées, de Villeurbanne dans le Rhône, dans le Territoire de Belfort et enfin de Reichshoffen dans le Bas-Rhin.

La décision finale du secrétaire d'Etat aux transports "devrait être annoncée ce 18 février 2016", est-il écrit dans la lettre datée du 3 février. "Nous réitérerons avec insistance notre souhait de voir la procédure des contrats-cadres entérinée par la SNCF", insistent les dix sénateurs et sénatrices qui reconnaissent toutefois "que certaines analyses estiment qu’un risque juridique peut peser sur la validité de l’application des contrats-cadres. Toutefois, nous ne pourrions que regretter qu’à la prise d’un risque juridique mesuré, il soit préféré la certitude du chômage pour de nombreux employés des sites Alstom-Transport".

(DNA du 4 février 2016)


Mercredi 3 Février 2016

Lycée de Saint-Louis/Belle affluence

image Il y avait une belle affluence samedi pour la désormais traditionnelle journée portes ouvertes du lycée Mermoz. Tous les secteurs d’enseignement ont proposé des ateliers de découverte et de présentation de travaux d’élèves. De nombreux anciens élèves, anciens professeurs, futurs élèves avec leurs parents ou tout simplement visiteurs sont venus admirer le fleuron régional de formation publique qui draine chaque jour plus de 2200 apprenants. Des expériences scientifiques et techniques ont été présentées, souvent de manière ludique, afin de bien comprendre les enjeux de chaque formation spécifique.

Lors de la réception des élus, le proviseur Jean-Luc Schildknecht a présenté l’équipe qui a réalisé un petit film de promotion du lycée, plutôt original et décalé : un bel outil pour convaincre les jeunes, si besoin était, de la qualité du lycée Mermoz et de la bonne ambiance qui y règne.

(L'Alsace du 2 février 2016)


Lundi 1er Février 2016

Portes ouvertes au lycée Jean-Mermoz de Saint-Louis/Une affluence sans précédent

image Le lycée Jean-Mermoz de Saint-Louis a organisé, hier, une matinée portes ouvertes pour présenter au grand public les diverses formations qui y sont dispensées. Ils ont été très nombreux à venir chercher des renseignements.

Pour le proviseur Jean-Luc Schildknecht, c’est « du jamais vu avec pareille affluence. » Cette matinée portes ouvertes avait pour objectif d’informer les futurs lycéens mais aussi de donner l’opportunité au corps enseignant de valoriser son engagement pédagogique, et ainsi de permettre aux visiteurs de découvrir l’établissement. Et hier, ils ont été très nombreux à participer à la manifestation.
Dès jeudi, les 750 collégiens scolarisés en classe de troisième des collèges du district, accompagnés par leurs enseignants, ont été accueillis par le proviseur et ses adjoints, Catherine Chevalier et Benoit Bohler, avant d’assister à divers ateliers pour mieux comprendre la spécificité de la palette des formations offertes au sein de l’établissement scolaire. Et les nombreuses options proposées dès la seconde.

« Un élan vers l’avenir »

Hier, les visiteurs ont pu participer à des visites guidées ou libres. Les échos ont été des plus positifs. « Mon fils, Ryan, va entrer en classe de seconde, je voulais découvrir l’établissement qu’il a visité jeudi […]. Et c’est vrai que c’est impressionnant », a déclaré Yannick de Rosenau. De son côté, Mélanie de Ranspach-le-Bas a fait le déplacement « pour mesurer la dimension tant en termes de locaux que de filières d’un lycée où son frère François est élève en 1re S ». Les gens interrogés ont été « impressionnés » par « la dimension internationale du Mermoz avec ses filières transfrontalières innovatrices » dont le lycée s’impose comme le fer de lance.

(DNA du 30 janvier 2016)


Lundi 1er Février 2016

Les républicains : Troendle et Furst, présidents

image Il n’y a pas eu de surprise : la sénatrice-maire de Ranspach, Catherine Troendlé, et le député-maire de Molsheim, Laurent Furst, ont été élus présidents des Républicains, respectivement dans le Haut-Rhin et dans le Bas-Rhin.

Seule candidate en lice pour la présidence de la fédération des Républicains du Haut-Rhin, la sénatrice Catherine Troendlé a été réélue pour la première fois par les militants. Les deux précédentes fois, depuis 2007, c’est le comité départe-mental, « le parlement du parti » , qui l’avait désignée face à chaque fois un autre candidat. « L’élection par les militants confère au président la même légitimité qu’au secrétaire général désigné par Paris » , explique celle qui siège dans les instances nationales.
« Garder la famille rassemblée »
Si cela ne joue pas, en Alsace, où les relations sont traditionnellement bonnes entre les uns et les autres, il y a des régions où cela n’était pas le cas. Dans le Haut-Rhin, Eric Straumann, député et président du conseil départemental, est resté secrétaire départemental. « En tant que présidente, c’est un formidable levier pour promouvoir des jeunes et des femmes » , observe Catherine Troendlé qui veut mettre en place « un maillage territorial avec des référents » dans le département. Mais, très rapidement, l’objectif de la fédération sera d’organiser les primaires. « Mon objectif est de garder la famille rassemblée. Chacun doit pouvoir proposer son projet, mais sans attaquer les autres candidats. Cela nous affaiblirait » , met en garde la présidente, en rappelant que, deux mois après le vote des primaires, « ce sera le début de la campagne présidentielle ».

Pour l’heure, elle considère les relations plutôt apaisées, au niveau du bureau national, sauf entre Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé… Comme présidente, elle estime devoir garder « une certaine neutralité ». Mais la sénatrice Troendlé, comme déléguée à la famille et aux questions de société, travaille au côté du président des Républicains pour l’élaboration du projet.
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(L'Alsace du 30 janvier 2016)


Lundi 1er Février 2016

Frontaliers : Catherine Troendlé alerte la Justice.

Après l’audience solennelle de rentrée du TGI de Mulhouse, la sénatrice LR Catherine Troendlé a attiré l’attention du ministère de la Justice sur l’accumulation des dossiers relatifs aux travailleurs frontaliers, liée au refus de radiation des travailleurs frontaliers par la CPAM depuis juillet dernier.

« Il est à craindre sous peu un essoufflement manifeste lié au volume du traitement de ces dossiers, voire un engorgement du TGI » , s’inquiète-t-elle.

(L'Alsace du 30 janvier 2016)


Lundi 1er Février 2016

Procédures relatives aux travailleurs frontaliers

Au lendemain de l’audience solennelle de rentrée du TGI de Mulhouse, la sénatrice Catherine Troendlé a attiré l’attention de la ministre de la Justice, sur le nombre toujours plus important des procédures relatives aux travailleurs frontaliers : le tribunal des affaires de sécurité sociale traitait annuellement, jusqu’à mi 2015, quelque 1000 dossiers.

« À présent, il doit faire face à une recrudescence des actions judiciaires, de l’ordre de 1500 supplémentaires, depuis le refus de radiation des travailleurs frontaliers par la CPAM, à compter du 23 juillet dernier. En effet jusqu’à cette date, les CPAM, qui acceptaient de radier les travailleurs frontaliers présentant les documents attestant de la couverture Lamal, ne faisaient pas obstacle au principe de priorité de l’état d’activité afin de déterminer la législation applicable. Depuis lors, les CPAM ne procèdent plus à aucune radiation dans l’attente de démarches menées entre la France et la Suisse. D’où le nombre grandissant de contentieux auxquels il convient d’ajouter ceux liés aux charges sociales impliquant employeurs suisses, travailleurs frontaliers, CPAM et Urssaf. » Selon Catherine Troendlé , « il est à craindre sous peu un essoufflement manifeste lié au volume du traitement de ces dossiers voire un engorgement du TGI ».

(L'Alsace du 30 janvier 2016)


Lundi 1er Février 2016

Laurent Furst dans le Bas-Rhin, Catherine Troendlé dans le Haut-Rhin

Laurent Furst a été élu hier président de la fédération du Bas-Rhin des Républicains avec 73,70 % des voix face à Thibaud Philipps (26,30 %). Seule en lice, Catherine Troendlé a été réélue présidente de la fédération haut-rhinoise
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« Une place plus importante aux jeunes et aux femmes »

L’enjeu était moindre dans le Haut-Rhin où Catherine Troendlé, présidente sortante seule en lice, a été réélue.

« Je suis très satisfaite de pouvoir continuer sur ma lancée et de réajuster les failles qui existent dans les activités et l’organisation de la fédération », précise la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas. Elle entend notamment offrir « une place plus importante aux jeunes et aux femmes ».

Les deux présidents portent une attention particulière à l’ancrage populaire et local.
Catherine Troendlé veut « revenir à l’efficacité du temps du RPR avec un système pyramidal et une base très large dans tous les cantons, pour être plus proche de la population ». « Nous avons de la chance d’avoir des militants et des adhérents. Il faut qu’ils puissent avoir une grande place dans la vie de la fédération et être associés au mouvement », explique Laurent Furst.

Leur prochain défi est l’organisation de la primaire de la droite et du centre. Ils savent le terrain glissant et cherchent déjà à éviter la bataille rangée.

«Ni attaques ni dénigrements»

« Au-delà de la primaire, il faut être unis pour 2017. Ça me tient à cœur, quel que soit le gagnant. Il n’y aura qu’un seul candidat pour notre mouvement », indique Laurent Furst.

Catherine Troendlé se montre très ferme. « Organisatrice officielle » de la primaire dans le Haut-Rhin, elle annonce des « réactions fortes » en cas de dérapages. « Je serai intransigeante. La primaire se déroule dans la même famille politique. Je demande qu’il n’y ait ni attaques ni dénigrements et que les comités de soutien soient constructifs ». Son objectif est qu’en décembre, « les équipes se mettent en ordre de marche derrière le candidat ».

Les délégués de circonscription et les conseillers nationaux ont aussi été désignés hier. 70 % des conseillers nationaux bas-rhinois sont des nouveaux élus. Le conseil national des Républicains se tiendra le 13 février.

(DNA du 30 janvier 2016)