Archives des publications


Dimanche 25 Février 2018

Cartes d’identité

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a abordé avec l’ambassadeur de Suisse à Paris la question des cartes d’identité françaises : prolongée de cinq ans par les autorités françaises, elles sont parfois refusées par des douaniers suisses à l’évidence ignorants de l’accord passé entre les deux pays.

(L'Alsace & DNA su 25 février 2018)


Vendredi 23 Février 2018

Une lettre de neuf parlementaires au président

Les députés Laurent Furst, Patrick Hetzel, Frédéric Reiss, Raphaël Schellenberger, Eric Straumann, les sénateurs Claude Kern, André Reichardt et Catherine Troendlé, l’eurodéputée Anne Sander, écrivent, dans une lettre au président de la République : « L’exercice de l’action politique en Alsace est aujourd’hui paralysé par cette question institutionnelle qui génère un climat délétère, qui ne va ni dans l’intérêt de la région, ni dans l’intérêt de la France. Aussi, nous vous demandons l’organisation d’un référendum dans les départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, afin de trancher définitivement cette question. »

Brigitte Klinkert et Frédéric Bierry, présidents des deux conseils départementaux, estiment que « c’est un désaveu criant du paysage institutionnel tel que nous le connaissons aujourd’hui. Cela doit être entendu et pris en compte. […] Nous continuerons donc à porter le seul projet à même de construire une collectivité innovante, efficace et exemplaire, celui d’une collectivité territoriale d’Alsace à statut particulier, dotée de compétences solides. » (...)

(L'Alsace du 21 février 2018)


Vendredi 23 Février 2018

l'Alsacienne Catherine troendlé, meilleur sénateur de l'année 2017

image La vice-présidente du Sénat, Catherine Trondlé a été désignée ” sénateur de l'année 2017 " heures, lors d'une réception se déroulant dans les salons de l'Hôtel de Lassay à l'Assemblée nationale réunissant le jury présidé par Christophe Barbier et de nombreux invités du monde politique et des médias d'opinion.

Pour la vingt-sixième année consécutive, le Trombinoscope organise les prix des personnalités politiques de l'année dont l'objet est de saluer l'action, le professionnalisme et le sens politique d'hommes et de femmes s'étant particulièrement illustrés durant t'année 2017. Un premier jury composé de 120 journalistes de la presse écrite et audiovisuelle, reconnus comme étant les principaux observateurs de la vie politique française, a désigné une pré-liste de personnalités qui ont marqué l'année 2017. Un second jury, plus restreint, composé d’Anna Cabana, Emmanuel Kessler, Apolline de Malherbe, Marie-Eve Malouines, Yves Thréard et Ludovic Vigogne, s'est réuni ensuite afin de choisir les lauréats.

Remis par Yves Théard, du Figaro, ce prix lui a été décerné de par la qualité de son rapport parlementaire réalisé avec le Sénateur Les Vers Esther Benbassa, fait au nom de la commission des lois, intitulé "Les politiques de déradicalisation en France et en Europe : changer de paradigme" (juillet 2017). Ce rapport fait suite à la mission d’Information menée avec sa collègue depuis le mois de mars 2016.

(L'Ami Hebdo du 25 février 2018)



Mardi 20 Février 2018

Le carnet Distinction

Catherine Troendlé, sénatrice (LR) du Haut-Rhin et vice-présidente du Sénat, a été désignée Sénatrice de l’année 2017, avec sa collègue Esther Benbassa, par le jury du Prix du Trombinoscope.

Ce prix récompense le rapport parlementaire que les deux sénatrices ont rédigé au nom de la commission des lois et intitulé Les politiques de déradicalisation en France et en Europe : changer de paradigme (juillet 2017). Le Prix du Trombinoscope gratifie les élus et les personnalités qui se sont distingués par leurs actions et leurs engagements au cours de l’année.

(DNA du 17 février 2018)


Mardi 20 Février 2018

Politique - Sénat/Catherine Troendlé, « Sénatrice de l’année » du Prix du Trombinoscope

Catherine Troendlé, sénatrice (LR) du Haut-Rhin et vice-présidente du Sénat, a été désignée « Sénatrice de l’année 2017 », avec sa collègue Esther Benbassa, par le jury du Prix du Trombinoscope.

La sénatrice Catherine Troendlé (à droite) avec sa collègue Esther Benbassa. Document remis
Son nom figurait au côté de Nicolas Hulot, Jean-Michel Blanquer ou Christophe Castaner au palmarès du 25e Prix du Trombinoscope. La sénatrice Catherine Troendlé (LR) a été désignée, avec sa collègue Esther Benbassa (EELV), « Sénatrice de l’année 2017 » par un jury composé de journalistes politiques et présidé par Christophe Barbier.

« Coup de chapeau à leur mission d’information », remarque Yves Thréard au sujet des deux sénatrices qui se voient récompenser pour leur rapport parlementaire réalisé au sein de la commission des Lois et intitulé Les politiques de déradicalisation en France et en Europe : changer de paradigme. « Ce rapport, sans langue de bois, remis en juillet 2017 montre que c’est pire que mal : notre politique de déradicalisation est un fiasco. Leur verdict tient en trois mots : précipitation, amateurisme, inconséquence », estime le journaliste du Figaro. « Elles formulent quelques propositions : plus de prévention, de personnalisation dans la prise en charge, davantage de contrôle des fonds publics engagés. »

« Nous sommes deux co-rapporteurs, avec des appartenances politiques divergentes, c’est là la marque de fabrique du Sénat », a relevé dans son discours Catherine Troendlé avant de revenir sur les constats et les propositions. « Urgence, vannes financières ouvertes, business organisé autour de la déradicalisation, inefficacité de nombreux dispositifs associatifs… Nous ne pouvions poursuivre sereinement, à la recherche des bonnes pratiques, sans dénoncer ce constat », a-t-elle expliqué. « La lutte contre la radicalisation doit s’inscrire dans une dimension européenne. »

(DNA du 20 février 2018)


Mardi 20 Février 2018

PARLEMENT/Catherine Troendlé, « sénateur de l’année 2017 »

image Vice-présidente du Sénat, la parlementaire haut-rhinoise Catherine Troendlé a reçu, hier soir à l’Assemblée nationale, le prix de « sénateur de l’année 2017 », dans le cadre du prix du Trombinoscope.

Par cette récompense, qu’elle partage avec la sénatrice écologiste Esther Benbassa, le jury tient à souligner la qualité de leur rapport sur « les politiques de déradicalisation en France et en Europe ». « Il s’agit de désenbrigader, désendoctriner et réinsérer » , a rappelé Catherine Troendlé, dans son discours, en soulignant que sa collègue et elle ne s’attendaient pas, en démarrant leur mission, à « un état des lieux aussi catastrophique ». Après avoir dénoncé ce constat, dans un rapport d’étape, elles ont poursuivi leurs travaux qui ont débouché sur dix propositions.

« Si le centre de Pontourny a été fermé comme nous l’avions demandé, la prise en charge en milieu carcéral reste un véritable problème » , a insisté la sénatrice, en rappelant que « la lutte contre la radicalisation doit s’inscrire dans une dimension européenne ».

(L'Alsace du 16 février 2018)














Dimanche 11 Février 2018

Russie.

Vice-présidente du groupe d’amitié France-Russie du Sénat, Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a participé à une réunion de travail avec Alexey Meshkov, ambassadeur de Russie à Paris, et une série d’acteurs du dialogue franco-russe.

(L'Alsace & DNA du 11 février 2018)


Dimanche 11 Février 2018

MÉDIAS Vingt-quatre élus plaident pour les stations alsaciennes de Radio France

Vingt et un parlementaires alsaciens et les présidents des trois grandes collectivités disent leurs « préoccupations » pour la radio publique en Alsace. Trois lettres sont parties hier : l’une au président – en sursis – de Radio France, Mathieu Gallet, la deuxième au président du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), Olivier Schrameck, la troisième à la ministre de la Culture, Françoise Nyssen.

France Bleu Elsass : pour la diffusion en FM
Pour France Bleu Alsace, les élus alsaciens s’étonnent de la suppression d’un poste de journaliste, dans une station qui a déjà subi une réduction d’effectif récente. « Avec seulement dix journalistes pour toute la région, nous craignons une véritable baisse de la qualité de l’information » , indiquent-ils en demandant « de bien vouloir agir pour annuler ce retrait de poste ». Pour France Bleu Elsass, ils demandent « que soit étudiée et mise en œuvre la diffusion en modulation de fréquence [FM] du programme ». Il est en effet, depuis janvier 2016, accessible uniquement par une diffusion numérique. Cela alors que « l’Alsace est la région de France où la langue régionale a gardé le plus grand nombre de locuteurs ».

Pour FIP Strasbourg, les élus « tiennent à souligner [leur] attachement à cette équipe et à cette antenne, formant le vœu que le décrochage régional soit maintenu ». FIP Strasbourg est en effet régulièrement menacée.

Enfin, les élus s’interrogent sur le déploiement prochain de la radio numérique terrestre (RNT ou DAB) à Strasbourg. Ils souhaitent que les programmes des différentes antennes régionales du service public – France Bleu Alsace, France Bleu Elsass et FIP Strasbourg – soient diffusés par ce nouveau mode.

Ces trois courriers sont cosignés par les sénateurs Fabienne Keller, Catherine Troendlé, Jacques Bigot, René Danesi, Guy-Dominique Kennel, Claude Kern et André Reichardt, les députés Martine Wonner, Olivier Becht, Jacques Cattin, Bruno Fuchs, Laurent Furst, Antoine Herth, Patrick Hetzel, Thierry Michels, Frédéric Reiss, Raphaël Schellenberger, Éric Straumann, Vincent Thiebaut et Sylvain Waserman, l’eurodéputée Anne Sander, les présidents des départements Brigitte Klinkert et Frédéric Bierry, et le président de la région Jean Rottner. J. F.

(Alsace & DNa du 8 février 2018)


Mercredi 7 Février 2018

Fessenheim: 13 élus alsaciens demandent à Lecornu de ne pas fermer la centrale avant 2021

Strasbourg, 6 févr. 2018 (AFP) -

Treize élus alsaciens ont écrit au secrétaire d'Etat à la Transition écologique Sébastien Lecornu pour lui demander
de ne pas fermer la centrale nucléaire de Fessenheim avant 2021, un calendrier qu'ils estiment "plus respectueux des salariés de la centrale".
"Nous vous demandons de ne pas procéder à la fermeture (...) avant la fin des autorisations d'exploiter actuelles, soit à juillet 2021 pour la tranche une et avril 2023 pour la tranche 2", ont écrit les élus dans un courrier daté de mardi et dont l'AFP a eu copie.
La fermeture de Fessenheim pilotée par le gouvernement est planifiée entre fin 2018 et début 2019, au moment de
la mise en place de l'EPR de Flamanville (Manche).
Les élus alsaciens proposent au secrétaire d'Etat "des délais, plus respectueux des salariés de la centrale" qui
"permettront de définir collectivement et sereinement les projets et dispositifs indispensables au maintien d'une
ambition industrielle en Alsace".
"Il ne saurait y avoir de place pour la précipitation, qu'il s'agisse du fonctionnement de l'EPR de Flamanville, au regard des enjeux de sûreté posés, mais également de la fermeture annoncée de la centrale de Fessenheim",
poursuivent les élus.
"Ces délais permettront également d'assurer un passage de relais sans accroc avec l'EPR de Flamanville dans les
meilleures conditions de sureté", soulignent-ils.
Les élus soulignent que "l'année 2021 constitue un horizon minimal, mieux acceptable par l'ensemble des acteurs
mobilisés" dans le dossier.

Le courrier est cosigné par le président de la région Grand Est Jean Rottner (LR), la présidente du conseil
départemental du Haut-Rhin Brigitte Klinkert (LR), les députés LR Jacques Cattin, Raphaël Schellenberger et Eric
Straumann, les sénateurs Jean-Marie Bockel (Union centriste), René Danesi (LR) et Catherine Troendle (LR).
Parmi les signataires figurent également les maires de Fessenheim, Claude Brender, et de Colmar, Gilbert Meyer
(LR).

Sébastien Lecornu a engagé le 19 janvier la fermeture de Fessenheim, en installant un comité de pilotage pour la
reconversion du site qui emploie quelque 2.000 salariés et dont la fermeture risque de priver les collectivités de 14
millions de recettes fiscales.
lg/cam/az
Afp le 06 févr. 18 à 18 08.


Mardi 6 Février 2018

RÉFORME TERRITORIALE "Entité Alsace ": place aux préliminaires

La mission sur « l’entité » Alsace confiée par le Premier ministre au préfet du Grand Est a suscité des propositions de Jean Rottner à Brigitte Klinkert et Frédéric Bierry, et provoqué la tribune Cap sur l’Alsace ( L’Alsace de dimanche). Les positions des uns et des autres ne se sont pas apaisées pour autant dans un dossier éminemment politique. Chacun se prépositionne avant que le représentant de l’État n’entame ses consultations.
(...)
Le parlementaire haut-rhinois s’installe sur un terrain aussi politique que celui de certains élus LR, comme Catherine Troendlé et Eric Straumann. Ceux-ci relèvent « une mission qui peut être un piège pour enterrer le problème » ou « de la poudre aux yeux ". (...)

(L'Alsace & DNA du 6 février 2018)


Dimanche 4 Février 2018

France-Allemagne.

La sénatrice Catherine Troendlé (LR, Haut-Rhin) a été reconduite dans ses fonctions de présidente du groupe d’amitié France-Allemagne au Sénat.

À ce titre, elle sera à Berlin les 22 et 23 mars avec le président Gérard Larcher, en visite officielle à l’invitation du président du Bundesrat, Michael Müller.

(L'Alsace & DNA du 4 février 2018)


Dimanche 4 Février 2018

RÉFORME TERRITORIALE/ 130 signataires appellent à mettre le « Cap sur l’Alsace »

Après l’« Appel des cent », cosignés par les représentants de la société civile, les présidents Bierry et Klinkert ont publié, hier soir, une tribune cosignée par 130 personnalités, en majorité des élus de différentes sensibilités.

Cap sur l’Alsace ? La mission confiée par le Premier ministre au préfet du Grand Est ( L’Alsace d’hier) a eu l’effet d’un coup d’accélérateur. Les présidents des deux conseils départementaux alsaciens, Frédéric Bierry (Bas-Rhin) et Brigitte Klinkert (Haut-Rhin), ont rendu public, hier soir, une tribune cosignée par 130 personnalités. Ce sont essentiellement des élus, y compris quelques représentants d’En marche, mais aussi des membres de la société civile. « D’autres signataires suivront », annoncent les deux présidents qui avaient commencé à passer des coups de fil vendredi soir.

« Pas d’Alsace au rabais »

« Le fait que le Premier ministre ouvre la porte a servi de déclic pour de nombreux élus » , observe Frédéric Bierry, en glissant qu’Édouard Philippe avait pu constater qu’ « il avait affaire à des gens raisonnables ». Qui restent déterminés. « Il est important, alors que le préfet démarre son travail, qu’une majorité des élus alsaciens se déclare pour une collectivité à statut particulier, avec des compétences fortes » , appuie Brigitte Klinkert. Cette collectivité résulterait de la fusion des deux conseils départementaux, mais ne toucherait pas aux départements eux-mêmes.
La tribune acte l’inscription de la nouvelle Alsace dans les limites du Grand Est. Mais elle va plus loin qu’une simple fusion. « Nous ne voulons pas de l’Alsace pour l’Alsace. Nous voulons une Alsace forte, innovante, européenne », préviennent les signataires, en refusant « une Alsace au rabais ou réduite à sa portion folklorique ». Un message qui, en filigrane, vise moins l’État que le Grand Est…

Les signataires mettent la barre haut. Ils veulent « explorer les voies d’une décentralisation nouvelle et remplir pleinement les ambitions franco-allemandes et européennes définies par le président de la République ». Au moment où les Corses réclament leur autonomie, Emmanuel Macron devrait être sensible à ces revendications, en phase avec ses préoccupa-tions. Si bien que des membres ou proches de la majorité actuelle ont signé cette tribune.

À côté des députés et sénateurs LR René Danési, Laurent Furst, Patrick Hetzel, Raphaël Schellenberger, Eric Straumann, Catherine Troendlé, du sénateur UDI Claude Kern, on trouve les trois parlementaires d’Agir, Olivier Becht, Antoine Herth et Fabienne Keller, et trois parlementaires d’En marche, Bruno Studer, Vincent Thiébault et Patricia Schillinger.

On peut encore relever la présence des conseillers départementaux LREM Olivier Bitz, adjoint de Roland Ries, Françoise Pfersdorff et Fatima Jenn, et de quatre conseillers régionaux LR, tous bas-rhinois, Martine Calderoli-Lotz, le sénateur André Reichardt, Justin Vogel et Huguette Zeller. Il y a aussi des absents. On verra s’ils s’engageront par la suite ou si leur proximité avec Jean Rottner les conduira à rester en retrait. Parmi les signataires, enfin, le président d’Initiative citoyenne alsacienne Pierre Klein, le patron du Medef Olivier Klotz et plusieurs présidents d’intercommunalité, à commencer par celui de l’agglomération mulhousienne.

« Un signal fort »

« Cette tribune va dans le bon sens. Ce n’est pas un texte fermé, on est dans la construction. Les citoyens attendent de nous que nous trouvions un compromis intelligent sur la répartition des compétences » , assure Fabian Jordan, président de M2A, qui va prendre la tête du pôle métropolitain. « Il faut des compétences à la hauteur du rebond économique de l’Alsace. Nous devons raccrocher l’Alsace au Rhin supérieur » , affirme le député Olivier Becht, défenseur de longue date d’une collectivité à statut propre. Pour le député de Strasbourg Bruno Studer, « c’est un signal fort à la population alsacienne ». « Il faut se mettre autour d’une table » , préconise-t-il. Y compris les non-signataires.

(L'Alsace du 4 février 2018)