Archives des publications


Lundi 31 Octobre 2016

HAbsheim/La foire aux bestiaux

image C’est sous une épaisse brume que la fête de Simon et Jude a commencé hier à Habsheim. Les animaux, les commerçants et le public étaient néanmoins au rendez-vous. Ils le seront aujourd’hui encore.

Hier à Habsheim, aux premières heures d’ouverture de la foire Simon et Jude, les commerçants les plus matinaux rendaient déjà la monnaie de leurs ventes quand d’autres finissaient seulement d’installer leur stand… ou tentaient de le rejoindre. À la braderie, quelque 400 étals proposaient un large choix. Pendant ce temps, les visiteurs étaient filtrés et contrôlés par une armada de vigiles disséminée aux sept entrées officielles. Par mesure de sécurité, certains accès habituellement ouverts aux piétons étaient déjà interdits et ils le resteront jusqu’à ce soir.

À proximité d’un ring improvisé pour le défilé, certaines vaches montbéliardes et des prim' holstein meuglaient, les sabots dans le foin, tandis que certaines de leurs congénères attendaient d’être délivrées des bétaillères. Jura, Judith et Julie sont trois salers emmenées par Mathieu et Klara, de Rammersmatt. « Elles ont été tondues, on a dénoué leurs queues avant de leur donner un beau volume et on leur a mis de la graisse pour faire briller les cornes. Un dernier coup de brosse et elles seront présentables » , expliquait la jeune femme. Avec les vosgiennes, les jersiaises, les normandes et les brunes des Alpes, ce sont 250 vaches issues de 40 élevages qui ont commencé à être notées par les juges. Les concours sont portés par l’association des Éleveurs bovins du Haut-Rhin, la Chambre d’agriculture d’Alsace, Elitest et le lycée agricole de Rouffach.

(L'Alsace du 31 octobre 2016)


Mardi 25 Octobre 2016

Fessenheim/UNe question vieille de dix mois.

Dix mois, c’est le temps que la ministre de l’Environnement a mis pour répondre à une question écrite de la sénatrice Catherine Troendlé (LR) , sur le coût de fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim.

La publication de la question le 24 décembre 2015 y aurait-elle été pour quelque chose ? Il faut demander au Père Noël.

(DNA du 25 octobre 2016)


Mardi 25 Octobre 2016

Les urgences de Thann fermées six mois

En raison du départ de quatre de ses cinq urgentistes et d’une pénurie de personnel médical, le service des urgences de l’hôpital de Thann sera fermé pour six mois. (…)

Depuis de longs mois, le service des urgences de Thann fonctionne sur le fil du rasoir, à grand renfort d’intérimaires – ce qui s’est déjà traduit par deux week-ends de fermeture. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, cela a été une nouvelle organisation du travail, refusée par les urgentistes thannois – qui devaient notamment se retrouver seuls pour les gardes de nuit, alors qu’ils étaient deux précédemment. Elle s’est soldée par le départ pour Belfort de quatre d’entre eux (sur cinq)… Vue la pénurie actuelle de personnel médical – qui concerne toute l’Alsace mais aussi de nombreuses autres régions françaises –, le GHRMSA se retrouve dans l’impossibilité de continuer à assurer le fonctionnement du service des urgences du site de Thann à compter du 7 novembre. L’ARS (Agence régionale de santé) doit donc fermer ce service pour une durée estimée à six mois. « On ne peut pas faire autrement, a expliqué Marie Fontanel, directrice générale déléguée de l’ARS. C’est une mesure exceptionnelle et temporaire. »

Durant cette période de six mois, les personnes en situation d’urgence devront appeler le 15, qui décidera de la prise en charge la plus adaptée pour le patient. Catherine Troendlé a d’ailleurs souligné que cela devrait être systématiquement le cas, avant de se rendre par ses propres moyens aux urgences. Si besoin, le patient sera orienté vers un autre service d’urgences, à Altkirch, Guebwiller, ou bien Mulhouse – qui accueillait déjà toutes les urgences vitales en provenance de la région de Thann. (...)

(L'Alsace & DNA du 25 octobre 2016)



Dimanche 23 Octobre 2016

Magstatt-le-Haut/Florence Heitz, maire

La petite commune de Magstatt-le-Haut, 310 habitants, dans le Pays de Sierentz, a un nouveau maire.

En l’occurrence Florence Heitz, élue le 10 octobre dernier, suite à la démission de Bernard Sutter, qui avait souhaité mettre fin à ses fonctions de premier magistrat pour des raisons personnelles. «En fait, j’étais contre toutes ces fusions et ces regroupements qu’on nous impose ». Bernard Sutter avait été maire de Magstatt-le-Haut durant 22 ans, après être entré au conseil municipal il y a 34 ans. Il continuera de siéger parmi les élus. Il a été le doyen des maires du Haut-Rhin, élu de 1995 à ces jours derniers. Il a eu 80 ans en février dernier.

Florence Heitz est âgée de 51 ans. Elle est maman de deux filles et travaille au rectorat à Strasbourg. C’est son premier mandat d’élue communale. C’est aussi la première fois qu’une femme exerce la fonction de premier magistrat à Magstatt-le-Haut. Elle a remporté l’élection face à un autre candidat, René Rapp, deuxième adjoint au maire. Jean-Jacques Bissel a été élu premier adjoint et René Rapp deuxième adjoint au maire.

L’élection de Florence Heitz a ravi Catherine Troendlé, sénateur maire de Ranspach-le-Bas, à la tête des femmes maires de Haute-Alsace, qui l’a d’ores et déjà conviée à Riespach à la rencontre des femmes maires du Haut-Rhin, en septembre 2017. Catherine Troendlé a aussi salué l’engagement de Florence Heitz en sa qualité de présidente d’une association d’aide aux femmes violentées : Solidarité femmes 68 à Saint-Louis.

(L'Alsace du 22 octobre 2016)


Dimanche 23 Octobre 2016

Thann/Quel devenir pour les urgences ?

La sénatrice Catherine Troendlé et le député Michel Sordi ont fait parvenir à L’Alsace un communiqué concernant les urgences de l’hôpital de Thann :

« Le devenir du service des urgences de l’hôpital Saint-Jacques de Thann sera à nouveau évoqué ce vendredi à Mulhouse, lors de la réunion d’échange et d’information autour de la fermeture temporaire du service des urgences de Thann. Dépités par une nouvelle organisation du service, depuis le 1erseptembre dernier, quatre des cinq médecins urgentistes viennent d’annoncer leur départ vers l’hôpital de Belfort, au début du mois de novembre. »
Les parlementaires se disent très sensibilisés à ce sujet : « Il convient de trouver une solution temporaire qui devra entrer en application au lendemain du départ des médecins urgentistes de Thann et ce, jusqu’à ce qu’une solution pérenne puisse être mise en œuvre. »
Selon la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, « face aux temps de transport bien longs dans ce bassin de vie, la redirection vers les centres hospitaliers de Mulhouse, Guebwiller, voire Altkirch est bien hasardeuse, notamment au regard des urgences vitales ».

Un groupe de pilotage a été mis en place, associant élus, services du groupement hospitalier et représentants de l’Agence régionale de santé, afin « de définir les meilleures hypothèses pour apporter au mieux un service de qualité, répondant aux besoins exprimés de quelque 30 000 habitants de Thann à Kruth, et dimensionné à la cinquantaine de patients en journée. »

(L'Alsace du 21 octobre 2016)


Dimanche 23 Octobre 2016

Saint-Louis/6,5 millions pour la plateforme douanière

Le contrat de plan État-Région Grand-Est 2015-2020 confirme les huit millions d’euros affectés à l’ensemble des grandes plateformes douanières en Alsace du sud : ce ne sont pas moins de 6,5 millions qui remédieront aux dysfonctionnements répétés de la plateforme douanière de Saint-Louis. Le restant portera sur des travaux à mener à la plateforme d’Ottmarsheim.

Outre l’inadéquation du gabarit de l’autoroute au droit de la Ville de Saint-Louis – deux fois deux voies – avec une forte intensité du trafic aux heures de pointe, la problématique majeure de deux équipements voisins - le parking TIR et l’échangeur de Saint-Louis (A 35/RD 105) - est à l’origine de l’engorgement du passage de la frontière. Très impliqué dans ce dossier, la sénatrice Catherine Troendlé avait mis également en avant « la sous-capacité de la plateforme de dédouanement », avec quelque 2700 poids lourds pour une capacité de 400. Des faiblesses auxquelles il faut ajouter un stationnement « inorganisé » des camions sur la voie de droite et/ou sur la bande d’arrêt d’urgence de l’A35. Ce qui, selon la sénatrice, « génère d’importants problèmes de circulation et de sécurité ».
Au lendemain de l’annonce de ces 6,5 millions d’euros mobilisés pour Saint-Louis, Catherine Troendlé se montre un peu plus confiante : « Deux années sont encore nécessaires pour engager les travaux : quelques études complémentaires sont encore à effectuer avant de pouvoir définitivement dresser un cahier des charges avant de lancer les différents appels d’offres. »

Sur cette base, les parlementaires Catherine Troendlé et Jean-Luc Reitzer souhaitent, lors d’une nouvelle réunion en préfecture, connaître le phasage des travaux portant sur cette importante plateforme, auxquels la Suisse sera également amenée à contribuer financièrement.
Enfin, la probabilité du renforcement des normes douanières suisses ne semble plus d’actualité.

(L'Alsace du 22 octobre 2016)


Dimanche 23 Octobre 2016

Rythmes scolaires : catherine Troendlé incisive.

Accusant le dernier rapport sur la réforme des rythmes scolaires d’ « être chargé de complaisance à l’égard du gouvernement » , la sénatrice Catherine Troendlé (LR) est intervenue pour dénoncer la faiblesse des moyens attribués par l’État aux communes rurales pour la mettre en œuvre.

« Quand disposerons-nous, de la part du ministère de l’Éducation nationale, d’une évaluation complète de l’application des rythmes scolaires ? » , a-t-elle demandé.

(L'Alsace du 23 octobre 2016)


Dimanche 23 Octobre 2016

Secours à personne

Secours

Les sénateurs Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) et Pierre Yves Collombat (RDSE, Var) ont présenté cette semaine leur rapport sur l’évolution des missions des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS) en matière de secours à personne.

Leurs 10 propositions, « décomplexées » et « empiriques » selon Catherine Troendlé, s’articulent autour de trois axes : une meilleure coordination entre les différents acteurs du secours à personne, une optimisation des moyens des SDIS et une planification plus efficace des risques.

(DNA du 23 octobre 2016)


Jeudi 20 Octobre 2016

Thann/ Quel avenir pour les urgences ?

La sénatrice Catherine Troendlé et le député Michel Sordi ont fait parvenir à L’Alsace un communiqué concernant les urgences de l’hôpital de Thann :

« Le devenir du service des urgences de l’hôpital Saint-Jacques de Thann sera à nouveau évoqué ce vendredi à Mulhouse, lors de la réunion d’échange et d’information autour de la fermeture temporaire du service des urgences de Thann. Dépités par une nouvelle organisation du service, depuis le 1er septembre dernier, quatre des cinq médecins urgentistes viennent d’annoncer leur départ vers l’hôpital de Belfort, au début du mois de novembre. »

Les parlementaires se disent très sensibilisés à ce sujet : « Il convient de trouver une solution temporaire qui devra entrer en application au lendemain du départ des médecins urgentistes de Thann et ce, jusqu’à ce qu’une solution pérenne puisse être mise en œuvre. »

Selon la sénatrice-maire de Ranspach-le-Bas, « face aux temps de transport bien longs dans ce bassin de vie, la redirection vers les centres hospitaliers de Mulhouse, Guebwiller, voire Altkirch est bien hasardeuse, notamment au regard des urgences vitales ».

Un groupe de pilotage a été mis en place, associant élus, services du groupement hospitalier et représentants de l’Agence régionale de santé, afin « de définir les meilleures hypothèses pour apporter au mieux un service de qualité, répondant aux besoins exprimés de quelque 30 000 habitants de Thann à Kruth, et dimensionné à la cinquantaine de patients en journée. »

(L'Alsace le 20 octobre 2016)


Jeudi 20 Octobre 2016

Thann/Services des urgences de l’hôpital St-Jacques/Le député Michel Sordi et la sénatrice Catherine Troendlé veulent une solution pérenne

image Le devenir du service des urgences de l’hôpital Saint-Jacques de Thann sera à nouveau évoqué ce vendredi à Mulhouse lors d’une réunion d’échange et d’information autour de la fermeture temporaire du service des urgences de Thann.

« Dépités par une nouvelle organisation du service, depuis le 1er septembre dernier, quatre des cinq médecins urgentistes viennent d’annoncer leur départ vers l’hôpital de Belfort, au début du mois de novembre », relèvent les parlementaires Catherine Troendlé et Michel Sordi qui, par voie de communiqué, se disent très sensibilisés sur ce sujet.

Un groupe de pilotage

« Il convient de trouver une solution temporaire qui devra entrer en application au lendemain du départ des médecins urgentistes de Thann et ce jusqu’à une solution pérenne puisse être mise en œuvre ».

Selon le sénateur-maire de Ranspach-le-Bas, « face aux temps de transports bien long dans ce bassin de vie, la redirection vers les centres hospitaliers de Mulhouse, Guebwiller, voire Altkirch, est bien hasardeuse notamment au regard des urgences vitales ».

Un groupe de pilotage a été mis en place, associant élus, services du groupement hospitalier, représentants de l’Agence régionale de santé, afin « de définir les meilleures hypothèses pour apporter au mieux un service de qualité, répondant aux besoins exprimés de quelque 30 000 habitants de Thann à Kruth, et dimensionné à la cinquantaine de patients en journée ».

(DNA du 20 octobre 2016)


Jeudi 20 Octobre 2016

Des sénateurs préconisent une réforme de l'organisation des

Paris, 19 oct. 2016 (AFP) -

Des sénateurs ont présenté mercredi un rapport préconisant une réforme de l'organisation des secours, visant
notamment à mieux coordonner les différents services concernés, avec la mutualisation des centres d'appel 15
(Samu), 18 (pompiers) et des permanences ambulancières.
Les auteurs du rapport, Catherine Troendlé (Les Républicains) et Pierre-Yves Collombat (Rassemblement
démocratique et social européen), constatent que les services départementaux d'incendie et de secours (SDIS) sont
confrontés à "l'évolution de leur mission initiale - le feu - vers le secours à personne, désormais prédominant dans
leur activité", dans un contexte de "contrainte budgétaire".
Les missions de secours à la personne représentent désormais 76,6% des interventions des SDIS (contre 7% pour
la lutte contre les incendies): "de supplétifs, les SDIS sont devenus incontournables, tout particulièrement dans les
territoires ruraux".

Le rapport pointe ainsi "l'évolution du paysage médical marquée par la désertification sur des pans entiers du
territoire, la vacance des gardes et le transfert des victimes vers des urgences hospitalières de plus en plus
encombrées": "Pour la population, le maillage territorial des casernes de sapeurs-pompiers compense en quelque
sorte la désertification médicale, réelle ou ressentie".
Les deux sénateurs jugent qu'en dépit des réorganisations déjà intervenues, "sous la pression budgétaire et non en
fonction d'une analyse globale des besoins réels selon les territoires et les moyens des acteurs. On reste dans le
bricolage permanent !". Ils appellent à "une simplification et à une clarification de l'organisation et des
compétences des différents acteurs".

Dix propositions dessinent l'esquisse d'une réforme de l'organisation des secours, avec notamment la mutualisation
des plateformes d'appel 15 et 18 dans tous les départements, en y intégrant les permanences ambulancières; la sectorisation des compétences entre pompiers des SDIS (dans les territoires ruraux délimités selon leur
éloignement d'une antenne du Service mobile d'urgence et de réanimation) et équipes des SMUR dans les
agglomérations ou en cas d'urgences graves; mutualisation des hélicoptères des services d'urgence et de sécurité.



Jeudi 20 Octobre 2016

Secours à personne : "L'équilibre risque d'être rompu"

Un rapport sénatorial propose de généraliser les plateformes communes d'appels 15/18 qui, pour l'heure,
reposent exclusivement sur l'initiative locale. Il préconise également de sectoriser le secours à personne : aux pompiers les territoires ruraux et les situations de faible gravité, aux Smur les agglomérations et les urgences
graves.
"Les pompiers sont devenus les dromadaires de ces déserts médicaux, il va falloir s'adresser au Qatar." Par cette
formule imagée, le président du Sdis de l'Hérault entendait alerter, en 2012, sur la situation du secours à personne dans les territoires ruraux. Elle n'a jamais été aussi actuelle : les déserts médicaux ont progressé du fait des restructurations de la carte sanitaire, obligeant de plus en plus souvent les pompiers à prendre le relai du Samu. Mais cet équilibre de façade peut-il tenir encore longtemps ? Un rapport adopté par la commission des lois du Sénat la semaine dernière permet d'en douter. "Nous avons une médecine dont la qualité est sans cesse meilleure mais dont la proximité est sans cesse en décroissance. Vous ne pouvez accepter cette situation que si les urgences sont assurées", a prévenu le président de la commission de lois, Philippe Bas, lors de la présentation de ce rapport ("Secours à personne : propositions pour une réforme en souffrance"), le 19 octobre, rappelant que la santé est la première des priorités des Français, devant l'emploi. Or, selon lui, cet équilibre "risque d'être rompu si on ne prend pas des mesures très importantes de réorganisation du secours".
Les relations difficiles entre les "rouges" et les "blancs" ont déjà fait coulé beaucoup d'encre. Un rapport d'inspection
sur le référentiel d'organisation du secours à personne et de l'aide médicale d'urgence publié en 2014 avait déjà abouti
à peu près aux mêmes conclusions que les sénateurs. Le référentiel de juin 2015 qui en a découlé n'a apparemment pas
eu les effets escomptés.
Les auteurs de ce nouveau travail, Catherine Troendlé (Haut-Rhin, LR) et Pierre-Yves Collombat (Var, RDSE), vont
cette fois-ci jusqu'à proposer de "sectoriser" le secours à personne, sur le modèle de la gendarmerie et de la police : les
sapeurs-pompiers seraient compétents dans les territoires ruraux précisément délimités selon leur éloignement d'une
antenne Smur, les Smur le seraient dans les agglomérations et partout en cas d'urgences graves.
Les carences ont triplé en quatre ans
En droit, l'organisation du secours est simple, a rappelé Pierre-Yves Collombat : le secours à personne dépend du
ministère de la Santé : le Samu, appuyé par les Smur et les ambulanciers privés, intervient lorsque la dimension
médicale domine. Les pompiers n'interviennent qu'en cas de "carence" comme supplétifs, ou en situation de "prompt
secours". Mais l'évolution de la carte médicale et la disparition des hôpitaux de proximité a changé la donne au fil des ans : le secours à personne représente 76,6% des interventions des Sdis, quand la lutte contre les incendies qui était leur mission première ne compte plus que pour 7%. Entre 2010 et 2014, le nombre de carences a presque triplé. "En réalité, progressivement, ce sont les pompiers qui assument cette tâche", a constaté Pierre-Yves Collombat. Or, si le coût moyen d'une intervention de Sdis se monte jusqu'à 500 euros dans certains départements, ils ne sont remboursés qu'à hauteur de 118 euros… et "les hôpitaux ne peuvent pas toujours payer rubis sur ongle" a fait valoir Catherine Troendlé, certains Sdis mettent plus d'un an à se faire payer. Le plus incongru est que, parfois, on aboutit à la situation inverse, avec des situations de "sur-présence" : Smur, sapeurs-pompiers, ambulanciers arrivent sur un même lieu.
"C'est un gaspillage de moyens humains et financiers", s'est insurgée Catherine Troendlé.

Les rapporteurs rappellent au passage que les pompiers itnerviennent de plus en plus pour de la "bobologie" ou des
faits d'ivresse sur la voie publique, ce qui devrait relever de la police…

Généraliser les plateformes communes 15/18

Pour mettre fin à ces "conflits de territoires", au "règne du chacun chez soi", et sans attendre une très hypothétique
sectorisation, les sénateurs proposent de généraliser les plateformes communes d'appel 15/18, en y associant les
ambulanciers privés. Vingt Sdis possèdent déjà d'un centre d'appels commun. Et quatorze d'entre eux disposent de
locaux communs. Les sénateurs se sont particulièrement intéressés à l'exemple de la Haute-Savoie qui s'est engagée
dans la mutualisation dès 1996 et qui dispose depuis 2011 d'un nouveau plateau situé à Meythet, près d'Annecy, dans
les locaux du Sdis. La plateforme accueille une permanence des ambulanciers privés, une garde des médecins
libéraux, les urgences sociales et le service téléalarme du conseil départemental. L'organisation "conduit chacun,
'rouges' et 'blancs', à répondre à ses propres appels et à décrocher les appels de l'autre en cas de surcharge", notent les sénateurs. Mais, comme l'a souligné Catherine Troendlé, le succès d'Annecy tient essentiellement "à la volonté de deux personnes". "On veut que l'Etat programme ces plateformes !", a-t-elle martelé. "Nous sommes conscients que nous n'allons pas susciter un enthousiasme extraordinaire", a ajouté Pierre-Yves Collombat. Pour donner plus de poids à leurs propositions, les sénateurs préconisent d'instituer auprès du Premier ministre une autorité responsable de l'organisation du secours et de l'aide médicale d'urgence.

(Localtis, 20 octobre 2016)


Jeudi 20 Octobre 2016

Sénat/Organisation des secours

Les sénateurs (LR) du Haut-Rhin Catherine TROENDLE et (RDSE)
du Var Pierre-Yves COLLOMBAT formulent dix propositions dans un rapport d'information sur l'évolution des missions des services départementaux d'incendie et de secours (SDIS) en matière de secours à personne, présenté hier au nom de la commission des Lois. Ils proposent notamment de
la mutualisation physique des plateformes d'appel 15 (Samu) et 18 (pompiers) dans l'ensemble des départements en y intégrant les permanences ; de la compétence des différents services intervenant dans le secours à personne : les sapeurs-pompiers seraient compétents en premier rang dans les territoires ruraux précisément délimités selon leur
éloignement d'une antenne SMUR, les SMUR le seraient dans les agglomérations et partout en cas d'urgences ; auprès du Premier ministre une autorité responsable de l'application du référentiel portant sur l'organisation du secours à personne et de l'aide médicale urgente.

(Le Bulletin quotidien du 16 octobre 2016)


Mercredi 19 Octobre 2016

Jungholtz - Notre-Dame de Thierenbach Les anciens combattants en pèlerinage

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C’est avec plus de cent drapeaux aux couleurs tricolores que le parvis de la basilique de Thierenbach, haut lieu de pèlerinage marial alsacien, était pavoisé ce dimanche.
A l’occasion de la messe annuelle de l’Union nationale des combattants du Haut-Rhin, les centaines de membres de cette entité mémorielle se sont retrouvés pour honorer ceux qui sont morts durant les conflits du XXe siècle, et aussi pour penser à ceux décédés au cours de l’année.

François Scherr, directeur départemental de l’ONACVG, Étienne Haffner, président de l’Union nationale des combattants du Haut-Rhin, en compagnie de la sénatrice Catherine Troendlé, de nombreux élus des instances régionales ou départementales, de maires ou représentants des communes ainsi que les responsables des instances départementales du monde des anciens combattants, des militaires d’active ou de réserve de l’armée française, ont été accueils à l’entrée de la basilique par le recteur Denis Simon qui a présidé l’office religieux.

Après la messe, les participants se sont rendus à la salle des fêtes de Wuenheim pour partager le repas. Cette journée a permis aux anciens combattants de se retrouver dans la ferveur, la convivialité et l’amitié.

(DNA du 19 octobre 2016)


Mercredi 19 Octobre 2016

Société/l'organisation des pompiers est à repenser

Des sénateurs préconisent d'améliorer le secours à personne, en se coordonnant avec le Samu ou les ambulanciers.

SÉCURITÉ - Les pompiers ne cessent de faire couler de l’encre. Après deux rapports, l’un rédigé par la Cour des comptes en 2011 et l’autre plus tôt, en 2009, par une mission d’évaluation et de contrôle de l’Assemblée nationale, les sénateurs rendent à leur tour ce mercredi leur copie, que Le Figaro a consultée.

Alors que dans les deux premiers cas c’est à chaque fois la gestion dispendieuse des services départementaux d’incendie et de secours(SDIS) qui avait été dé-noncée, les deux auteurs du rapport ont pris, cette fois, un angle d’attaque différent. Même si le souci d’une meilleure maîtrise des coûts est toujours présent en toile de fond de ce nouveau travail, Catherine Troendlé (LR) et Pierre-Yves Collombat (RDSE) font des propositions pour rendre plus performant le secours à personne en France. Un objectif qui pourra être atteint, selon eux, par le biais d’une meilleure concertation entre tous les acteurs concernés, relevant de la sécurité civile et du ministère de la Santé.

Au fil des ans, l’activité de secours à la personne, qui relève en principe des services de santé, est pourtant devenue la raison principale des sorties des soldats du feu, « soit 76,6 % de leur activité », rappellent les parlementaires. Or le Samu et les ambulanciers interviennent également sur ce type de mission. « On arrive à des organisations diverses et variées au niveau local où chacun gère sa boutique à sa manière», résume Pierre Yves Collombat quand, dans le rapport, il est écrit : « On reste dans le bricolage permanent.»

Proposant de passer à une organisation plus cohérente au niveau national, les auteurs de ces 80 pages souhaitent la mutualisation des plateformes d’appel 15 et 18 en y intégrant les permanences ambulancières. Pompiers, Samu, sociétés privées travailleraient ainsi ensemble pour définir les besoins d’intervention en cas d’urgence, comme cela se fait d’ailleurs en Haute-Savoie. « Cela a été mis en place grâce à la volonté de deux hommes, un médecin urgentiste et le directeur du SDIS», relève Catherine Troendlé.

Ce dispositif permettrait ainsi d’éviter ce qui se passe trop ailleurs. « Des doublons injustifiés», comme l’avait d’ailleurs déjà relevé la Cour des comptes. Chacun travaillant sans concertation, tout le monde se déplace sur la même urgence… « Il est désolant, voire inadmissible que les services de l’État ne parviennent pas à coopérer… », s’indignent les parlementaires qui, pour les forcer à travailler ensemble, proposent une autorité auprès du premier ministre.

Mais il s’agit aussi de mettre bon ordre dans les champs de compétence des pompiers qui, note le rapport, « sont de plus en plus présents pour des interventions de bobologie ». Agissant de moins en moins dans la lutte contre l’incendie, qui constitue désormais 7% seulement de leurs activités, les soldats du feu ont accepté de prendre en charge de nombreux autres secteurs. « Et ils y ont trouvé leur compte pour exister », explique la sénatrice. D’autres services en auraient bien profité aussi… Ainsi, et alors que cela relève du domaine des forces de l’ordre, les pompiers se déplacent pour les ivresses publiques. « En Maine-et-Loire, ces interventions ont augmenté de 39 % en 2015 et de 200 % en dix ans », est-il écrit.

Les SDIS interviennent aussi en remplacement des ambulanciers. « Les transporteurs privés préfèrent souvent privilégier leurs transports planifiés rentables en semaine », soulignent les deux parlementaires. Dans ce cas, les SDIS sont remboursés à hauteur de 118 euros, alors que les frais engagés sont de 500 euros. « Un scandale », selon le SDIS de l’Ariège. Pour alléger ces coûts, les rapporteurs suggèrent que les pompiers puissent intervenir, dans certains cas, à deux et non à trois. D’autant que cette activité est dévoreuse de temps. Avec des urgences saturées, ces équipages sont obligés d’attendre devant l’hôpital. « À Marseille, le délai moyen de prise en charge des victimes s’élève à 25 minutes , est il indiqué. À Angers, il est parfois de 40 minutes.

De leur côté, les SDIS affirment faire les frais d’une mauvaise organisation. « Un défaut de rigueur de la régulation médicale conduit à l’intervention des sapeurs-pompiers pour des urgences qui n’en sont pas », déplore celui de Côte d’Or. Celui de Dordogne note « une sursollicitation (…) pour des opérations hors urgence ou de détresse vitale par des abonnés à des services de télésurveillance à domicile ».

Par ailleurs, une autre piste, qui risque de faire grincer des dents, est évoquée. Dans le cadre de la mutualisation des moyens, le rapport propose que les médecins sapeurs-pompiers volontaires puissent intervenir en tant que médecins, comme le font aussi leurs collègues du Samu. « Ces derniers sont dépêchés sur une urgence pour faire un diagnostic ou délivrer les premiers soins. Les confrères des SDIS pourraient accomplir ces mêmes missions », suggère ainsi Pierre-Yves Collombat.

(Le Figaro du 19 octobre 2019)


Mercredi 19 Octobre 2016

Bernwillrr/inauguration d'une école passive

image De l’école de Bernwiller, on a déjà tant parlé qu’elle est bientôt une curiosité nationale, voire internationale. Le maire délégué d’Ammertzwiller, Mathieu Ditner l’a rappelé dans son discours samedi, le village a vu défiler des dizaines de journalistes et même un ministre, en l’occurrence André Vallini, secrétaire d’État aux collectivités locales. La raison de cette attention toute particulière ? Le caractère futuriste de la nouvelle école élémentaire : murs en paille, toit végétalisé, baies vitrées orientées plein sud, tout y est fait pour économiser un maximum d’énergie. « On n’y a pas encore allumé le chauffage », confiait un élu samedi. La preuve que ça marche !

Des élus en grand nombre

Bref, de cette école il en a donc été question maintes et maintes fois et la projection diapos de samedi témoignait de la médiatisation intense de toutes les étapes de la construction.

(...)
Tous ces élus se sont succédé au micro pour redire combien innovante est cette construction signée de l’architecte Thomas Weulerse et dont le suivi de chantier sur le terrain a été assuré par son collègue Bruno Goetschy.

1,3 million d’euros

Tous ont souligné l’exemplarité de la construction dont le coût s’élève à 1,3 million d’euros. Ils ont tous loué la modernité de l’équipement s’attardant beaucoup sur les aspects techniques !

À ce concert de louanges on serait toutefois tenté d’y mettre un petit bémol. Parce que quelle que soit la qualité du bâtiment où l’on se trouve, la forme ne fera jamais le fond. Et que des structures ultramodernes ne remplaceront quand même pas la qualité de l’enseignement qui y est dispensé, même si la qualité du bâtiment y contribue.

Une vérité qu’a d’ailleurs très bien résumée et avec beaucoup d’humour Mathieu Ditner. « Ce n’est que l’école qui est passive, les enfants qui y sont eux, travaillent », a dit le maire délégué.

Ce sur quoi les parents d’élèves de Bernwiller peuvent cependant être totalement rassurés. Car bien mieux que tous les discours officiels, les jolis chants des enfants qui ont ouvert la cérémonie traduisaient bien le fait que les élèves se sont déjà appropriés les lieux et qu’ils y viennent tous les matins avec un plaisir certain pour y apprendre, avec force réussite, à devenir des adultes.

(DNA du 18 octobre 2016)


Mercredi 19 Octobre 2016

Bernwillrr/inauguration d'une école passive

image De l’école de Bernwiller, on a déjà tant parlé qu’elle est bientôt une curiosité nationale, voire internationale. Le maire délégué d’Ammertzwiller, Mathieu Ditner l’a rappelé dans son discours samedi, le village a vu défiler des dizaines de journalistes et même un ministre, en l’occurrence André Vallini, secrétaire d’État aux collectivités locales. La raison de cette attention toute particulière ? Le caractère futuriste de la nouvelle école élémentaire : murs en paille, toit végétalisé, baies vitrées orientées plein sud, tout y est fait pour économiser un maximum d’énergie. « On n’y a pas encore allumé le chauffage », confiait un élu samedi. La preuve que ça marche !

Des élus en grand nombre

Bref, de cette école il en a donc été question maintes et maintes fois et la projection diapos de samedi témoignait de la médiatisation intense de toutes les étapes de la construction.

(...)
Tous ces élus se sont succédé au micro pour redire combien innovante est cette construction signée de l’architecte Thomas Weulerse et dont le suivi de chantier sur le terrain a été assuré par son collègue Bruno Goetschy.

1,3 million d’euros

Tous ont souligné l’exemplarité de la construction dont le coût s’élève à 1,3 million d’euros. Ils ont tous loué la modernité de l’équipement s’attardant beaucoup sur les aspects techniques !

À ce concert de louanges on serait toutefois tenté d’y mettre un petit bémol. Parce que quelle que soit la qualité du bâtiment où l’on se trouve, la forme ne fera jamais le fond. Et que des structures ultramodernes ne remplaceront quand même pas la qualité de l’enseignement qui y est dispensé, même si la qualité du bâtiment y contribue.

Une vérité qu’a d’ailleurs très bien résumée et avec beaucoup d’humour Mathieu Ditner. « Ce n’est que l’école qui est passive, les enfants qui y sont eux, travaillent », a dit le maire délégué.

Ce sur quoi les parents d’élèves de Bernwiller peuvent cependant être totalement rassurés. Car bien mieux que tous les discours officiels, les jolis chants des enfants qui ont ouvert la cérémonie traduisaient bien le fait que les élèves se sont déjà appropriés les lieux et qu’ils y viennent tous les matins avec un plaisir certain pour y apprendre, avec force réussite, à devenir des adultes.

(DNA du 18 octobre 2016)


Lundi 17 Octobre 2016

Surendettement

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a interpellé le gouvernement sur la « dérive inflationniste » des procédures de rétablissement personnel qui permet l’effacement des dettes d’une personne surendettée.

« Cette procédure fait supporter aux locataires scrupuleux le coût des difficultés financières rencontrées par les ménages qui occupent le même parc social », estime l’élue.

(DNA du 17 octobre 2016)


Lundi 17 Octobre 2016

BURNHAUPT-LE-BAS/La maternelle réhabilitée et inaugurée

image Depuis la rentrée dernière, les plus jeunes écoliers de Burnhaupt-le-Bas, scolarisés à l’école maternelle, font leurs classes dans une nouvelle école. Elle a été inaugurée hier, après deux ans de travaux de réhabilitation et d’extension.

L’école comme lieu saint du savoir, répondant au triple impératif de pédagogie, de confort et d’hygiène, est un principe qui n’est pas nouveau. Dès la fin du XIXe siècle, la législation en France, en Suisse et en Allemagne réglemente de plus en plus rigoureusement la construction scolaire.
Aussi, hier comme aujourd’hui, architectes et pouvoirs publics ont-ils à l’esprit ce triptyque, toujours en vigueur mais adapté aux normes et canons urbanistiques et architecturaux du moment. Et l’école maternelle Lune et fontaine de Burnhaupt-le-Bas inaugurée hier, après plusieurs années de réflexion et deux ans de travaux, ne déroge pas à la règle.
C’est en 2013 que le conseil municipal lance, en raison du manque de place dans les locaux existants, l’opération de réhabilitation et d’extension (doublement de la surface d’origine) de l’école maternelle datant de 1953
(...)
Les travaux de réhabilitation et d’extension ont coûté 1 814 500 €. Pour financer ce projet, la commune a pu compter sur des subventions : 300 000 € au titre de la dotation d’équipement des territoires ruraux, 52 685 € de la Région et 30 000 € de réserve parlementaire de la sénatrice Catherine Troendlé. Un prêt de 1 324 700 € a été contracté et le reste (107 064 €) a été autofinancé.

(L'Alsace du 17 octobre 2016)


Dimanche 9 Octobre 2016

RSA : Catherine Troendlé planche sur le bénévolat.

Après la décision du tribunal administratif de Strasbourg, qui a retoqué la délibération du conseil départemental du Haut-Rhin visant à verser le RSA contre des heures de bénévolat ( L’Alsace de jeudi), la sénatrice Catherine Troendlé (LR) veut « apporter une réponse législative » pour conforter la décision haut-rhinoise.

Elle propose ainsi deux catégories d’allocataires : « La première ouverte aux personnes qui, pour mille et une raisons, resteront allocataires ; une seconde liée à un dispositif de réinsertion professionnelle pour tous ceux et celles disposés à retrouver, par étapes, un emploi. »

(L'Alsace du 9 octobre 2016)


Dimanche 9 Octobre 2016

Adoptions

Catherine Troendlé , sénatrice (LR) du Haut-Rhin, est intervenue auprès du président de la République pour attirer son attention sur « les risques que fait peser » le rapprochement de l’agence française de l’adoption (AFA) et du Groupement d’intérêt public de l’enfance en danger (GIPED) sur les procédures d’adoptions internationales.

(DNA du 9 octobre 2016)


Dimanche 9 Octobre 2016

Sierentz - Electricité/Mieux réparti la production

image Au lendemain de plusieurs années d’étude menées depuis 2008 et de construction, Enedis (ex ERDF) a inauguré, vendredi, le poste de transformation électrique “Hardt” situé aux portes de Sierentz. Ce nouveau poste source répond à l’accroissement de la demande en électricité et sécurise l’alimentation électrique du Sud Alsace.

L’existence d’un poste très haute tension, appartenant à RTE, a conduit Enedis à créer à proximité de ce dernier, le nouveau poste de transmission “Hardt”. Désormais ce poste permet de mieux répartir la puissance électrique avec les postes de transformation avoisinants. Il permet notamment d’émettre les ordres tarifaires (heures creuses, heures pleines) afin de lisser les appels de puissance et donc de réduire les pointes de consommation.

Répondre aux enjeux du développement du territoire

Cette création s’accompagne d’importants travaux de renforcement et de modernisation du réseau 20 000 volts permettant ainsi d’accroître et d’améliorer la qualité de fourniture.

Cet investissement de quelque 6 M€ permet désormais d’alimenter trente communes, soit plus de 11 120 clients.

En cas d’incident majeur sur le réseau de distribution du sud alsace, ce nouveau poste apportera de la réactivité dans la réalimentation des clients des communes avoisinantes, notamment sur celle de Saint-Louis.

Avec ses cinquante mégawatts, ce nouveau poste électrique de dernière génération – le premier en Alsace à transformer la très haute tension (225 000 volts) en tension moins levées (20 000 volts) – entend répondre aux enjeux du développement du territoire, à l’accroissement de la demande en électricité tout en sécurisant l’alimentation énergétique au sud de Mulhouse.

Le poste de Sierentz est pourvu d’équipements de contrôle avec commande numérique. Cette dernière permet de réduire le nombre des interventions de maintenance, systèmes autocontrôlés et dotés de fonctions de télémaintenance.

(DNA du 9 octobre 2016)


Vendredi 7 Octobre 2016

Rouffach/Une séance autour de la sécurité

La sécurité des écoles et des manifestations locales, ainsi qu’un avis sur le projet de modification du périmètre des arrondissements ont été, entre autres, mardi soir au programme du conseil municipal de Rouffach.
Au début de conseil municipal, Jean-Pierre Toucas très ému a demandé mardi d’observer une minute de silence pour rendre hommage à Jean-Jacques Felder, maire de Hattstatt et premier vice-président de la Communauté de communes Pays de Rouffach, vignobles et châteaux (CCParovic), qui est décédé le 30 août. « Jean-Jacques était un homme discret, rigoureux et efficace, précieux car toujours de bon conseil, altruiste et plein d’abnégation, au service de tous », a souligné le maire de Rouffach.

L’ordre du jour a ensuite été abordé avec les rapports des différentes commissions : travaux dans les rues Rettig, Walch et Ullin, éclairage public à leds, mis en place en septembre, chantier d’accessibilité de l’école élémentaire Xavier-Gerber, jeu extérieur avec sol amortissant pour l’école maternelle « Aux Remparts », remplacement du mobilier dans deux classes et installation d’une classe numérique pendant les vacances de la Toussaint. Mais aussi l’implantation d’un nœud de raccordement de la fibre optique et de trois sous répartiteurs optiques : rue de Bâle à côté du centre de secours, rue du général De Gaulle et allée des Humanistes.
(...)
Sécurisation des écoles.- La prolongation de l’état d’urgence exige que soient mises en place des mesures particulières de sécurité pour les écoles. Le préfet du Haut-Rhin a informé de la possibilité de déposer une demande de subvention au titre de la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR). Le maire a rappelé que le dossier de la Ville porte sur la sécurisation des accès avec le remplacement des portails et des portillons d’accès au groupe scolaire, côté rue de la Piscine et côté salle polyvalente, avec un interphone d’accès à l’école élémentaire Gerber et le remplacement de deux portillons de l’école maternelle Aux Remparts par un interphone d’accès.

30 000 € de dotation

Préconisé également, l’instauration d’un pass pour l’accès aux salles de l’école Xavier-Gerber et à l’école maternelle Aux Remparts et l’occultation des fenêtres des salles de classe côté cour à l’école Malraux, cette école ayant déjà des accès sécurisés. Le montant estimatif des travaux s’élève à 30 000 €. « Ces mesures ont été prises dès la rentrée et communiquées à la gendarmerie » , a rappelé le maire. La demande de subvention au titre de la DETR a été approuvée par le conseil. D’autre part, Jean-Pierre Toucas a informé le conseil d’une dotation dans le cadre de l’enveloppe sénatoriale de la part de la sénatrice Catherine Troendlé de 30 000 € à l’école Gerber pour la mise en conformité vis-à-vis des personnes handicapées.

(L'Alsace du 7 octobre 2016)


Jeudi 6 Octobre 2016

RSA/Le Département « persiste et signe »

Le conseil départemental du Haut-Rhin fera appel du jugement du tribunal administratif de Strasbourg. En attendant, Eric Straumann et sa majorité « persistent et signent dans leur volonté d’inscrire le bénévolat dans les parcours d’insertion des allocataires du RSA ». D’ici la fin de l’année, le Département proposera « un dispositif adapté et concerté qui s’appuiera notamment sur l’inscription de l’action de bénévolat dans les contrats d’engagements réciproques qui lient aujourd’hui la collectivité et les allocataires du RSA », prévient Eric Straumann. « Nous devrons négocier au cas par cas. »

(...) La sénatrice LR du Haut-Rhin, Catherine Troendlé, soutient « le positionnement » d’Eric Straumann et compte apporter « une réponse législative pour permettre aux Départements d’accompagner au mieux ces personnes maintenues dans une forme d’assistanat".

(DNA du 6 octobre 2016)


Lundi 3 Octobre 2016

PRIMAIRES DE LA DROITE/Pour les jeunes sarkozystes, la campagne passe par le web

image Une soixantaine de personnes, tous âges mêlés, ont pris part vendredi soir au lancement du mouvement haut-rhinois « NouS les Jeunes 68 », dans les locaux de la permanence mulhousienne des Républicains. « NouS » comme un clin d’œil aux initiales de Nicolas Sarkozy… Car l’initiative est naturellement motivée par la primaire de la droite et du centre des 20 et 27 novembre prochains.

Une cinquantaine de jeunes Républicains font d’ores et déjà partie du mouvement, autour du référent départemental Stéphane Fluckiger. Leitmotiv de ce dernier : « Nicolas Sarkozy mérite de faire un second mandat, car il n’a pas pu terminer le travail entamé entre 2007 et 2012. »

Pour faire campagne, la petite troupe compte utiliser à fond l’outil informatique – et en particulier le logiciel Knockin, conçu pour « aspirer » les données publiées par les utilisateurs des réseaux sociaux… L’idée étant de cibler ensuite plus efficacement les sympathisants de la cause, lors d’intenses séances de « phoning » (relances téléphoniques) ou de porte à porte. Allez, encore deux petits mois pour savoir si Knockin va réellement révolutionner la manière de mener campagne.

(L'Alsace du 2 octobre 2016)


Lundi 3 Octobre 2016

Gynécologie médicale

L’Alsace est « particulièrement touchée » avec une diminution des effectifs de gynécologues médicaux de 41,1 %, entre 2008 et 2015 et une prévision de diminution supplémentaire de 31,7 % pour la période allant de 2015 à 2020, explique la sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin). Elle a interpellé la ministre de la Santé pour qu’elle augmente le nombre de postes d’internes de médecine, spécialité gynécologie médicale, pour l’année universitaire 2016-2017. La ministre a répondu positivement en portant à 69 le nombre de postes offerts aux épreuves nationales en médecine pour la spécialité de gynécologie médicale.
(DNA du 2 octobre 2016)

Catherine Troendlé défend la gynécologie médicale
Interpellée par le Comité de défense de la gynécologie médicale (CDGM), sur la diminution flagrante, sans renouvellement, du nombre de gynécologues médicaux en activité, la sénatrice Catherine Troendlé a interpellé la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, afin qu’elle augmente le nombre de postes d’internes de médecine, spécialité gynécologie médicale, pour l’année universitaire 2016-2017. Sensible à l’intervention, relayée par plusieurs parlementaires, la ministre a porté à 69 le nombre de postes offerts pour la spécialité de gynécologie médicale, liée à la question de la santé des femmes.
(L'Alsace du 2 octobre 2016)