Archives des publications


Lundi 29 Janvier 2018

La crise de vocation des volontaires sauveteurs

19:09:39 Reportage d'Aubery Perrot.
19:10:08 Interview de Daniel Metzger, salarié et pompier volontaire qui évoque ses départs en
interventions.
19:11:40 Interview du LTN-CLN Alain Koenig, chef de groupement. 19:12:49
Retour plateau.
invitée : Catherine Troendlé, sénatrice LR du Haut-Rhin, présidente du Conseil national des sapeurs-pompiers volontaires et chargée par Gérard Collomb d'une
mission parlementaire pour relancer le volontariat. La crise de vocation des volontaires sauveteurs. Les femmes ne représentent que 17% des effectifs des pompiers en opérations. La sensibilisation dans les collèges.

(F3 du 28 janvier 2018)


Dimanche 28 Janvier 2018

prisons

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin), quant à elle, s’étonne que « le grand plan de déradicalisation annoncé par l’appareil de communication du président de la République […] peine à montrer le bout de son nez »

(L'Alsace du 28 janvier 2018)


Vendredi 26 Janvier 2018

Les questions d'actu au gouvernement en exclu sur Public Sénat

Après la chaîne parlementaire LCP qui s'est vue confier le 3 octobre dernier la diffusion exclusive des séances de questions au Gouvernement en lieu et place de France 3, c'est au tour de Public Sénat de se voir confier la diffusion exclusive des questions d'actualité au
Gouvernement, à compter du mois d'avril prochain.

C'est en effet la conclusion du rapport de
Catherine Troendlé, vice-présidente du Sénat, après plusieurs mois de concertation. Toutefois, en « compensation de ce basculement », selon un communiqué du Bureau du Sénat, ce dernier a accepté les propositions d'accompagnement éditorial faites par France Télévisions : la diffusion avant et après le basculement de bandes annonces annonçant la diffusion exclusive sur Public Sénat ; le maintien de la diffusion des questions d'actualité au Gouvernement sur France O ; la diffusion une fois par semaine sur franceinfo de modules de
3 à 4 minutes reprenant les temps forts des questions d'actualité au Gouvernement ; la diffusion, le dimanche matin sur France 3, de l'émission « Parlement hebdo » coproduite par les deux chaînes parlementaires ; pour tenir compte de la dimension territoriale du travail
sénatorial, la diffusion mensuelle sur France 3 d'une émission « Sénat en action ».

(Le Quotidien 25 janvier 2017)


Dimanche 21 Janvier 2018

Sécurité routière

Le député haut-rhinois Jean-Luc Reitzer (LR) a cosigné une proposition de loi visant à insérer dans la partie législative du code de la route les limitations de vitesse et à maintenir à 90 km/h la vitesse autorisée sur les routes à deux voies.

Pour sa part, la sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) « demande la communication des résultats des études scientifiques et de l’expérimentation sur lesquels le gouvernement s’est fondé pour décider l’abaissement, de 90 km/h à 80 km/h ». « Il serait plus efficace de renforcer la lutte contre la consommation de stupéfiants et d’alcool au volant » , estime l’élue.

(DNA & L'Alsace du 21 janvier 2018)


Mercredi 17 Janvier 2018

Feldbach et riespach - Visite de Jean Rottner, président de la région Grand Est

image Le président du conseil régional du Grand Est, Jean Rottner, des conseillers régionaux et départementaux, des élus de la vie civile et du monde agricole ont visité, samedi matin, deux exploitations agricoles, le GAEC Saint Jacques à Feldbach et la nouvelle nursery du GAEC de la Verdure à Riespach.

C’est par un vent glacé mais aussi sous un soleil éclatant que la délégation de la région Grand Est, menée notamment par son président Jean Rottner, sa vice-présidente Christèle Willer et Patrick Bastian, président de la commission agricole, s’est rendue sur deux exploitations sundgauviennes afin de prendre la température de l’innovation agricole mais aussi des préoccupations du monde agricole local. Cette météo fut aussi la métaphore de ce que vivent les éleveurs, soumis aux aléas de diverses crises-après celle du lait s’ajoute celle de l’affaire Lactalis- mais aussi prêts à relever des défis pour pérenniser une profession, envisager un avenir pour les jeunes et garantir un paysage attractif pour tous. » Car, « que serait le Sundgau sans l’élevage ? » interrogea Denis Nass, agriculteur et maire de Gommersdorf.

« De la terre aux chaussures » pour bien cerner les enjeux de l’agriculture locale

Le président de la Chambre d’Agriculture d’Alsace et conseiller régional Laurent Wendlinger a souhaité que Jean Rottner se déplace dans le Sundgau pour lui montrer qu’il y a un vrai travail de proximité qui se fait entre agriculteurs, car « un élu doit avoir de la terre aux chaussures » ce que confirma le président du Grand Est venu en bottes…. Pour la première visite, c‘est Sébastien Stoessel, associé au GAEC Saint Jacques mais aussi président du canton du Jura de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) du Haut-Rhin et président de l’association des éleveurs de bovins du Haut-Rhin, bien connu pour son franc-parler, qui a été le porte-parole de la profession : « on sort d’une situation compliquée, mais on est toujours prêt à se retrousser les manches ». Il a remercié les élus d’« être présents sur le terrain-et pas seulement lors de campagnes électorales », car comme eux, « les agriculteurs doivent souvent se défendre, ils sont malmenés et attaqués ».(...)

(DNA du 17 janvier 2018)


Dimanche 14 Janvier 2018

WATTWILLER Les premiers vœux du maire Maurice Busche

image Environ 140 personnes ont répondu à l’invitation de Maurice Busche pour la cérémonie des voeux, en présence de Daniel Merignargues, sous-préfet de Thann-Guebwiller, Raphaël Schellenberger, député, Catherine Troendlé, sénatrice, Jean-Paul Omeyer, conseiller régional, François Horny, vice-président de la communauté de communes, Fabian Jordan, président de M2A, les élus des communes voisines, les amis de Wasenweiller commune d’Allemagne, les représentants des brigades vertes, gendarmerie, sapeurs-pompiers, ONF, du monde éducatif, associatif, sportif, religieux et économique.

Le maire de Wattwiller a évoqué 2017 et ses différentes réalisations, mais il a aussi évoqué le changement que la commune a connu en décembre dernier, le 4, avec le passage de témoin de maire entre lui et Raphaël Schellenberger. Une petite projection a été proposée à l’assemblée avec un retour sur les points qui ont jalonné 2017.

La commune de Wattwiller s’accroît avec deux lotissements qui ont débuté, le Rechen et Rauseo. Ils accueilleront 50 logements en habitats collectifs et individuels. Les premiers habitants sont attendus au début de cette année.

La commune va continuer à entretenir son patrimoine, tout en poursuivant son développement. L’équipe municipale travaillera sur le futur PLU, sur la poursuite des travaux de voirie, notamment la réfection de la rue de Berrwiller et celle de la fontaine de la rue de la Victoire.
(...)

(L'Alsace du 9 janvier 2017)


Dimanche 14 Janvier 2018

Le non-cumul favorise les femmes

Dans le Haut-Rhin, la loi sur le non-cumul des mandats a eu un effet positif sur la féminisation du personnel politique.
Brigitte Klinkert (LR) a succédé au député Eric Straumann (LR) à la présidence du conseil départemental.
Madeleine Goetz a pris la succession du sénateur René Danesi (LR) à la mairie de Tagsdorf.
Sandra Muth a été élue maire de Ranspach-le-Bas après la sénatrice Catherine Troendlé (LR), et Michèle Lutz occupe désormais le fauteuil de Jean Rottner (LR) à la mairie de Mulhouse.

(DNA du 9 janvier 2018)


Jeudi 11 Janvier 2018

Santé visuelle : Catherine Troendlé voit rouge !

Au 1er janvier 2017, la France comptait 5 035 ophtalmologistes répartis inégalement sur le territoire… Un chiffre en baisse de 0,4% sur un an ! En l’espace de 7 ans, les départements français ont perdu en moyenne 8,2 % de spécialistes. Dans l’Est, la densité n’est que de 6,4 médecins ophtalmologistes pour 100 000 personnes (et de 6,8 dans le département du Haut-Rhin) contre 7,5 au niveau national. Ce manque de professionnels se traduit par un temps d’attente de plus en plus important, avant consultation, selon le Sénateur (LR) Catherine Troendlé. Ainsi, alors que le temps moyen d’attente d’un rendez-vous auprès d’un ophtalmologue haut-rhinois, était de 85 jours en 2016 – soit 8 jours de plus qu’en 2013 –, « il faut désormais patienter en moyenne plus de 100 jours pour obtenir un rendez-vous et même 110 jours dans le sud du département, à Mulhouse et son agglomération »…

Une situation inquiétante alors que le nombre de pathologies oculaires augmente chaque année et les personnes non corrigées représentent 6% de la population. Face à la pénurie d’ophtalmologistes, la Vice-Présidente du Sénat a avancé, dès 2010, une solution, répondant à ce problème dans le Haut-Rhin, qui serait d’activer des contrats de coopération transfrontaliers. Pour elle, il est primordial de permettre à chacun d’être suivi par un professionnel de santé, dans un délai d’attente raisonnable. De même, Catherine Troendlé, a multiplié ses interventions auprès des ministres successifs en les interpellant sur la situation des opticiens, des orthoptistes, des optométristes et des ophtalmologues.
« Faire ratifier l’accord de coopération avec la Suisse »

Sans volonté politique gouvernementale de gérer différemment le nombre de postes de spécialistes, la seule alternative viable pour l’instant, est celle préconisée par la parlementaire Les Républicains du Haut-Rhin.

Dans une question écrite, Catherine Troendlé demande expressément la ratification de l’accord-cadre de coopération sanitaire transfrontalière franco-suisse, signé le 27 septembre 2016. Grâce à la mise en place de cet accord, « la question de la prise en charge des frais d’opération et/ou d’hospitalisation serait résolue », précise le Sénateur, la demande d’autorisation étant délivrée automatiquement par l’institution de Sécurité sociale compétente. Concrètement, l’Augenklinik, la clinique ophtalmologique de Bâle, pourrait former des praticiens qui s’implanteraient dans les départements limitrophes, en secteur II conventionné à honoraires libres. Les spécialistes suisses, établissant leur cabinet principal en Alsace garderaient la possibilité d’opérer leurs patients à l’Augenklinik. Cet accord permettrait de réduire les délais dans la région Grand Est particulièrement touchée par la pénurie d’ophtalmologistes.

(Revue du Trombinoscope 6 janvier 2018)


Mercredi 3 Janvier 2018

Statut de la Polynésie: le Sénat "n'exclut pas" de présenter un texte organique

Le Sénat "n'exclut pas" de faire une proposition de loi organique pour moderniser le statut de la Polynésie
française, selon un récent rapport d'information de la commission des Lois de la Haute assemblée.
Une délégation sénatoriale (Catherine Troendlé et Mathieu Darnaud, accompagnés de leur ex-collègue Philippe
Kaltenbach) s'est rendue en Polynésie du 26 février au 8 mars pour faire le point sur l'organisation institutionnelle de ce territoire situé dans le pacifique Sud, à 18.000 kilomètres de la métropole, et composé de 118 îles.
Dans leur rapport, dont l'AFP a eu connaissance vendredi, les sénateurs soulignent qu'après une sortie du cycle
d'instabilité institutionnelle, le gouvernement polynésien aspire à "une pause statutaire" mais souhaite des "ajustements".
"Le gouvernement polynésien a engagé une réflexion approfondie afin de proposer la correction de quelques
imperfections", explique le rapport, qui estime que ses préconisations "auraient dû être reprises, pour partie, au sein d'un projet de loi organique, en préparation en 2016" mais jamais débattu.
Ils appellent de leurs voeux "l'examen prochain d'un texte de loi organique permettant au Parlement d'examiner
des modifications qui concourraient à une modernisation du statut, comme la réforme du régime contentieux des
lois du pays non fiscales, la dématérialisation accrue de l'administration polynésienne ou la clarification des
compétences de la collectivité".
Les sénateurs "n'excluent pas le dépôt d'une proposition de loi organique si le gouvernement ne parvenait pas à
élaborer et déposer rapidement sur le bureau du Sénat un projet de loi organique".
Le rapport souligne aussi la situation des îles Marquises, où certains élus souhaitent "la création d'un statut particulier qui s'apparenterait à une forme de +départementalisation+".
Il note aussi que les communes -créées seulement depuis 1971 mais "échelon de proximité irremplaçable"- ont des
compétences très réduites par rapport à celles de métropole, nombre d'entre elles étant exercées par la collectivité de la Polynésie française.
Le rapport plaide donc pour "l'application du principe de subsidiarité et une forme de décentralisation interne"
vers les communes.
La Polynésie dispose d'une forte autonomie. La collectivité peut adopter des "lois du pays" dans les matières qui relèveraient normalement du domaine de la loi.

(AFP 29 déc. 2017)


Mercredi 3 Janvier 2018

La commission des Lois du Sénat publie un rapport sur l'état des services régaliens et des collectivités en Polynésie française

La commission des Lois du Sénat, présidée par M. Philippe BAS, sénateur (LR) de la Manche, a publié un rapport d'information de M m e Catherine TROENDLE, sénatrice (LR) du Haut-Rhin, et M. Mathieu DARNAUD, sénateur (LR) de l'Ardèche, sur l'état des services régaliens et des
collectivités en Polynésie française.

Lors d'un déplacement, la délégation de la commission des Lois a rencontré les élus locaux, les services de l'Etat et les représentants des juridictions. Elle a ainsi visité quatre des cinq archipels de la Polynésie française : les îles du Vent, les îles sous le Vent, les îles Tuamotu et les îles Australes.
Les rapporteurs ont souligné les contraintes résultant de l'étendue et de l'éloignement de ce territoire - 118 îles dispersées sur 2,5 millions de km 2 - , relevant que ces contraintes géographiques pèsent sur l'organisation des services publics.
Ils insistent dans leur rapport sur l'importance du cadre communal, qui constitue un échelon de proximité pour les Polynésiens. Les communes exerçant des compétences de fait plus importantes que le domaine réduit que leur confie la loi, et ce malgré des ressources fiscales quasi-inexistantes.
Dans ce contexte, la construction intercommunale reste balbutiante. M m e TROENDLE a aussi souligné la difficulté d'articulation entre la collectivité et les communes. élus municipaux assurent un travail de proximité pour garantir les services en faveur de la population tout en veillant à ne pas briser l'unité et la cohérence des politiques publiques menées au niveau de la
selon elle. Pour M. D A R NA UD , transfert de compétences vers les communes ou la simple
participation des communes à des compétences du pays devra forcément conduire les élus locaux à poser la question de leur financement et donc de la fiscalité
Les rapporteurs saluent la réflexion approfondie menée par le gouvernement polynésien en vue d'un ajustement technique de la loi statutaire sans remise en cause des équilibres existants, et appellent à un examen par le Parlement d'un texte organique en ce sens à la suite des élections territoriales de 2018.
Enfin, les rapporteurs se félicitent de la collaboration fructueuse des forces de sécurité et de la justice en Polynésie française. Le service public de la justice s'est adapté au contexte polynésien avec l'existence de sections détachées et la mise en place d'une justice foraine dans les îles. Ils relèvent que seules la disponibilité et la bonne volonté des personnels de justice permettaient de contrebalancer les difficultés matérielles (locaux exigus, absence de raccordement à des logiciels, faible dématérialisation, etc.) dans lesquelles les juridictions judiciaires fonctionnent localement. La délégation a par ailleurs salué les efforts de l'administration pénitentiaire pour améliorer les conditions de détention des personnes incarcérées, à travers notamment la création du nouveau
centre pénitentiaire de Papeari en mars dernier.

(Bulletin quotidien 2 janvier 2017)


Mercredi 3 Janvier 2018

Expérience concluante

Opérationnel depuis deux ans, le programme haut-rhinois de prise en charge des personnes soumises à des dérives radicales s’ouvre désormais à de nouveaux partenaires.
L’occasion de dresser un bilan encourageant de ce dispositif judiciaire inédit.
« Rappelons-le, ce programme intervient en amont d’une
radicalisation violente, pas auprès d’individus impliqués dans des attentats ou tout juste de retour de Syrie. Rappelons le également, il exclut la dimension théologique et fournit une réponse partenariale et
individualisée. » Jean-François Thony, procureur général près la cour d’appel de Colmar, est le magistrat à l’initiative de cette expérimentation locale de prévention et de lutte contre la radicalisation
violente. Deux ans après son lancement, l’intéressé, en instance de départ pour la Bretagne, tenait à en resituer les contours à l’heure d’un premier bilan. Autour de lui,
des représentants de tous les partenaires du programme,
institutionnels, associatifs et évidemment instances judiciaires, mais aussi deux sénateurs rapporteurs
Catherine Troendlé et Jean-Marie Bockel. Tous ont abondé
dans le même sens : le programme judiciaire de prise en charge des personnes soumises aux dérives radicales mis en oeuvre par le TGI de Mulhouse dès octobre 2015, puis
étendu au TGI de Colmar en mai 2016, produit des résultats prometteurs. 23 procédures ont été engagées pour autant de personnes prises en charge -18 hommes, cinq femmes, 15 majeurs et huit mineurs-, dont quatorze demeurent en cours d’exécution. 19 d’entre elles émanent du TGI de Mulhouse.

Un suivi pluridisciplinaire déployé par Accord 68, association support du dispositif, les accompagne durant
plusieurs mois pour un coût -le dispositif est financé par le ministère de la Justice et le Fonds
interministériel de prévention de la délinquance et de la
radicalisation-qui n’excède pas les 3000€ par individu. Si le nombre d’individus orientés vers ce dispositif peut apparaître modeste, les magistrats haut-rhinois estiment eux que si toutes les juridictions françaises fonctionnaient de la sorte, il atteindrait tout de même les 3. 000 personnes. La prise en charge partenariale est une main tendue à « ceux loin des idéaux de liberté qui
nous animent, et ça marche », note la sénatrice Troendlé, en son rôle de co-rapporteur d’une mission d’information sénatoriale sur ce sujet sensible. Désendoctrinement,
désembrigadement, réinsertion, tous les acteurs du programme souligne avant tout leur volonté de s’attaquer
aux racines du problème. Avec des effets visiblement probants, puisque l’on observe chez les personnes
suivies un desserrement de l’emprise sectaire. « Globalement, auprès de personnes ainsi vulnérables, il y a resocialisation, réorientation sociale, matérielle et psychologique », assure le procureur de la république
mulhousien Dominique Alzéari. Un avenant à la convention qui cadre ce programme a été signé vendredi dernier à Mulhouse (notre photo) par toutes les parties prenantes, avec de nouveaux partenaires qui plus est :
l’Education nationale, le Conseil départemental du Haut-Rhin et la Maison des Adolescents du Haut-Rhin rejoignent une expérimentation amenée à durer. Et que ses acteurs alsaciens espèrent légitimement voir intégrée au
prochain plan national de prévention de la radicalisation promis par le président Macron.

FM

(L'Ami Hebdo 2 janier 2018)